
In objéktif pou trapé : In dévlopman korèk …sansa sé in bilan négatif !
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La zone de libre-échange continentale africaine (ZLECAf) pourrait encore accroître les exportations d’environ 30%
16 octobre 2023
Standard Chartered a publié aujourd’hui son rapport intitulé Future of Trade : Africa, qui met en lumière les perspectives du commerce africain et donne un aperçu de la Zone de libre-échange continentale africaine (ZLECA) en tant que principal promoteur de l’optimisation du commerce intra-africain.
Le rapport indique que les exportations totales de l’Afrique atteindront 952 milliards de dollars d’ici 2035 et que la ZLECAf, une fois pleinement mise en œuvre, a le potentiel d’augmenter ce chiffre de 29 % supplémentaires. Cela représente un taux de croissance annuel de 3 % d’ici 2035.
L’augmentation des niveaux de commerce régional et une plus grande connectivité débloqueront des corridors à forte croissance à travers l’Afrique et au-delà. Le commerce intra-africain devrait atteindre 140 milliards de dollars d’ici 2035, soit 15 % des exportations totales de l’Afrique.
Les corridors de l’Afrique avec certaines des régions les plus dynamiques du monde connaîtront une croissance plus rapide que la moyenne mondiale de 4,3 %. Le corridor Afrique de l’Est-Asie du Sud devrait s’imposer comme le corridor majeur à la croissance la plus rapide, soit 7,1 % par an jusqu’en 2035. Les corridors Moyen-Orient-Afrique du Nord et Moyen-Orient-Afrique de l’Est connaîtront également une croissance importante, leur volume d’échanges combiné devant atteindre près de 200 milliards de dollars d’ici 2035.
La ZLECAf n’est pas la première tentative faite par les marchés africains pour promouvoir une plus grande cohésion, mais les accords existants ont souvent des objectifs qui se chevauchent ou se contredisent, créant ainsi un « effet bol de spaghettis ». Il existe huit communautés économiques régionales (CER) importantes reconnues par l’Union africaine (UA), et la plupart des marchés de l’UA sont membres de deux CER ou plus, ce qui rend le commerce intra-africain moins compétitif en raison des coûts élevés de conformité et d’administration. La ZLECAf pourrait contribuer à résoudre ce problème en mettant en œuvre des règles d’origine communes, qui accordent à tous les 54 membres de la zone de libre-échange un accès commercial préférentiel aux marchés les uns des autres, dans la mesure prévue par l’accord.
Cependant, l’Afrique doit encore surmonter des obstacles pour réaliser pleinement le potentiel de ses opportunités commerciales. Selon une enquête menée auprès de plus de 100 chefs d’entreprise africains, 63 % des personnes interrogées ont déclaré que des règles commerciales complexes et incertaines constituaient l’un des principaux problèmes du commerce intra-africain. 53 % des personnes interrogées ont indiqué que le sous-développement des infrastructures de transport constituait un obstacle majeur. 51 % ont cité l’inefficacité des facilitateurs du commerce comme un autre obstacle, tandis que 46 % ont relevé un accès limité et/ou coûteux au capital comme un défi de taille.
Environ 90 % des personnes interrogées estiment que la ZLECAf peut résoudre la plupart de ces problèmes. Des progrès ont été réalisés à cet égard, la ZLECAf ayant pris des mesures pour lever les obstacles au moyen de diverses initiatives, telles qu’un mécanisme de notification et une initiative commerciale guidée visant à accélérer les échanges[1] entre les pays.
La numérisation joue également un rôle important dans le renforcement du commerce intra-africain. Le rapport démontre que l’adoption de solutions de financement de la chaîne d’approvisionnement (SCF) numérique pourrait débloquer 34 milliards de dollars de valeur à l’exportation dans cinq grands marchés africains d’ici 2035. La quasi-totalité (97 %) des personnes interrogées sont intéressées par les solutions de financement de la chaîne d’approvisionnement numérique, mais citent les contraintes de ressources, le fossé technologique et les problèmes d’interopérabilité comme principaux obstacles à leur adoption.
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