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Guinée Conakry
14 avril 2014, par
Médecins Sans Frontières (MSF) a redémarré ses activités dans le centre de prise en charge de Macenta, dans le sud-est de la Guinée. La semaine dernière, une manifestation d’une partie de la population locale avait mené à la suspension temporaire des activités.
CONAKRY, Guinée, 11 avril 2014/African Press Organization (APO)
« Après plusieurs jours de discussions avec les autorités locales et régionales, les groupes de jeunes et les aînés du village, nous avons reçu l’assurance que nous pourrions continuer de travailler en toute sécurité », explique Corinne Benazech, cheffe de mission de MSF en Guinée.
Durant la période d’interruption des activités, les patients ont pu continuer de recevoir des soins grâce au personnel du Ministère de la Santé resté sur place. Aujourd’hui MSF peut retourner à Macenta et reprendre son appui médical et technique pour combattre la maladie.
« Les peurs de la communauté locale sont tout à fait compréhensibles. C’est la première fois que la fièvre hémorragique Ebola apparaît en Guinée et la vue de nos volontaires dans les équipements de protection peut être choquante pour qui n’y est pas habitué », ajoute Corinne Benazech.
Ces 15 dernières années, MSF a répondu à de nombreuses épidémies d’Ebola et a été confrontée à des défis semblables.
« Lors des épidémies d’Ebola en Ouganda et au Gabon, nous avions déjà fait face aux protestations de la population », explique Corinne Benazech. « C’est pourquoi il est tellement important que les communautés nous acceptent et comprennent notre action. »
Dans le sud-est de la Guinée, MSF prend en charge les malades d’Ebola à Macenta et à Guéckédou. Dans la capitale guinéenne, Conakry, un autre centre de traitement MSF a récemment été agrandi. Actuellement, quatre patients se trouvent dans la structure à Conakry, trois à Macenta et trois autres à Guéckédou.
« Dans les différentes localités où nous travaillons, nous allons continuer le dialogue engagé avec les communautés locales car nous savons combien il est important que celles-ci soient sensibilisées et comprennent la maladie », ajoute Corinne Benazech. « Mais il est également important que les autres organisations mobilisées dans la lutte contre l’Ebola déploient davantage d’efforts pour informer et sensibiliser les communautés. En effet, MSF doit pouvoir concentrer son action sur l’identification et la prise en charge des patients, ainsi que sur le suivi des personnes qui ont été en contact avec les malades. »
Au Libéria, une équipe de MSF est arrivée jeudi afin d’appuyer les efforts du Ministère de la Santé, suite à la confirmation de cinq cas d’Ebola dans le nord du pays.
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