
Mal-do-mèr dann sarèt
28 juin, parLo zour la pokor kléré, Zan-Lik, Mariz é sirtou Tikok la fine lévé, mèt azot paré. Madanm Biganbé i tir zot manzé-sofé, i donn azot, zot i manz. (…)
Droits humains
17 janvier 2014
Le Programme Alimentaire Mondial (PAM) des Nations Unies a lancé mardi une nouvelle opération d’urgence afin d’étendre son aide aux personnes affectées par la crise au Soudan du Sud et travaille à surmonter les défis qui entravent l’acheminement de l’aide d’urgence à ceux qui en ont besoin.
JUBA, Sud Soudan, 13 janvier 2014/African Press Organization (APO)
L’opération de trois mois de 57,8 millions de dollars US vise à fournir une aide alimentaire d’urgence à un maximum de 400 000 personnes déplacées à l’intérieur du pays, dont un soutien nutritionnel spécialisé pour les nouvelles mères et enfants en bas âge, les plus exposés à un risque de perturbation de leur approvisionnement alimentaire.
« Le PAM a commencé à fournir de la nourriture aux personnes déplacées dans les premiers jours de la reprise des combats, et nous avons déjà aidé autour de 100 000 personnes touchées par cette crise au Sud Soudan depuis qu’elle a éclaté à la mi-décembre » a déclaré la directrice du PAM pour l’Afrique centrale et orientale, Valérie Guarnieri, qui se trouvait à Djouba. « Mais pendant que nous et nos partenaires atteignons toujours plus de personnes chaque jour, nous faisons face à des difficultés pour atteindre certaines zones, et le pillage de la nourriture et d’autres biens dans nos locaux et entrepôts dans tout le pays, et plus récemment à Bentiu jeudi, complique grandement nos efforts ».
Cette crise a forcé au moins 200 000 personnes à fuir leurs maisons à la recherche de sécurité au cours de ce qui, dans de nombreuses régions du pays, devait être la saison de la récolte. Le PAM craint que l’impact sur la sécurité alimentaire soit important pendant longtemps, même si les négociations politiques s’avéraient couronnées de succès. L’insécurité alimentaire constitue un défi majeur pour le Sud Soudan, et ce bien avant le conflit. Depuis, l’agitation a perturbé l’approvisionnement sur les marchés locaux dans la plupart du pays.
Avec la poursuite des combats, les organisations humanitaires ont du mal à accéder à de nombreuses régions du Sud Soudan. Les stocks alimentaires du PAM pré-positionnés dans près de 100 sites à travers le pays ont facilité les opérations de secours mais ces stocks ne sont pas en sécurité. Jusqu’à présent, le PAM estime que 10% de ses biens alimentaires dans le pays ont été pillés – assez pour nourrir quelque 180 000 personnes pendant un mois.
« Le PAM exhorte toutes les parties prenantes à protéger les civils et les biens humanitaires – comme les stocks de nourriture – de sorte à ce qu’ils puissent être utilisés pour les opérations de secours essentielles, en particulier pour les femmes et enfants affectés par la violence » a déclaré le directeur adjoint du pays, Eddie Rowe. « Nous nous joignons à nos partenaires dans cet appel urgent aux deux parties afin qu’ils permettent aux organisations humanitaires de fournir en toute sécurité de l’aide aux personnes dans le besoin. »
Etant donné qu’environ 60% du Sud Soudan est inaccessible par la route pendant la saison des pluies, le PAM commencerait dès maintenant, en temps normal, à pré-positionner la nourriture dans les régions éloignées avant que les pluies ne commencent, en avril ou en mai. Le conflit rend cela difficile voire impossible dans certains endroits, et il est probable que certaines communautés dans le besoin ne soient accessibles que par voie aérienne.
En plus du soutien aux personnes touchées par le conflit à l’intérieur du Sud Soudan, le PAM aide également des milliers de réfugiés qui ont fui dans les pays voisins, dont l’Ouganda, l’Ethiopie et le Kenya.
« Nous nous sommes rapidement mobilisés pour fournir une aide immédiate aux personnes en quête de sécurité par-delà les frontières sud soudanaises » a déclaré Guarnieri. « Mais tous nos programmes d’aide aux réfugiés de la région ont déjà été confrontés à de graves déficits de financement avant la crise, et un nouvel afflux de réfugiés mettrait à rude épreuve les ressources disponibles. ».
Lo zour la pokor kléré, Zan-Lik, Mariz é sirtou Tikok la fine lévé, mèt azot paré. Madanm Biganbé i tir zot manzé-sofé, i donn azot, zot i manz. (…)
Le calendrier scolaire élaboré par le Rectorat pour les 3 prochaines années est désormais connu et fait débat. Pour cause, à l’exception de (…)
Sur proposition de Gérard COTELLON, directeur général de l’ARS La Réunion, Patrice LATRON, préfet de La Réunion, a décidé le retour au niveau 2 du (…)
Le Conseil départemental a décerné, le vendredi 27 juin, les prix « Thérèse Baillif » et « Célimène » lors d’une cérémonie organisée dans (…)
Les cours du pétrole ont connu une nette hausse à partir de la deuxième quinzaine du mois de juin, portés par l’extrême tension au Moyen-Orient et (…)
Mé dam zé méssyé, la sossyété,dsi la késtyonn fors néna la fors natirèl, sak wi gingn an néssan épi an grandissan korèktoman. Mwin lé sirésèrtin (…)
Le 16 juin 2025, le Tribunal administratif de Paris a suspendu en référé l’arrêté du 26 février 2025 ordonnant le blocage de 17 sites (…)
Le Président des Etats-Unis, Donald Trump a ordonné le bombardement de trois sites nucléaires en Iran, dans la nuit du 21 juin 2025. Dans une (…)
Les élus de Guadeloupe ont adopté des résolutions « sur la fusion des deux collectivités, sur les compétences et l’autonomie fiscale », le 17 juin (…)
Des manifestants, réunis le 23 juin devant les institutions européennes, ont demandé la suspension de l’accord d’association liant l’UE à Israël. (…)
L’État poursuit son engagement en faveur de la transition énergétique et de la décarbonation de l’électricité à La Réunion. À l’issue d’un appel à (…)
Normalien et énarque, chercheur en philosophie politique, Bruno Guigue est professeur invité à l’Université normale de la Chine du Sud (Canton) et (…)