
Mal-do-mèr dann sarèt
28 juin, parLo zour la pokor kléré, Zan-Lik, Mariz é sirtou Tikok la fine lévé, mèt azot paré. Madanm Biganbé i tir zot manzé-sofé, i donn azot, zot i manz. (…)
Santé
20 août 2013
Vendredi, des ministres africains et des fonctionnaires chinois se sont réunis à l’occasion du Forum ministériel sur les progrès de la coopération sino-africaine en matière de santé. Leur but était de coordonner les nouveaux efforts pour soutenir les progrès à long terme en santé en Afrique, et préparer l’avenir de la coopération sino-africaine en matière de santé. Il s’agissait de la toute première conférence des ministres de la Santé tenue dans le cadre du Forum sur la Coopération sino-africaine (FCSA) depuis sa création en 2000, ce qui démontre le niveau le plus élevé d’engagement politique pour lutter ensemble contre les problèmes de santé les plus urgents en Afrique.
Lors du Forum, les ministres et les représentants de la santé ont signé la Déclaration de Pékin sur les progrès de la coopération sino-africaine en matière de santé, qui définit une feuille de route pour résoudre ensemble les principales difficultés devant lesquelles se trouvent les pays africains, en particulier le VIH, le paludisme, les bilharzioses, la santé reproductive, les vaccinations et les maladies à prévention vaccinale. Selon la déclaration, la Chine et les pays africains déploieront de nouveaux efforts pour trouver des solutions de santé durables et à long terme, par exemple en multipliant les partenariats sur la recherche conjointe et en palliant au manque de travailleurs de santé.
« La Chine et les pays africains bénéficient d’un partenariat solide et efficace pour la santé depuis plus de cinquante ans. Celui-ci se fonde sur les expériences et la vision que nous avons en commun pour un avenir meilleur et plus sain pour tous nos citoyens, » explique la ministre sénégalaise de la Santé Awa Marie Coll Seck. « La Déclaration de Pékin renforce les engagements de nos gouvernements qui consistent à élaborer et mettre en œuvre des stratégies relevant de l’initiative des pays afin de réaliser des progrès durables dans le secteur de la santé et d’améliorer la vie des habitants de tout le continent. »
Cette année marque le 50e anniversaire de l’assistance médicale chinoise envoyée en Afrique, dont la première équipe en Algérie en 1963. Depuis lors, des milliers de membres du personnel médical ont assuré des services dans 43 pays africains. La Chine a également collaboré avec des partenaires africains et des organisations internationales pour construire des hôpitaux et des centres de prévention du paludisme, former du personnel médical et accroître l’accès aux traitements antipaludiques et autres technologies en santé. Les institutions universitaires et les entreprises privées ont également appuyé ces efforts.
À présent, la Chine et les pays africains examinent les moyens de tirer parti de ces progrès pour dégager de nouvelles ressources, des innovations et un esprit d’initiative en vue de réaliser des progrès dans le secteur de la santé en Afrique. « Les citoyens chinois et africains vivent sur la même planète, sous le même ciel. Le partenariat entre la Chine et l’Afrique est enracinée dans l’humanitaire. Comme président Xi l’a décrit, cet amour n’a pas de frontières », a déclaré l’honorable Dre. Li Bin, ministre chinoise de la santé nationale et de la commission de planification familiale. « Je crois que les équipes médicales chinoises vont s’efforcer d’apporter une plus grande contribution dans le futur. »
Dans cette nouvelle ère de collaboration, les fonctionnaires d’État chinois et africains et d’autres intervenants collaboreront étroitement pour trouver des solutions durables et relever les défis du secteur de la santé. Au nombre de ces moyens figurent le renforcement de la capacité des ressources humaines dans les pays africains, le soutien de la capacité de fabrication nationale, et l’accès accru à des produits de santé à faibles coûts et de haute qualité.
