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Par manque d’investissements
11 décembre 2012
Le Burundi vit une crise énergétique chronique depuis des années, malgré un potentiel hydro-électrique de 1.200 mégawatts, constate-t-on.
Au cours de ces 26 dernières années, aucun nouveau barrage hydroélectrique n’a été construit dans le pays et la Régie de production de l’eau et l’électricité (REGIDESO) ne dispose actuellement que de 30 mégawatts, selon le ministre de l’Énergie et des Mines, Côme Manirakiza.
Ce dernier a multiplié ces derniers jours ses sorties dans la presse pour contenir la colère des consommateurs qui souffrent de délestages interminables depuis le mois de juillet dernier.
La plus grande centrale hydroélectrique de Rwegura (Nord-Ouest) produit à elle seule 18 des 30 MW actuellement disponibles.
La situation pourrait empirer dans les prochains mois avec l’annonce par le ministre de l’Énergie de la mise au repos de la vieillissante centrale dont les turbines tournent dans le vide par manque d’eau de pluie en quantité suffisante.
Le déficit énergétique en période pluvieuse s’élève à 15 MW, alors qu’il est estimé à 28 MW durant la période estivale, selon la REGIDESO.
En attendant les pluies, le ministre de l’Énergie a annoncé la mise en marche prochaine d’une centrale diesel, ce qui pourrait corser les factures d’électricité déjà difficilement supportables pour les clients ordinaires de la REGIDESO.
Une centrale qui utilise le carburant produit de l’électricité à un prix presque six fois plus élevé qu’un barrage hydroélectrique, a reconnu le ministre de l’Énergie et des Mines.
Des projets de nouveaux barrages hydroélectriques sont à l’étude qui pourraient générer quelque 300 MG d’ici 2030, selon le ministre.
L’exploitation des gisements de nickel nécessitera, à elle seule, 200 MW, a-t-il indiqué.
En effet, le Burundi compte beaucoup sur cette richesse naturelle abondante pour assurer son développement socioéconomique.
Les quantités estimées de nickel sont comprises entre 200 millions et 230 millions de tonnes.
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