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Visite du vice-Premier ministre de la Chine à Bruxelles
4 mai 2012, par
Après la visite du Premier ministre, Wen Jiabao, le vice-Premier ministre chinois, Li Keqiang, a réaffirmé les intentions de la Chine à soutenir l’Union européenne, lors de son voyage dans les États membres et à Bruxelles.
Le 26 avril, Wen Jiabao avait promis d’ouvrir une ligne de crédit de 10,5 milliards de dollars pour « approfondir la coopération » avec l’Europe de l’Est. Une semaine plus tard, son probable successeur, Li Keqiang, a signé sept accords de coopération à Budapest.
Renforcement de la coopération
« La Chine soutient fermement l’Europe, en paroles et en actes, dans ses efforts pour surmonter la crise actuelle. Au cours des deux dernières années, les importations chinoises en provenance des pays européens ont augmenté à un taux annuel de plus de 25%. L’année dernière, la Chine a presque doublé ses investissements directs en Europe, et souscrit plusieurs fois aux obligations émises par des pays européens », a déclaré Li Keqiang, lors d’un point presse à Bruxelles.
L’Europe représente l’un des plus importants marchés de Chine, avec 28% de leurs exportations. Ils ont donc tout intérêt à ce que la zone euro ne s’effondre pas, a expliqué François Godement, directeur de l’Asia Center à Sciences Po. La Chine est en train de devenir l’un des principaux créanciers de l’Europe. « Il est difficile de savoir quelle est la part exacte de la dette de la zone euro détenue par Pékin. Contrairement aux Américains, les Européens ne disposent pas de données précises sur l’origine des acheteurs », a expliqué François Godement.
Face à la crise économique et financière, les Chinois pensent que l’Europe pourra surmonter la crise et a donc acheté en conséquence de la dette souveraine européenne. De plus, avec le changement gouvernemental à venir et les nouveaux objectifs fixés par Pékin, dans les domaines énergétique et environnemental, des biotechs, des technologies de l’information, de l’industrie à haute valeur ajoutée (ferroviaire, aéronautique...), des nouveaux véhicules et des nouveaux matériaux, les Chinois constatent que : « Dans la plupart de ces domaines, la Chine juge que ce ne sont pas les États-Unis, mais l’Europe qui est en pointe », a expliqué André Loesekrug-Pietri, président du fonds A Capital et spécialiste de la Chine.
Rompre le bloc Etats-Unis-Europe
Voulant éviter une confrontation bilatérale avec les États-Unis, Pékin a besoin d’une Europe solide pour pouvoir conserver un certain avantage économique, financier et diplomatique. « Globalement, la stratégie des Chinois consiste, pour un certain nombre de sujets abordés dans les grandes négociations internationales (G-20, OMC, Conférences sur le climat...), à essayer de rompre le front commun États-Unis-Europe », a précisé Antoine Brunet, directeur du cabinet de conseil AB Marchés.
En effet, Pékin a fait savoir à de nombreuses reprises sa volonté d’acquérir le statut d’économie de marché en contrepartie de son aide financière à l’Europe. Toutefois, de nombreux Européens étaient réfractaires à cette condition, car le marché européen pourrait être rudement mis en concurrence avec les produits Made in China. L’an dernier, un vent froid s’était glissé au sein des relations sino-européennes, bien que Pékin ait annoncé son soutien. Aujourd’hui, les autorités chinoises réitèrent leur volonté d’acquérir le statut d’"économie de marché", qui permettrait à la Chine d’éviter de payer des droits de douane prohibitifs.
Sur le plan politico-militaire, Pékin souhaite obtenir la fin de l’embargo sur les armes que l’Europe avait failli lever il y a cinq ans, avant de renoncer, sous la pression des Américains.
Comprenant la complexité de la situation, Pékin avait laissé les choses se faire, et « contrairement à ce que l’on entend en Europe, la presse chinoise a plutôt tendance à reprocher à ses dirigeants de ne pas réclamer davantage de contreparties en échange de son aide », a témoigné Bei Xu, économiste chez Natixis, dans “L’Express”. Pour l’instant, Pékin n’a posé aucune condition à son aide, mais pourrait le faire à terme, car pour beaucoup d’experts occidentaux, la Chine pourrait devenir la première puissance économique mondiale d’ici à 2030.
Céline Tabou
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