
Assemblée générale de la section PCR de Sainte Suzanne
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4 mars 2014
Dans un soutien marqué au Mécanisme africain de réaction rapide, le Kenya a invité l’Assemblée générale de l’ONU à envisager une réforme en profondeur des futures opérations internationales de maintien de la paix, en insistant davantage sur la protection et le déploiement rapide des troupes.
Le Kenya, qui reste actif dans l’apaisement des conflits au Soudan du Sud, en Somalie et dans la région occidentale soudanaise du Darfour, estime que l’approche de l’ONU du maintien de la paix présente plusieurs failles.
"Le maintien de la paix ne devrait pas être la solution aux conflits. Nous recommandons des systèmes d’alerte et d’intervention précoces au tout début des conflits", a déclaré le Représentant permanent du Kenya auprès des Nations unies, Macharia Kamau, qui avait proposé cette réforme quelques semaines avant la crise au Soudan du Sud.
Un débat fait rage actuellement en Afrique sur le fait de savoir si l’Union africaine doit maintenir son projet de création d’un mécanisme de déploiement rapide ou se concentrer sur le lancement de la Force africaine en attente (FAA).
La FAA a été créée pour faire face aux conflits civils émergents et aux catastrophes humanitaires, mais des divergences relatives à son commandement ont empêché son déploiement.
Le Kenya est un des dix principaux pays contributeurs de troupes aux opérations de maintien de la paix de l’ONU et ses troupes ont participé à la plupart des opérations de maintien de la paix approuvées par l’ONU et l’UA, ce pays alignant ses obligations internationales sur ses intérêts intérieurs à travers sa politique étrangère.
"Nous avons effectué plusieurs missions de maintien de la paix en Afrique et à travers le monde. Du Kosovo au Tchad, de l’ex-Yougoslavie au Burundi, en Sierra Leone, au Rwanda en passant par le Soudan du Sud", a rappelé à la PANA le porte-parole du ministère kényan de la Défense, Bogita Ongeri.
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