
Mal-do-mèr dann sarèt
28 juin, parLo zour la pokor kléré, Zan-Lik, Mariz é sirtou Tikok la fine lévé, mèt azot paré. Madanm Biganbé i tir zot manzé-sofé, i donn azot, zot i manz. (…)
Région des Grands Lacs
16 janvier 2014
La Haut-Commissaire des Nations Unies aux droits de l’homme Navi Pillay a exhorté mercredi les chefs d’Etats participant à un important sommet dans la région africaine des Grands Lacs à s’assurer que les personnes suspectées d’avoir commis des crimes internationaux et de graves violations des droits de l’homme ne puissent continuer à fuir la justice en se rendant dans un autre pays.
GENEVE, Suisse, 15 janvier 2014/African Press Organization (APO)
La réunion de haut niveau sur la région des Grands Lacs qui se déroule actuellement à Luanda « constitue, pour les Etats membres, une opportunité sans précédent de faire avancer la lutte contre l’impunité dans cette région marquée par les violences », a indiqué Navi Pillay.
Les objectifs du 5ème Sommet ordinaire des Chefs d’Etat et de Gouvernement de la Conférence internationale sur la région des Grands Lacs (CIRGL) – à savoir la promotion de la paix, la sécurité, la stabilité et le développement – « ne pourront être atteints que si les personnes responsables de violence et d’exploitation économique illégale rendent des comptes », a-t-elle précisé.
« Pour citer un exemple récent, le Rwanda et l’Ouganda hébergent actuellement des hauts gradés du groupe rebelle M23 qui figureraient parmi les pires auteurs de violations des droits de l’homme perpétrées en République démocratique du Congo, notamment des massacres, des violences et le recrutement et l’utilisation d’enfants. S’ils continuent à échapper à la justice dans des Etats voisins, ils constitueront une menace pour la sécurité, nuisant aux efforts en faveur d’une paix et d’un développement durables de la région », a ajouté la Haut-Commissaire.
En dépit des engagements formels pris en février 2013 par les signataires de l’Accord-cadre pour la paix, la sécurité et la coopération de ne pas accueillir ou protéger les personnes accusées de crimes internationaux ou qui relèvent du régime de sanctions des Nations Unies, de nombreux anciens éléments du M23 sont encore en fuite au Rwanda et en Ouganda. Deux décennies après le génocide de 1994 au Rwanda, des personnes soupçonnées d’y avoir activement participé continuent également d’échapper à la justice en RDC. D’autres personnes soupçonnées de crimes très graves auraient également échappé à la justice en partant pour un pays tiers.
« J’exhorte les Etats à cesser de fermer les yeux sur la présence sur leur territoire de personnes soupçonnées d’avoir commis des crimes très graves. Je leur demande de saisir l’opportunité que représente ce sommet pour aborder la question de la coopération judiciaire et garantir que des comptes soient rendus pour les crimes internationaux et les graves violations des droits de l’homme commis dans la région », a indiqué Navi Pillay.
Ces derniers mois, de hauts représentants du Haut-Commissariat ont fait des progrès avec les autorités congolaises sur les questions liées à l’impunité, notamment dans le suivi du « rapport de cartographie » des Nations Unies qui répertorie les violations manifestes des droits de l’homme en RDC entre 1993 et 2003.
« Je suis encouragée par les efforts récents déployés par les autorités congolaises pour que les hauts gradés responsables de violations graves des droits de l’homme, dont des violences sexuelles, rendent des comptes. Cette tendance doit se poursuivre et inclure la coopération transfrontalière. La lutte contre l’impunité exige un engagement actif et réel de tous les États de la sous-région », a déclaré Navi Pillay.
La Haut-Commissaire a aussi souligné que le Rapporteur spécial sur la justice transitionnelle* avait demandé à être invité par plusieurs pays membres de la CIRGL, y compris la RDC et le Rwanda. Accorder une invitation au Rapporteur spécial constituerait une avancée dans l’engagement pris pour lutter contre l’impunité, a-t-elle déclaré.
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