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Francophonie et mondialisation des échanges
25 mars 2013
La Journée internationale de la Francophonie a été célébrée jeudi à Bujumbura. Au Burundi, l’émergence du chinois et de l’anglais amène une recomposition. Ce pays est une ancienne colonie belge, sa langue officielle est le français. Il partage une frontière avec la Tanzanie, ancienne colonie britannique.
Le monopole du français, en tant que langue officielle dans le pays, avait résisté à la politique nationale de “Kirundisation” de l’enseignement dans les années 80, avant de céder du terrain au cours de ces cinq dernières années d’adhésion du Burundi à la Communauté anglophone des pays d’Afrique de l’Est (CEA) de libre échange.
L’autre épreuve annoncée pour la “Langue de Molière” est la demande en cours d’adhésion du Burundi au Commonwealth qui regroupe les anciennes colonies anglaises.
Au niveau officiel, on estime que le désenclavement culturel et même physique du pays passe par là et l’on ne considère plus comme un tabou le fait d’accepter l’usage d’autres langues étrangères dans la vie de tous les jours, malgré les relations privilégiées de longue date avec la famille francophone.
Le gouvernement burundais encourage et facilite de plus en plus l’accès de ses fonctionnaires et autres citoyens aux cours du soir en anglais afin d’être en relation directe d’affaires avec la CEA résolument anglophones.
Un haut cadre du Ministère burundais des Relations extérieures et de la Coopération internationale, Isaïe Kubwayo, a cependant mis du bémol dans cette concurrence, jeudi, lors des cérémonies commémoratives de la Journée internationale de la Francophonie, en déclarant que son pays constitue aujourd’hui un « carrefour de deux civilisations complémentaires et non concurrentes aux plans culturel et linguistique » .
Le français doit encore composer avec l’influence grandissante au Burundi de la culture orientale à la faveur de la récente ouverture d’un institut Confucius à l’Université du Burundi chargé de vulgariser la langue chinoise dans le pays.
Les relations diplomatiques et d’affaires marchent également bien entre les deux pays et sont de nature à conférer une place de choix à la langue chinoise au Burundi, dit-on dans les milieux linguistiques à Bujumbura.
D’autres craignent de voir le Burundi s’enfermer plutôt dans une “Tour de Babel” à force de se mettre résolument à la mode linguistique du temps, comme cela s’observe déjà surtout chez les plus jeunes qui maîtrisent mal à la fois le français et l’anglais, quand ils ne les mélangent pas dans la vie de tous les jours.
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