
Mal-do-mèr dann sarèt
28 juin, parLo zour la pokor kléré, Zan-Lik, Mariz é sirtou Tikok la fine lévé, mèt azot paré. Madanm Biganbé i tir zot manzé-sofé, i donn azot, zot i manz. (…)
Droits humains
18 janvier 2014
Un ancien Ministre de la défense érythréen a instamment prié l’UIP et la communauté internationale de tout mettre en œuvre pour 11 collègues parlementaires incarcérés en Erythrée en 2001 et jamais inculpés.
GENEVE, Suisse, 17 janvier 2014/African Press Organization (APO)
Lors d’une audition devant le Comité des droits de l’homme des parlementaires de l’UIP, Mesfin Hagos, l’une des 15 personnalités politiques à avoir écrit en 2001 une lettre ouverte au Président de l’Erythrée, Isaias Afewerki, a dit qu’il craignait le pire pour les 11 parlementaires connus sous le nom du Groupe des 11 ou G-11. M. Hagos et trois autres personnes avaient évité l’arrestation après la publication de la lettre ouverte, qui demandait que le Parlement érythréen puisse mettre en application la nouvelle Constitution nationale. Les autres, malheureusement, n’avaient pas eu cette chance.
Après avoir expliqué que le G-11 est sans doute détenu dans une prison de haute sécurité où le climat est très hostile et les chances de survie réduites, M. Hagos a dit que seul le Président Afewerki et quelques rares autres personnes savaient ce qu’il était vraiment advenu des onze prisonniers puisque même les gardiens de prison n’étaient pas autorisés à quitter la zone. Personne n’avait vu les prisonniers ni reçu de nouvelles d’eux depuis leur arrestation en septembre 2001.
M. Hagos a lancé un appel à l’action à tous les parlementaires de l’UIP pour que la lumière soit faite sur le sort du G-11, craignant que le climat chaud et aride, les mauvais traitements, l’âge et la maladie n’aient eu raison des parlementaires. Le Comité de l’UIP demeure vivement préoccupé par les informations reçues il y a quelques années, selon lesquelles seuls deux des 11 parlementaires seraient encore en vie.
Dans une résolution adoptée à sa 129ème Assemblée sur le cas du G-11, IPU a déploré le mépris des droits fondamentaux dont les autorités continuaient de faire preuve à l’égard des 11 anciens parlementaires et a, une fois de plus, prié instamment les autorités érythréennes de fournir des informations sur le sort des prisonniers du G-11. Il a aussi demandé à tous les membres de l’UIP de faire pression sur l’Erythrée pour obtenir leur libération et mettre fin au silence.
Pendant ses quatre jours de session à Genève, le Comité des droits de l’homme des parlementaires de l’UIP a accepté d’examiner des nouveaux cas en Colombie, en Iraq, à Oman et au Yémen. Il a adopté des décisions sur les cas de145 parlementaires de 21 pays dont les droits auraient été violés. Parmi ces cas figure celui d’un parlementaire tamoul de Sri Lanka, Sivaganam Shritharan, qui a échappé à une tentative d’assassinat en 2011 et qui est à nouveau menacé dans sa vie.
L’UIP est préoccupée d’apprendre que M. Sivaganam Shritharan et sa famille seraient harcelés et victimes de manœuvres d’intimidation d’agents des forces de l’ordre et est convaincue que rien n’arrêtera ceux qui lui veulent du mal tant qu’ils seront persuadés qu’ils n’auront pas de comptes à rendre.
L’UIP engage le Parlement et les autorités de Sri Lanka à veiller à ce que des mesures soient prises contre les auteurs de la tentative d’assassinat.
Elle a aussi constaté avec une extrême préoccupation que les auteurs des assassinats des quatre parlementaires libanais tués entre 2005 et 2007 n’avaient toujours pas été traduits en justice. Ces assassinats font partie de la vague d’attentats politiques qui a suivi la mort de l’ancien Premier Ministre libanais, Rafik Hariri. Le procès des quatre hommes accusés du meurtre de M. Hariri s’est ouvert à La Haye devant le Tribunal spécial pour le Liban le 16 janvier 2014.
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