
In objéktif pou trapé : In dévlopman korèk …sansa sé in bilan négatif !
26 juin, parMézami, ni sava rante dann in pèryode zélékssion ané pou ané.Nora zélékssion l’ané 2026, nora zélékssion l’ané 2027 é nora ankor l’ané 2028… Bann (…)
Des soldats gabonais prennent le pouvoir
31 août 2023
Après avoir constaté "une gouvernance irresponsable, imprévisible qui se traduit par une dégradation continue de la cohésion sociale risquant de conduire le pays au chaos (...) nous avons décidé de défendre la paix en mettant fin au régime en place", ont déclaré les militaires, ajoutant qu’"à cet effet, les élections générales du 26 août 2023 ainsi que les résultats tronqués sont annulés", ont déclaré les militaires.
Des militaires ont annoncé le 30 août mettre "fin au régime en place" au Gabon, où les résultats officiels de la présidentielle du 26 août venaient tout juste d’annoncer la victoire du président Ali Bongo, au pouvoir depuis 14 ans.
Juste après l’annonce officielle de la victoire d’Ali Bongo avec 64,27% des voix dans la nuit du 29 au 30 août, un groupe d’une douzaine de militaires est apparu sur les écrans de la chaîne de télévision Gabon 24.
Après avoir constaté "une gouvernance irresponsable, imprévisible qui se traduit par une dégradation continue de la cohésion sociale risquant de conduire le pays au chaos (...) nous avons décidé de défendre la paix en mettant fin au régime en place", a déclaré un de ces militaires disant s’exprimer au nom d’un "Comité de transition et de restauration des institutions".
"A cet effet, les élections générales du 26 août 2023 ainsi que les résultats tronqués sont annulés", a-t-il ajouté.
"Toutes les institutions de la république sont dissoutes, le gouvernement, le Sénat, l’Assemblée nationale, la Cour constitutionnelle. Nous appelons la population au calme et à la sérénité et nous réaffirmons notre attachement au respect des engagements du Gabon à l’égard de la communauté internationale", a-t-il poursuivi, annonçant aussi la fermeture des frontières du pays "jusqu’à nouvel ordre".
Parmi ces militaires figuraient des membres de la garde républicaine (GR), la garde prétorienne de la présidence reconnaissables à leurs bérets verts, ainsi que des soldats de l’armée régulière et des policiers. La déclaration a ensuite été diffusée sur la télévision publique Gabon 1ère.
Les frontières sont fermées jusqu’à nouvel ordre.
Toutes les institutions de la République sont dissoutes, notamment le gouvernement, le Sénat, l’Assemblée nationale, la Cour constitutionnelle, le Conseil économique, social et environnemental, le Centre gabonais des élections.
"Nous appelons les populations, les communautés des pays frères installées au Gabon ainsi que les Gabonais de la diaspora au calme et à la sérénité. Nous réaffirmons notre attachement au respect des engagements du Gabon vis-à-vis de la communauté nationale et internationale", ont indiqué les militaires.
Un putsch
Pendant cette déclaration, des journalistes de l’Agence France Presse ont entendu des tirs d’armes automatiques dans plusieurs quartiers de Libreville.
L’annonce de ce putsch est intervenue peu après la publication des résultats officiels de l’élection présidentielle du 26 août, qui a vu le président sortant Ali Bongo Odimba, au pouvoir depuis 14 ans, décrocher un troisième mandat avec 64,27% des suffrages.
Selon ces résultats proclamés à l’antenne de la télévision d’Etat Gabon 1ère par le président du Centre gabonais des élections (CGE), Michel Stéphane Bonda, le principal rival d’Ali Bongo, Albert Ondo Ossa, n’a recueilli que 30,77% des voix.
Albert Ondo Ossa avait dénoncé des "fraudes orchestrées par le camp Bongo" deux heures avant la clôture du scrutin samedi, et revendiquait alors déjà la victoire. Son parti a exhorté le 28 août Ali Bongo à "organiser, sans effusion de sang, la passation du pouvoir" sur la base d’un comptage effectué selon lui par ses propres scrutateurs, et sans produire de document à l’appui.
Les résultats officiels ont été dépouillés en plein milieu de la nuit, à 03H30 (02H30 GMT), sur la télévision d’Etat, sans annonce. Cela a donc eu lieu, selon l’AFP, en plein couvre-feu, lorsqu’internet était coupé dans tout le pays, et que deux mesures décrétées par le gouvernement le 27 août avant la fermeture des bureaux de vote, afin de parer selon lui à la diffusion "de fausses nouvelles" et à d’éventuelles "violences".
Les activités du groupe minier français Eramet « mises à l’arrêt »
Les activités du groupe minier français Eramet ont été "mises à l’arrêt" au Gabon après un coup d’Etat militaire dans le pays. "Suite aux derniers événements en cours", Eramet a "mis à l’arrêt" ses activités au Gabon et "suit" la situation pour "protéger la sécurité de (son) personnel et l’intégrité de (ses) installations", a-t-il précisé. Eramet emploie quelque 8.000 personnes dans le pays, majoritairement gabonaises.
Le groupe Eramet est présent au Gabon à travers deux filiales. Tout d’abord, la compagnie Comilog (la compagnie minière de l’Ogooué), spécialisée dans l’extraction de manganèse, minerai dont Eramet est le deuxième producteur mondial à haute teneur.
Puis Setrag (la Société d’exploitation du transgabonais), deuxième filiale du groupe français, qui assure l’exploitation ferroviaire de la ligne reliant la côte atlantique au sud-est du pays riche en minerais à travers la forêt équatoriale du Gabon. La compagnie assure le transport des minerais et des passagers sur 650km.
Le président Ali Bongo en résidence surveillée
Le président du Gabon Ali Bongo Ondimba est "en résidence surveillée" entouré de sa famille et de ses médecins et l’un de ses fils a été arrêté, pour entre autre "haute trahison", ont annoncé les militaires auteurs d’un coup d’Etat dans la matinée.
"Le président Ali Bongo est gardé en résidence surveillée, entouré de sa famille et de ses médecins", selon un communiqué lu à la télévision d’Etat par les militaires du Comité de Transition et de Restauration des Institutions (CTRI).
Noureddin Bongo Valentin, fils et proche conseiller du chef de l’Etat, Ian Ghislain Ngoulou, directeur de cabinet d’Ali Bongo, Mohamed Ali Saliou, son directeur de cabinet adjoint, Abdul Hosseini, un autre conseiller de la présidence, Jessye Ella Ekogha, conseiller spécial et porte-parole de la présidence ainsi que les numéros un et deux du tout-puissant Parti démocratique gabonais (PDG) d’Ali Bongo "sont arrêtés", a poursuivi le colonel de l’armée qui avait lu dans la nuit le communiqué annonçant que des militaires mettaient "fin au régime".
Ils sont arrêtés pour "haute trahison contre les institutions de l’Etat, détournements massifs des deniers publics, malversations financières internationales en bande organisée, faux et usage de faux, falsification de la signature du président de la République, corruption active, trafic de stupéfiants", a-t-il précisé.
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