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7 mai, par
La Chambre africaine de l’énergie est fermement convaincue que les Noirs africains possèdent l’expertise, les qualités de leadership et la vision nécessaires pour occuper des postes au plus haut niveau au sein du Africa Energies Summit
Dans le paysage énergétique évolutif et compétitif de l’Afrique, le Frontier et Africa Energies Summit de Londres occupe une position critique, tirant des revenus substantiels des marchés florissants du continent. Cependant, l’organisation ne peut se permettre d’ignorer un problème flagrant : le manque de Noirs africains au sein de son personnel. Cette absence soulève de sérieuses inquiétudes quant à l’engagement de l’entreprise en faveur de la diversité et de l’inclusion, et il est temps pour Africa Energies Summit de remédier à cette inégalité. La Chambre africaine de l’énergie a lancé un appel direct à l’action, exhortant le sommet à rectifier ce déséquilibre en embauchant des Noirs africains.
Il est profondément décevant de constater que, malgré les avantages considérables tirés des contributions économiques de l’Afrique, Frontier et Africa Energies Summit à Londres n’ont pas réussi à refléter la riche diversité du continent en recrutant des employés noirs. La société continue de privilégier les réseaux personnels dans ses pratiques de recrutement, ce qui perpétue les systèmes d’exclusion. En conséquence, de nombreux Noirs africains hautement qualifiés, possédant les compétences et l’expérience nécessaires, sont laissés en dehors du cercle restreint de l’entreprise.
Cette question devient encore plus perplexe si l’on considère que les Noirs africains ne sont pas simplement des participants passifs au succès du Africa Energies Summit ; ils sont des sponsors actifs et contribuent à ses événements et à ses programmes. Cette contradiction remet en question la sincérité de l’engagement de l’entreprise en faveur de l’inclusion et soulève des inquiétudes quant à l’intégrité de ses politiques de diversité.
NJ Ayuk, président exécutif de la Chambre africaine de l’énergie, a souligné les progrès remarquables de l’industrie pétrolière et gazière dans la promotion des Africains, en particulier des femmes, à des postes de direction. Il félicite le secteur pour avoir encouragé l’esprit d’entreprise et offert aux Africains la possibilité de gravir les échelons. Cette réussite nous rappelle que les Africains, et en particulier les femmes africaines, sont non seulement capables, mais aussi essentiels au succès des organisations opérant sur le continent.
La Chambre africaine de l’énergie est fermement convaincue que les Noirs africains possèdent l’expertise, les qualités de leadership et la vision nécessaires pour occuper des postes au plus haut niveau au sein du Africa Energies Summit. L’inclusion n’est pas seulement une question de justice sociale, c’est une nécessité stratégique pour une entreprise dont les revenus dépendent fortement du marché de l’énergie en Afrique. Il est temps pour Frontier et le Africa Energies Summit de Londres d’aller au-delà des belles paroles et de faire preuve d’un engagement réel et significatif en faveur de la diversité en donnant aux Africains les moyens d’agir au sein de leur main-d’œuvre.
La question qui nous occupe va au-delà de la symbolique ; elle touche aux principes mêmes de l’équité et de l’égalité des chances. L’idée que les Africains puissent contribuer à la réussite financière de l’entreprise par le biais de grandes expositions, mais qu’ils se voient refuser une représentation égale au sein de l’organisation, est à la fois inacceptable et insoutenable. Il est temps d’agir, et ce déséquilibre doit être corrigé sans délai.
Bien qu’il puisse être inconfortable de soulever ces questions, la Chambre africaine de l’énergie s’est engagée à mettre en lumière les vérités gênantes au sein de l’industrie. Les progrès réalisés dans le secteur du pétrole et du gaz - en particulier en ce qui concerne l’embauche, la formation et la promotion d’Africains - démontrent que de véritables efforts en matière de diversité mènent à la réussite entrepreneuriale et à la croissance organisationnelle. La Chambre africaine de l’énergie exhorte le Africa Energies Summit de Londres à adopter des pratiques similaires et à tirer les leçons des réussites de l’industrie pétrolière et gazière.
Des pays comme l’Afrique du Sud, le Nigeria, l’Angola, la Gambie, la Sierra Leone, le Kenya, le Ghana, la Namibie et la Tanzanie - ainsi que d’autres qui soutiennent activement le sommet et participent à ses événements - méritent de voir leurs talents représentés aux plus hauts niveaux de l’organisation. Le Africa Energies Summit doit prendre les devants et s’assurer que la diversité dont il bénéficie sur ses marchés africains se reflète dans la diversité de sa main-d’œuvre.
"Frontier tire une grande partie de ses revenus de l’Afrique, mais aucun Noir n’est embauché au sein de l’entreprise. Ils embauchent des personnes qu’ils connaissent, en qui ils ont confiance et qu’ils apprécient, mais nous ne faisons pas partie de ce cercle. Je suis profondément déçu. Les Noirs africains sont des participants et des sponsors importants de leurs programmes. Je pense que nous sommes tout à fait capables de faire le travail, mais il n’y a pas eu de véritable engagement à nous embaucher ou à nous promouvoir. Nous devons également discuter sérieusement des raisons pour lesquelles le Africa Energies Summit de Londres n’est pas organisé en Afrique", a déclaré NJ Ayuk, président exécutif de la Chambre africaine de l’énergie.
La Chambre africaine de l’énergie appelle le sommet Africa Energies de Londres à reconnaître la nécessité urgente de remédier à la sous-représentation des Noirs africains dans les postes de direction au sein de son organisation. Il s’agit là d’une occasion cruciale pour le sommet de prouver son engagement en faveur d’une véritable diversité et d’une véritable inclusion en s’appuyant sur les talents, les compétences et le potentiel des esprits les plus brillants d’Afrique
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