
Mal-do-mèr dann sarèt
28 juin, parLo zour la pokor kléré, Zan-Lik, Mariz é sirtou Tikok la fine lévé, mèt azot paré. Madanm Biganbé i tir zot manzé-sofé, i donn azot, zot i manz. (…)
Santé
31 janvier 2014
La Fédération internationale des Sociétés de la Croix-Rouge et du Croissant-Rouge (FICR) et le Fonds mondial de lutte contre le sida, la tuberculose et le paludisme viennent de signer un accord de subvention visant à étendre l’accès au traitement contre la tuberculose au Niger, l’un des pays qui affichent les taux de tuberculose les plus élevés en Afrique de l’Est.
GENEVE, Suisse, 31 janvier 2014/African Press Organization (APO)
La subvention, d’un montant de 10 millions d’euros sur deux ans, permettra à la population du Niger, estimée à 17 millions environ, de bénéficier de services de diagnostic et de traitement de la tuberculose de qualité. Elle permettra de renforcer les structures existantes et d’étendre le traitement à près de 26°000 personnes, en particulier les populations vulnérables, y compris les communautés nomades, les groupes de migrants et les détenus, dans 200 centres de soins d’ici 2015.
La tuberculose, qui touche chaque année 8,6 millions de personnes et en tue 1,3 millions alors même qu’elle peut être entièrement guérie et évitée, représente un problème majeur de santé publique. Au Niger, l’incidence de la maladie reste élevée même si le nombre de cas a baissé au cours des dernières années. Lorsque des médicaments sont prescrits et les posologies respectées, la tuberculose peut, dans la majorité des cas, être facilement traitée.
« L’accès à des services de diagnostic et de traitement viables est une priorité absolue pour un pays comme le Niger où le manque de financements prévisibles, d’appuis techniques continus et de personnel de santé ont sérieusement miné la capacité du gouvernement à fournir de manière régulière des services de qualité et à distribuer les médicaments nécessaires », précise Bekele Geleta, Secrétaire général de la Fédération internationale. « Avec le soutien du Fonds mondial, nous serons en mesure de permettre aux populations vivant dans les régions les plus démunies, en particulier les personnes souffrant de discrimination et vivant en marge de la société, d’avoir accès à un traitement.
Malgré un engagement fort au niveau politique et local en faveur de la lutte contre la tuberculose, les conséquences liées à la maladie pèsent lourdement sur un système de santé déjà surchargé. Le traitement peut durer jusqu’à six mois et nécessite de la part du personnel de santé ou des volontaires formés un suivi strict et un soutien constant. Sans ce suivi et ce soutien, l’adhésion au traitement est rendue difficile, ce qui peut favoriser la propagation de la maladie.
« La subvention permettra de soutenir et de renforcer les capacités existantes, en étroite collaboration avec le Programme national de lutte contre la tuberculose du ministère de la Santé », a indiqué Mark Dybul, directeur exécutif du Fonds mondial. « De par son ancrage communautaire unique et son expérience, la Fédération internationale est un excellent partenaire dans le cadre des efforts que nous avons entrepris pour accélérer la lutte contre la tuberculose et permettre un meilleur dépistage des populations à risque. »
Au Niger, seuls 46 pour cent des personnes atteintes de tuberculose ont été soumises à un test de dépistage du VIH. Le VIH et la tuberculose forment une combinaison mortelle, chacune des maladies accélérant la progression de l’autre. Une personne séropositive souffrant de tuberculose a plus de chance de souffrir d’une forme évolutive de la tuberculose. Grâce à la subvention il sera possible de faire en sorte que toutes les personnes souffrant de tuberculose puissent être dépistées et bénéficient d’un traitement précoce.
« Nous pensons que personne ne doit être oublié dans la lutte contre la tuberculose », a rappelé le Secrétaire général de la Fédération internationale. « Un accès équitable à un diagnostic et un traitement de qualité et le soutien de volontaires communautaires qualifiés constituent la formule gagnante pour accélérer les progrès vers l’objectif qui est le nôtre de parvenir à zéro décès, zéro infection et zéro souffrance liés à la tuberculose. »
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