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6 juin
Le parquet s’est opposé à la remise en liberté sous contrôle judiciaire du leader indépendantiste Christian Tein, qui devrait rester en détention dans l’immédiat dans sa cellule de la prison de Mulhouse-Lutterbach (Haut-Rhin).
Pourtant, des juges d’instruction, chargés de l’enquête sur les émeutes mortelles de 2024 en Nouvelle-Calédonie, ont ordonné le 5 juin la remise en liberté sous contrôle judiciaire du leader indépendantiste Christian Tein.
Le référé-détention opposé par le ministère public fait que Christian Tein va rester dans l’immédiat en prison. La Cour d’appel de Paris devra dire d’ici peu si elle se range à la position des magistrats instructeurs ou si elle maintient Christian Tein en détention.
Selon une source proche du dossier, citée par l’Agence France Presse, les trois juges d’instruction ayant interrogé Christian Tein, 57 ans, le 27 mai à Paris, ont accepté sa remise en liberté sous contrôle judiciaire, avec interdiction de se rendre en Nouvelle-Calédonie et d’entrer en contact avec 13 autres protagonistes du dossier.
Les magistrats avaient alors estimé qu’à ce stade de la procédure, il n’est pas démontré que Christian Tein ou d’autres mis en examen auraient préparé un attroupement armé ou un groupement violent, selon la source proche du dossier.
De plus, les juges d’instruction ont relevé l’importance de l’éloignement géographique subi par Christian Tein avec la Nouvelle-Calédonie, distante de l’Hexagone de plus de 16 500 kilomètres.
Le Parquet s’est opposé à cette libération. Il a estimé que Christian Tein est le commanditaire d’un plan d’actions violentes contre l’État et qu’il pourrait vouloir se soustraire à la justice grâce à des complices, s’il parvenait à rejoindre la Nouvelle-Calédonie, suite à sa remise en liberté.
Un juge de la cour d’appel de Paris doit dire dans les 48 heures s’il suspend ou non l’ordonnance de mise en liberté. Si c’est bien le cas, Christian Tein resterait en détention, et la chambre de l’instruction aurait ensuite dix jours pour confirmer ou infirmer la remise en liberté.
Dans un communiqué, les trois avocats de Christian Tein, Mes François Roux, Pierre Ortet et Florian Medico, se sont « félicités de la nouvelle lecture du dossier » par les juges et ont estimé que l’opposition du parquet de Paris était « en totale déconnexion avec les évidences de la procédure ».
Christian Tein est le chef de la Cellule de coordination des actions de terrain (CCAT), organisation que la justice soupçonne d’être derrière les émeutes qui ont éclaté le 13 mai 2024 en Nouvelle-Calédonie, faisant 14 morts et plus de 2 milliards d’euros de dégâts. Dix autres militants de la CCAT, ont été mis en examen dans la foulée, dans le cadre d’une enquête d’abord instruite à Nouméa.
Les investigations ont été ouvertes sur des soupçons de complicité de tentatives de meurtres, association de malfaiteurs, participation à un groupement formé en vue de la préparation de violences contre les personnes ou de destructions ou dégradations de biens, vols avec arme et destructions, en bande organisée. En janvier 2025, l’information judiciaire a été confiée à des juges d’instruction parisiens, après être passés dans les mains des juges à Nouméa.
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