
Mal-do-mèr dann sarèt
28 juin, parLo zour la pokor kléré, Zan-Lik, Mariz é sirtou Tikok la fine lévé, mèt azot paré. Madanm Biganbé i tir zot manzé-sofé, i donn azot, zot i manz. (…)
Il faut 2 milliards de dollars pour venir en aide à plus de 20 millions de personnes à risque d’insécurité alimentaire
3 février 2014
L’ONU et ses partenaires humanitaires ont lancé aujourd’hui un Plan triennal d’intervention stratégique pour venir en aide à des millions d’habitants de neuf pays de la région du Sahel en Afrique. Le plan cherche à mobiliser un capital initial de 2 milliards de dollars auprès des donateurs internationaux pour 2014.
ROME, Italie, 3 février 2014/African Press Organization (APO)
Quelque 20 millions de personnes sont actuellement menacées par l’insécurité alimentaire au Sahel, et 2,5 millions d’entre elles ont besoin de secours alimentaires d’urgence. On estime à 5 millions les enfants de moins de cinq ans qui souffriront de malnutrition en 2014, dont 1,5 million environ seront victimes de malnutrition aiguë. La violence et l’insécurité ont contraint 1,2 million d’habitants à abandonner leurs logements, entraînant des déplacements internes prolongés et une véritable crise de réfugiés.
"Jamais autant d’êtres humains au Sahel n’ont été à risque, et l’ampleur de leurs besoins est si colossale qu’aucune organisation, à elle seule, ne peut prétendre les affronter", a déclaré la Coordonnatrice des secours d’urgence de l’ONU, Valerie Amos, à Rome. "Le plan stratégique pour la région nous permettra de dispenser une assistance vitale à des millions de personnes, de renforcer leur résilience et de sauver des vies".
La stratégie sera articulée en neuf plans d’action déployés dans les pays suivants : Burkina Faso, Cameroun, Gambie, Mali, Mauritanie, Niger, Nigéria, Sénégal et Tchad. Basée sur de solides partenariats avec les Gouvernements et les partenaires de développement, elle misera sur une perspective régionale et s’échelonnera sur plusieurs années pour mieux s’attaquer aux causes chroniques des crises.
"Notre priorité la plus urgente est de faire en sorte que les agriculteurs du Sahel puissent mener à bien la campagne de semis qui se déroulera au cours des prochaines semaines, en leur fournissant rapidement des intrants agricoles", a expliqué le Directeur général de la FAO, José Graziano da Silva. "Mais il nous incombe aussi de veiller à ce que la prochaine sécheresse ne se transforme pas en une autre crise humanitaire à grande échelle. Avec le concours des gouvernements nationaux et des partenaires, nous travaillons à développer la résilience des populations sahéliennes en produisant des variétés de semences de qualité, en restaurant les terres agricoles dégradées, en conservant l’eau de pluie et en soutenant l’irrigation à petite échelle".
La légère amélioration de la production vivrière en 2013 n’a pas suffi à couvrir la croissance démographique de la région, tandis que les prix élevés sur la plupart des marchés ne font qu’aggraver le manque d’accès à la nourriture.
"La situation requiert une intervention humanitaire rapide et de grande envergure dans la quasi-totalité des pays du Sahel", a souligné Kristalina Georgieva, Commissaire européenne chargée de la coopération internationale, de l’aide humanitaire et de la réponse aux crises. "La Commission européenne débloquera 142 millions d’euros en faveur de l’aide humanitaire en 2014. D’autres contributions des bailleurs de fonds internationaux seront nécessaires au plus vite pour répondre aux besoins de première nécessité des populations du Sahel".
Le lancement de l’initiative à Rome s’est déroulé en présence de Romano Prodi, Envoyé spécial de l’ONU pour le Sahel ; d’Amir Abdulla, Vice-Directeur exécutif et Chef des Opérations du Programme alimentaire mondial (PAM) ; de Nancy Lindborg, Administratrice adjointe du Bureau de la démocratie, des conflits et de l’aide humanitaire (USAID) ; et de Robert Piper, Coordonnateur humanitaire régional pour le Sahel.
En 2013, l’appel pour le Sahel sollicitait 1,7 milliard de dollars et a été financé à hauteur de 63 pour cent.
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