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Droits humains
28 mars 2013
Médecins Sans Frontières appelle toutes les parties en République Centrafricaine à permettre aux patients de se rendre dans les structures de santé et de recevoir les soins médicaux dont ils ont besoin. MSF appelle également au respect du personnel médical, des bureaux et des structures de santé.
PARIS, France, 26 mars 2013/African Press Organization (APO)
Alors que le groupe d’opposition dénommé Séléka a investi Bangui, la capitale, Médecins Sans Frontières (MSF) appelle tous ceux qui sont engagés dans les combats de permettre à la population d’accéder aux soins de santé, dans la capitale et dans le reste du pays.
Ces derniers jours, en raison de la forte violence et de l’insécurité qui régnaient à Bangui, les opérations de MSF ont été gravement perturbées et des blessés dans un état critique n’ont pu être opérés. Depuis que la Séléka a pris le contrôle de la capitale, MSF s’inquiète du fait que tous les acteurs médicaux ne sont pas en mesure de fournir des soins de santé à la population de Bangui. Actuellement, 23 blessés ne peuvent pas être référés de notre projet d’urgence de Sibut vers Bangui pour y être soignés. Alors que de nombreuses personnes sont encore trop effrayées pour se rendre à l’hôpital, ces incidents empêchent MSF de fournir des soins essentiels à ceux qui en ont besoin.
Dans tout le pays et dans les principales villes prises par la Séléka, les personnes déplacées fuyant le conflit ont eu des difficultés à atteindre les établissements de santé. Les opérations MSF se poursuivent à Carnot, Paoua, Mboki, Zemio, Boguila, Batafango, Kabo, Sibut et Ndélé. MSF demande que soit garanti l’accès aux services de santé pour les personnes dans le besoin, la population et le personnel médical, sans courir le risque d’être ciblés.
MSF a également été victime de pillages et de vols dans ses installations et demande que soient respectées les structures médicales, les ambulances, le personnel médical et les patients malades et blessés. « MSF condamne le pillage et les vols qui ont eu lieu dans nos locaux à Bangui, Batangafo et Kabo, et rappelle à tous les acteurs que le personnel médical doit être respecté et doit recevoir toute l’aide disponible pour l’exercice de ses fonctions », note Serge St. Louis, chef de mission MSF à Bangui.
Une fois que les conditions de sécurité le permettent, MSF va évaluer les besoins médicaux dans Bangui et d’autres villes à travers le pays et prendre les mesures d’urgence nécessaires pour répondre aux besoins médicaux.
MSF travaille en République centrafricaine depuis 1996. 80 volontaires internationaux travaillent dans cinq des 17 préfectures du pays.
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