
Mal-do-mèr dann sarèt
28 juin, parLo zour la pokor kléré, Zan-Lik, Mariz é sirtou Tikok la fine lévé, mèt azot paré. Madanm Biganbé i tir zot manzé-sofé, i donn azot, zot i manz. (…)
Environnement
22 novembre 2013
Le Conseil d’administration de la Banque africaine de développement (BAD) a approuvé, ce mercredi 13 novembre, une prise de participation de 25 millions de dollars EU au capital du Fonds africain de l’énergie renouvelable (FAER) et confirmé la mobilisation de 39,5 millions de dollars EU auprès d’autres bailleurs.
Le FAER est un fonds de capital-investissement, qui investit dans des projets d’énergie renouvelable (d’envergure modeste et moyenne) en Afrique subsaharienne (à l’exclusion de l’Afrique du Sud), et vise une capitalisation totale de 150 à 200 millions de dollars EU.
Les ressources annuelles nécessaires à l’adaptation au changement climatique et à la mise en œuvre de solutions à faibles émissions de carbone en Afrique atteindraient, selon les estimations, entre 22 et 31 milliards de dollars EU d’ici à 2015. Or, s’il y a un besoin urgent de fonds d’investissements dédiés aux énergies renouvelables et qui ciblent l’Afrique subsaharienne, seuls quelques fonds panafricains destinés aux infrastructures sont aujourd’hui en mesure d’investir dans les technologies propres.
Le FAER aura un rôle d’importance en canalisant un flux accru de capitaux privés vers les industries de production d’énergies propres en Afrique, tout en réduisant les émissions de gaz à effet de serre actuelles. En investissant dans des technologies propres, le Fonds aidera les gouvernements à atteindre leurs objectifs en matière d’énergies propres et d’émissions de carbone, tout en contribuant à créer des emplois, à générer des revenus, à améliorer tant la qualité que la quantité des prestations, et à augmenter les recettes publiques.
Le Fonds africain de l’énergie renouvelable a été conçu pour répondre aux besoins d’investissements et faire effet de levier, afin d’attirer des investissements supplémentaires, nécessaires pour créer des industries durables dans le domaine des énergies renouvelables en Afrique subsaharienne. La BAD a joué un rôle essentiel dans la conception de ce fonds, dans sa structure et le choix du gestionnaire notamment. De plus, la Banque est l’un des promoteurs et investisseurs de référence du FAER, au côté du Fonds des énergies durables pour l’Afrique (dit SEFA, pour “Sustainable Energy Fund for Africa” en anglais), qui fournira 25 millions de dollars EU sous forme de prise de participations. Par ailleurs, le SEFA contribuera à hauteur de 10 millions de dollars EU au financement de la facilité d’appui au projet. Le Fonds pour l’environnement mondial (FEM) investira quant à lui 4,5 millions de dollars EU, provenant d’un programme de partenariat public-privé géré par la BAD.
Gestionnaire du FAER, Berkeley Energy, une société de gestion de fonds de capital-investissement créée en 2007 spécialisée dans les projets d’infrastructures liés aux énergies renouvelables dans les marchés émergents, a établi, en 2009, un Fonds des énergies renouvelables ciblant l’Asie (le REAF), doté d’un mandat sensiblement similaire à celui du FAER et d’un capital de 110 millions de dollars EU, déployé et investi à 80% en trois ans et demi d’existence. L’équipe de Berkeley Energy se réclame d’une expérience de plus de 60 ans dans des projets similaires sur les marchés émergents, notamment dans la mise en œuvre d’actifs en énergie en Afrique.
Le mandat du FAER est en phase avec la stratégie décennale de la BAD (2013-2022), axée sur la sécurité énergétique et la croissance verte inclusive, piliers d’une transition vers le développement durable et la prospérité pour tous. Le Fonds est également dans la droite ligne de la politique en matière d’énergie de la Banque, de son Cadre d’investissement dans l’énergie propre, et du Plan d’action relatif au changement climatique. Ces initiatives entendent conforter la transition des pays membres de la BAD vers un modèle d’énergie mixte plus propre, et encourager les investissements destinés à atténuer la vulnérabilité du continent au changement climatique.
TUNIS, Tunisie, 13 novembre 2013/African Press Organization (APO)
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