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Réduction de la pauvreté
8 décembre 2013
Le renforcement des organisations de producteurs forestiers devrait contribuer dans une large mesure à réduire la pauvreté, à améliorer les moyens d’existence et à renforcer le développement économique des petits propriétaires et des petits exploitants forestiers, a dit la FAO à la Conférence internationale sur les organisations de producteurs forestiers, qui se tient à Guilin (Chine) du 25 au 28 novembre 2013.
Un forestier qui adhère à un groupement de producteurs peut accéder plus facilement aux marchés, avoir plus de poids dans les négociations, obtenir des informations essentielles sur le marché, influencer l’élaboration des politiques et recevoir une aide pour améliorer ses compétences.
Des centaines de millions de personnes tirent leurs moyens d’existence des forêts. Malgré les avantages qu’elles procurent, les organisations de producteurs forestiers qui interviennent dans la production de bois, de produits forestiers non ligneux, d’objets d’artisanat et de plantes médicinales ne sont pas encore aussi répandues ou reconnues que leurs homologues dans l’agriculture.
« Les organisations de producteurs forestiers disposent de ressources très insuffisantes et ne sont pas appréciées à leur juste valeur », a dit Eduardo Rojas-Briales, Sous-Directeur général de la FAO (Département des forêts), « Des groupements bien organisés permettent à leurs membres d’avoir plus de poids dans les négociations et d’accéder au crédit. S’ils ont une taille suffisante, ils peuvent défendre les intérêts de leurs membres et influencer les politiques. En outre, à travers leurs organisations de producteurs, les petits exploitants forestiers peuvent renforcer la gestion durable des forêts. Les décideurs devraient être plus conscients de ces avantages et soutenir la création d’organisations de ce type ».
Les agriculteurs - en particulier les peuples autochtones, les petits exploitants, les femmes et les agriculteurs familiaux - ont aussi intérêt à gérer les forêts pour diversifier leurs sources de revenus et atténuer les risques qu’ils pourraient courir en dépendant uniquement de l’agriculture.
« En raison des risques accrus découlant du changement climatique, les agriculteurs ont tout à gagner d’un appui pour diversifier leurs moyens d’existence », a souligné Jeffrey Campbell, Directeur du Mécanisme Forêts et Paysans, un partenariat entre la FAO, l’Institut international pour l’environnement et le développement (IIED) et l’Union internationale pour la conservation de la nature (UICN). « Alors que de graves sécheresses peuvent détruire des cultures, certains types de forêts sont plus résilients et supportent mieux le manque d’eau, en contribuant à la sécurité alimentaire et en produisant toute une gamme d’autres produits importants », a-t-il ajouté.
Si les populations locales ont des droits définis de façon claire, équitable et transparente, de gérer les forêts et d’en retirer un profit économique, elles sont plus enclines à faire les investissements à long terme qui sont nécessaires pour entretenir leurs forêts. De plus, si elles sont assurées que leurs droits sont protégés, elles peuvent poursuivre et renforcer les efforts qu’elles font traditionnellement pour préserver les forêts.
Les femmes devraient avoir les mêmes droits en tant que productrices, bénéficiaires et responsables des décisions, a souligné la FAO. Lorsque ce n’est pas le cas, les organisations de producteurs forestiers peuvent jouer un rôle majeur, en défendant leur cause pour que les choses changent.
Dans un nouveau rapport présenté à la Conférence, la FAO décrit divers exemples d’organisations de producteurs forestiers qui se sont avérées efficaces.
En Chine, une coopérative achète des pousses de bambou, des fruits, des légumes et des champignons à ses membres, pour les transformer, les entreposer, les transporter et les vendre, et elle a créé une marque. Grâce à la coopérative, les membres accèdent plus facilement au crédit.
Au Guatemala, des groupes de planteurs d’arbres ont court-circuité les intermédiaires qui accaparaient jusque-là l’essentiel de leurs profits. Ils traitent maintenant directement avec de grosses entreprises et la vente de leurs produits leur rapporte davantage.
En Namibie, des groupements de producteurs de marula ont créé des liens avec des industriels. Les fruits du marula contiennent une amande nourrissante et riche en huile, qui est utilisée en cuisine et entre dans la composition de produits de beauté. La plupart des Namibiennes vivant en zone rurale gagnent leur vie principalement en récoltant et en transformant des produits indigènes de ce type. Aujourd’hui, elles peuvent approvisionner de grosses entreprises de cosmétique et, grâce à un appui du gouvernement, le marché intérieur de l’huile de marula se développe.
ROME, Italie, 25 novembre 2013/African Press Organization (APO)
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