
La vérité lé tétu ! i pé pa tourn ali lo do kontinyèlman !
4 juillet, parMézami, mon bann dalon, si in zour in listorien i désside rakonte anou bien konm k’i fo listoir La Rényon, mwin lé sirésèrtin li va parl anou (…)
Prêts à porter :
14 janvier 2013
Comment se décompose le prix d’un vêtement fabriqué au Bangladesh ? Pour un vêtement acheté plusieurs dizaines d’euros, 1,90 couvrent le salaire des travailleurs.
- Sur une pièce achetée 10 euros à sa sortie d’usine au Bangladesh : 6 euros seront destinés à l’achat de matières premières (tissus, fermetures éclair, boutons, accessoires).
- 1,80 euro servira à payer les coûts industriels (énergie, amortissement des machines à coudre, marge).
- 1,90 euro sera destiné à couvrir le coût du travail pour la coupe du tissu, la couture, le repassage.
- 10 centimes seront pour l’emballage.
- 10 centimes couvriront les tests matières, la teinture et le lavage.
- 10 centimes couvriront la commission du bureau d’achat, l’intermédiaire local veillant à l’exécution de la commande.
- Le transport en conteneur, par bateau, et la livraison chez un détaillant coûteront au total 50 centimes. Vendu dans les enseignes de la grande distribution ou en boutique, le prix final représente 3 à 6 fois le coût d’un vêtement à sa sortie d’usine. Cela couvre à la fois les frais de conception, en amont, puis le stockage et le fonctionnement du magasin, en aval, ainsi que les frais de publicité, les taxes et la marge, qui peut varier énormément selon la marque.
L’industrie textile au Bangladesh
Elle a pris son essor dans les années 1980, sous l’effet d’investissements étrangers : indiens, chinois ou européens. Toutefois, 70% des usines sont détenues par des Bangladais. Plus de 5.000 usines locales emploient aujourd’hui 4 millions de personnes. Le secteur a connu une croissance de 25% en 2010 et 30% en 2011. Selon une étude du cabinet McKinsey, les exportations de produits textiles du Bangladesh devraient être multipliées par trois d’ici à 2020. Le pays est freiné par la faiblesse de ses infrastructures : les coupures d’électricité et le manque de capacité des ports. Mais il bénéficie du fait que le coût du travail y est parmi les moins élevés d’Asie. De plus, les usines se montrent flexibles, capables de répondre rapidement à de grosses commandes. Le salaire minimum était de 17 euros par mois au Bangladesh jusqu’en 2010. À la suite d’une longue grève cette année-là, il a été porté à 30 euros et n’a pas bougé depuis.
85% des salariés du secteur textile au Bangladesh sont des femmes. La grande pauvreté recule au Bangladesh : la part de population vivant sous le seuil de pauvreté était de 49% en 2000, elle est passée à 32% en 2010.
(Source : La Croix)
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