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Délocalisations — 2 —
11 août 2012, par
Aujourd’hui, la mondialisation entre dans une nouvelle phase avec la pression des pays émergents, comme la Chine et l’Inde, sur les économies occidentales. Ces derniers gardent la main sur l’économie mondiale, notamment dans la recherche et l’industrie, et entrent en concurrence avec les pays développés.
Les pays émergents et développés sont en confrontation, tant sur les plans commerciaux et économiques que diplomatiques. Mais les différends aboutissent souvent devant les institutions internationales, comme l’Organisation mondiale du commerce, qui tranche en faveur d’une partie ou d’une autre, selon la position du pays sur le marché.
Les Occidentaux attaquent la Chine
Les États-Unis et l’Union européenne ont à plusieurs reprises attaqué la Chine devant l’OMC afin d’obtenir des privilèges sur le marché intérieur chinois ou le marché mondial. La Chine est devenue l’adversaire principale des entreprises occidentales, qui auparavant étaient vendeuses de technologie, mais aujourd’hui, sont à la remorque de l’Empire du Milieu.
Lors de certains conflits commerciaux entre la Chine et les États-Unis, ce dernier n’hésite pas à appeler ses concitoyens à ne plus consommer chinois, en représailles. Cependant, ce type d’appel se termine rapidement, car les produits chinois sont aux États-Unis devenus incontournables, tant dans l’alimentaire que l’industriel.
Lors de l’adhésion de la Chine à l’Organisation mondiale du commerce en 2001, l’Occident se réjouissait de cette entrée, car les entreprises occidentales avaient la possibilité d’intégrer le marché intérieur chinois, qui représente plus d’un milliard d’individus. Mais, face à la concurrence, très souvent qualifiée de déloyale par l’Occident, Pékin est parvenu à conserver une grande partie de son marché et ainsi mettre un frein au développement des entreprises occidentales en Chine, particulièrement dans le secteur des NTIC et de l’industrie.
La Chine contre-attaque
En 2009, la Chine décide de jouer le même jeu que les Occidentaux et dépose plainte devant l’Organisation mondiale du commerce contre la décision des États-Unis d’augmenter les droits de douane sur les importations de pneus. En effet, en devenant membre de l’OMC, la Chine a décidé de se référer aux règles dictées par le système capitaliste occidental, en ouvrant une enquête antidumping sur les pièces de rechange automobiles et les volailles américaines.
Le président Barack Obama avait alors déclaré qu’il ne craignait pas "une guerre commerciale" avec la Chine, qui devrait comprendre, selon lui, "qu’il y a des règles à respecter", en septembre 2009. De son côté, l’OMC a mis en garde les gouvernements contre les "dérapages protectionnistes" qui "mettent des bâtons dans les roues" de l’économie mondiale.
Aujourd’hui, les Chinois s’adaptent aux règles de l’OMC et de la finance internationale qu’ils n’ont pas fixées eux-mêmes. Les pays occidentaux ne parviennent pas à reprendre la main sur les secteurs clés de l’économie mondiale, car dominés par les pays émergents comme la Chine, l’Inde ou encore le Brésil. Toutefois, ces derniers sont obligés de s’adapter aux changements de règles imposés par les grands pays développés comme les États-Unis, le Japon, ou l’Union européenne, qui ne veulent pas perdre le contrôle et conserver les richesses mondiales.
Céline Tabou
L’Europe en difficulté Pascal Lamy, directeur général de l’Organisation mondiale du commerce, a estimé que la situation économique de l’Europe est "très difficile". Ce dernier a indiqué que le reste du monde en est "extrêmement inquiet". En effet, les crises successives américaines et européennes entraînent avec elles les croissances des pays émergents, mais aussi des pays en voie de développement. D’autant plus que les perspectives économiques mettent en évidence la récession dans laquelle les principales économies européennes sont entrées ou entreront en récession. À cela s’ajoute, la tendance à la baisse de la croissance mondiale qui ne pourra être évitée à court terme. |
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