
Mal-do-mèr dann sarèt
28 juin, parLo zour la pokor kléré, Zan-Lik, Mariz é sirtou Tikok la fine lévé, mèt azot paré. Madanm Biganbé i tir zot manzé-sofé, i donn azot, zot i manz. (…)
28 janvier 2014
Alors que le premier convoi transportant une assistance vitale a atteint lundi 27 janvier la capitale Centrafricaine, le Programme alimentaire mondial des Nations Unies (PAM) se félicite de la coopération qui a permis cette livraison mais insiste sur la nécessité de sécuriser les routes du pays afin de pouvoir fournir des vivres à un nombre toujours croissant de personnes déplacées.
BANGUI, République Centrafricaine, 28 janvier 2014/African Press Organization (APO)
Dix camions transportant de la nourriture du PAM – 250 tonnes de riz et de maïs – sont arrivés à Bangui, après un voyage de 600 kilomètres depuis la frontière camerounaise. Les camions faisaient partie d’un convoi de 60 véhicules escortés par les troupes de la Mission Internationale de Soutien à la Centrafrique sous conduite Africaine (MISCA). Le convoi a été ralenti par de fréquents barrages tenus par les groupes armés.
« Une bonne coopération avec la MISCA, le Cameroun et les responsables de la RCA a permis aux vivres d’arriver au moment où nos approvisionnements arrivaient à épuisement », a déclaré Denise Brown, directrice régionale du PAM en Afrique de l’ouest. « Mais de nouvelles escortes seront nécessaires dans les semaines à venir, car la nourriture arrivée lundi représente à peine 5% des céréales nécessaires pour couvrir les besoins d’assistance dans le pays pendant un mois. »
En effet, 41 autres camions transportant des céréales du PAM sont toujours bloqués à la frontière avec le Cameroun, comme des centaines d’autres véhicules. Les chauffeurs sont réticents à l’idée de franchir la frontière, en dépit de l’offre d’escortes militaires sur la route menant à Bangui. L’impact sur l’approvisionnement alimentaire de la capitale et le reste du pays est désastreux.
« Nous ne pouvons pas nous permettre d’interrompre le flux de nourriture tant les personnes déplacées, déracinées par le conflit, dépendent de nous. Nous travaillons avec toutes les parties pour essayer de débloquer la situation à la frontière, tout en envisageant de transporter des vivres par voies aériennes depuis le Cameroun. Cette opération, qui sera décidée en dernier ressort, augmenterait considérablement les coûts, » a indiqué Denise Brown.
Le PAM a fait des distributions à l’aéroport de Bangui une priorité et a commencé de nouvelles distributions aux 40 000 personnes dans et autour de la ville de Bossangoa. Les livraisons ne peuvent continuer à d’autres endroits tant que les camions ne pourront pas circuler dans le pays en toute sécurité.
Le PAM exhorte une nouvelle fois toutes les parties au conflit à autoriser le passage en toute sécurité et sans entrave au personnel humanitaire ainsi qu’aux vivres destinés aux populations dans le besoin. Les distributions alimentaires ont été suspendues dans les villes du nord-ouest de Bouar et Bozoum à cause des combats. Avant cette interruption, près de 10.000 personnes recevaient des rations de céréales, de légumineuses, d’huile végétale et de sel à Bouar.
Depuis le début de l’année, le PAM a fourni une aide alimentaire à 193.000 personnes à Bangui, Bossangoa et Bouar, dont 50 000 personnes regroupées dans les camps de fortune sur les bords de l’aéroport international de Bangui et 25.000 autres personnes, installées dans de petits camps dans la capitale.
L’opération d’urgence du PAM est sous-financée et n’a reçu jusqu’ici que 12% des 107 millions de dollars nécessaires pour venir en aide à quelque 1,25 millions de personnes en RCA dans les prochains six mois. Afin que les personnes déplacées puissent recevoir une assistance, un nouveau financement est nécessaire pour acheter des vivres et les pré-positionner dans le pays avant le début de la saison des pluies en mai.
Une évaluation humanitaire rapide a été menée du 24 au 28 décembre dans 86 communautés, y compris les zones urbaines de Bangui et Bossangoa, a montré que 2,6 millions de personnes ont actuellement besoin d’aide humanitaire. La priorité des femmes est la protection et la nourriture.
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