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République démocratique du Congo
26 janvier 2013
Avec l’intensification des tensions entre les forces gouvernementales et les milices Maï-Maï dans la province du Katanga en République démocratique du Congo, Médecins Sans Frontières (MSF) appelle toutes les parties au conflit à éviter de porter atteinte aux milliers de civils qui ont fui dans la brousse environnante.
PARIS, France, 25 janvier 2013/African Press Organization (APO)
L’étendue exacte des déplacements est difficile à quantifier, mais la plupart des villages le long des 115 kilomètres de route entre Shamwana et Dubie sont vides, tout comme les villages sur les 70 kilomètres qui relient Shamwana à Mpiana.
« Les civils risquent d’être pris dans les combats et confondus avec les combattants », a déclaré Christine Slagt, coordonnatrice de projet MSF à Shamwana. « Certaines milices empêchent les gens de quitter la zone ».
L’organisation médicale humanitaire a évacué le personnel non essentiel de son projet à Shamwana (environ 300 kilomètres au nord de la capitale provinciale, Lubumbashi) cette semaine, réduisant la présence de MSF à une équipe chirurgicale qualifiée, capable de répondre à l’augmentation éventuelle de blessés de guerre.
Les conséquences médicales des déplacements sont graves compte tenu des nombreux patients incapables de retourner dans les établissements sanitaires afin de poursuivre leurs traitements médicaux. La majorité des enfants des programmes nutritionnels de MSF manque à l’appel, comme la plupart des patients sous traitement antirétroviral contre le VIH / SIDA. Une campagne de vaccination contre la rougeole a été interrompue en septembre dernier lorsque les gens ont fui en raison des combats à Kiambi, laissant des milliers d’enfants vulnérables face à l’apparition de la maladie.
Autre facteur aggravant, la région connaît un pic de paludisme en raison de la saison des pluies. Depuis octobre, MSF a traité en moyenne près de 1 000 patients par semaine ; la majorité d’entre eux étant des enfants de moins de 5 ans.
« Nous sommes particulièrement préoccupés par la situation précaire des personnes qui se cachent en brousse et ne peuvent pas accéder aux soins médicaux », a déclaré Christine Slagt. « Le paludisme sous sa forme la plus grave peut être mortelle chez les enfants non traités et les femmes enceintes souffrant de complications pendant l’accouchement risquent leur vie sans assistance médicale ».
La zone surnommée par le passé le "triangle de la mort » connait un historique de violence. En 2005, de violents affrontements entre les rebelles Maï-Maï et les militaires affectés au Katanga ont traumatisé la population. Certaines personnes ont été témoins ou victimes de violence et de viol, ont eu des membres de leur famille assassinés, ont fui en raison des combats et ont vu leurs maisons et leurs biens partir en flamme. Depuis lors, un calme relatif s’était installé dans la région, mais cela semble avoir pris fin.
Médecins Sans Frontières gère un hôpital de référence dans la ville de Shamwana depuis mai 2006 et offre des soins médicaux gratuits aux personnes vivant dans les zones de santé de Kiambi, Mitwaba et Kilwa. Les équipes médicales soignent le paludisme, la tuberculose, le VIH / SIDA ainsi que la malnutrition et fournissent des services de santé reproductive, des soins de santé mentale et de la chirurgie d’urgence.
Pendant cinq années consécutives, les chirurgiens de MSF ont opéré, à Shamwana, des centaines de femmes pour réparer les blessures internes provoquées par l’accouchement. L’ampleur actuelle des déplacements a empêché MSF de pratiquer cette chirurgie spécialisée depuis quelques mois.
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