La Chine et les pays africains inviteront le secteur privé dans le but d’encourager le transfert des technologies et d’accroître l’accès à des technologies en santé de haute qualité et à faibles coûts tout en s’assurant que les produits respectent les normes de qualité. La Déclaration insiste sur le fait que les efforts de coopération en matière de santé devront s’aligner sur les priorités des pays africains ainsi que sur les plans de développement nationaux et régionaux
Ces efforts conjoints tireront parti des expériences de la Chine en matière d’amélioration de la santé publique dans des contextes où les ressources sont limitées. La Chine partagera également les outils et l’expertise qu’elle a acquis grâce à ses investissements dans la recherche et le développement pour la santé, la production des technologies en santé et ses efforts de réforme actuelle en matière de santé visant à offrir des soins de santé accessibles à tous ses citoyens.
« Les dizaines d’années d’une collaboration entre la Chine et l’Afrique sont l’expression de l’amitié et de la bonne volonté qui caractérisent leur relation depuis longtemps, » a déclaré la Dre Margaret Chan, Directrice générale de l’OMS. « La Chine est désormais une force importante dans le développement de l’Afrique et comprend une augmentation substantielle des engagements et des obligations. Cette relation offre un bon exemple de coopération Sud-Sud pour le développement qui se fonde sur le respect et les intérêts mutuels. »
Le Forum ministériel repose sur des discussions importantes au Botswana à l’occasion de la 4e Table ronde internationale sur la coopération sino-africaine en matière de santé, qui a eu lieu pour la première fois en Afrique en mai 2013.
Le Forum est tenu dans le cadre du Forum sur la Coopération sino-africaine (FCSA), et est organisé par la Commission nationale de la santé et de la planification familiale de la Chine, anciennement intitulée le ministère de la Santé. Ensemble, ces conférences ont établi les fondements d’une collaboration continue Sud-Sud entre la Chine et les pays africains pour relever les défis urgents en matière de santé.
PEKIN, Chine 16 août 2013/African Press Organization (APO)
Lo zour la pokor kléré, Zan-Lik, Mariz é sirtou Tikok la fine lévé, mèt azot paré. Madanm Biganbé i tir zot manzé-sofé, i donn azot, zot i manz. (…)
Le calendrier scolaire élaboré par le Rectorat pour les 3 prochaines années est désormais connu et fait débat. Pour cause, à l’exception de (…)
Sur proposition de Gérard COTELLON, directeur général de l’ARS La Réunion, Patrice LATRON, préfet de La Réunion, a décidé le retour au niveau 2 du (…)
Le Conseil départemental a décerné, le vendredi 27 juin, les prix « Thérèse Baillif » et « Célimène » lors d’une cérémonie organisée dans (…)
Les cours du pétrole ont connu une nette hausse à partir de la deuxième quinzaine du mois de juin, portés par l’extrême tension au Moyen-Orient et (…)
Mé dam zé méssyé, la sossyété,dsi la késtyonn fors néna la fors natirèl, sak wi gingn an néssan épi an grandissan korèktoman. Mwin lé sirésèrtin (…)
Le 16 juin 2025, le Tribunal administratif de Paris a suspendu en référé l’arrêté du 26 février 2025 ordonnant le blocage de 17 sites (…)
Le Président des Etats-Unis, Donald Trump a ordonné le bombardement de trois sites nucléaires en Iran, dans la nuit du 21 juin 2025. Dans une (…)
Les élus de Guadeloupe ont adopté des résolutions « sur la fusion des deux collectivités, sur les compétences et l’autonomie fiscale », le 17 juin (…)
Des manifestants, réunis le 23 juin devant les institutions européennes, ont demandé la suspension de l’accord d’association liant l’UE à Israël. (…)
L’État poursuit son engagement en faveur de la transition énergétique et de la décarbonation de l’électricité à La Réunion. À l’issue d’un appel à (…)
Normalien et énarque, chercheur en philosophie politique, Bruno Guigue est professeur invité à l’Université normale de la Chine du Sud (Canton) et (…)