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Troisième unité de ce type soutenue par Médecins sans Frontières en Afrique centrale et de l’Ouest
1er décembre 2016, par
L’organisation humanitaire médicale Médecins Sans Frontières (MSF) a inauguré lundi l’Unité de Soins, Formation et Recherche (USFR) à l’hôpital Donka, en partenariat avec le ministère de la Santé guinéen.
L’USFR offrira des soins gratuits et de qualité aux personnes atteintes de maladies opportunistes VIH, telles que le sarcome de Kaposi ou la cryptococcose neuroméningée. Le centre mènera également des activités de recherche médicale et assurera des sessions de formation pratique, en collaboration avec l’Université de Conakry, afin d’améliorer la qualité des soins proposés aux patients atteints d’une forme avancée du sida en Guinée.
« Nos équipes en Guinée voient de nombreux patients sévèrement malades, qui rencontrent de grandes difficultés à accéder aux traitements contre les infections opportunistes du VIH et aux tests biologiques réguliers pour le suivi médical », explique Ibrahim Diallo, chef de mission de MSF en Guinée. « Les principaux obstacles qu’ils rencontrent sont les coûts élevés en cas d’hospitalisation, l’accès aux médicaments spécifiques au traitement des stades avancés du VIH, et la stigmatisation dont souffrent les patients. Sans traitement régulier, les personnes vivant avec le VIH risquent de tomber gravement malades. Nous nous sommes rendu compte qu’en Guinée, il n’existait que très peu de soins spécialisés pour ce type de cas, et c’est pourquoi l’USFR a été créée. »
L’USFR est la troisième unité de traitement des patients atteints d’une forme avancée du sida soutenue par MSF en Afrique centrale et de l’Ouest, après l’ouverture en avril 2016 d’une unité de seize lits au sein de l’hôpital communautaire de Bangui, en République centrafricaine, et d’un centre de quarante lits à l’hôpital Kabinda, en République démocratique du Congo. Les patients reçus par les équipes médicales sont si malades à leur arrivée à l’hôpital qu’un tiers d’entre eux décèdent dans les jours suivant leur admission.
Aujourd’hui, seulement cinq pour cent des Guinéens connaissent leur statut sérologique au VIH et 29 pour cent des personnes qui seraient séropositives reçoivent un traitement. Les obstacles à l’accès aux soins contre le VIH sont nombreux ; le système national de recouvrement des coûts et les problèmes d’approvisionnement en médicaments empêchent un déploiement plus large des traitements antirétroviraux.
« Les soins hospitaliers sont un élément important de la lutte contre le VIH, mais ils ne sont pas suffisants. La prévention et les soins restent une priorité de santé nationale. Tout le monde devrait être sensibilisé pour bénéficier de tests de dépistage du VIH et de la tuberculose, afin de connaître son ‘état’ par rapport à ces maladies. Les patients de plus en plus stables devraient aussi pouvoir se procurer plus facilement des réserves de traitements antirétroviraux pour six mois, afin de suivre correctement leur traitement et rester en bonne santé », explique Dr. Ahmed Abdelrahman, coordinateur médical adjoint pour MSF.
MSF va continuer de collaborer avec le Ministère de la Santé afin d’améliorer de façon significative l’accès gratuit aux tests de dépistage et aux soins contre le VIH et la tuberculose, dans six centres de santé périphériques de Conakry. MSF continuera également de mener des activités de sensibilisation dans le pays, autour des possibilités de prévention et de prise en charge du VIH. .
Note aux médias : MSF est présente en Guinée depuis 1984. Depuis l’introduction des traitements antirétroviraux en 2003, elle offre des services liés au VIH et à la tuberculose. Actuellement, l’organisation apporte son soutien à près de 9 000 patients atteints du VIH (24 pour cent des personnes sous antirétroviraux à l’échelle nationale) en collaboration avec le Ministère de la Santé.
MSF intervient dans six Centres de Santé à Conakry et dans un centre médical communal à Matam, pour améliorer l’accès au diagnostic, au traitement, aux activités de soutien à la bonne prise du traitement VIH et de promotion de la santé. Dans les structures de santé qu’elle soutient, MSF propose également des tests de charge virale, et collabore avec les associations de patients qui apportent un ‘soutien entre pairs’ aux patients, gèrent des ‘observatoires’ des résultats des programmes de santé et militent en faveur d’un meilleur accès aux antirétroviraux.
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Messages
1er décembre 2016, 08:24, par Georges Gauvin
Moin la vi dann télé in roportaz dsi in vaksin kont lo sida . Lo vaksin la fine invanté ,astèr l’apré éspérimanté dsi sink san pèrsone volontèr : la moityé va gingn in pikir avèk lo vaksin, la moityé va gingn in pikir avèk in plasébo d’dan.Kan sar fini so l’éspérimantasyon va oir si lo vaksin i marsh sansa si li marsh pa.Touléka, bann médsin la dékouvèr vaksin-la dann l’afrik di sid lé optimis ; zot i kont dsi sa réisite.