
La vérité lé tétu ! i pé pa tourn ali lo do kontinyèlman !
4 juillet, parMézami, mon bann dalon, si in zour in listorien i désside rakonte anou bien konm k’i fo listoir La Rényon, mwin lé sirésèrtin li va parl anou (…)
La Croix-Rouge alerte
19 janvier 2013
Les populations du centre et du nord du Mali, déjà sérieusement éprouvées par une crise qui dure depuis un an, subissent les conséquences directes du conflit, qui est entré dans une nouvelle phase au cours des huit derniers jours.
Dans les zones touchées par les combats, et plus particulièrement dans le centre du pays, on observe des déplacements de populations.
« Plus de 550 personnes ayant fui la ville de Konna et ses environs ont été recensées à Sévaré. Une partie de la population de Konna aurait fui vers l’autre rive du fleuve Niger, tandis qu’une autre serait restée sur place », affirme Philippe Mbonyingongo, chef de la sous-délégation du CICR à Mopti.
Le sort des civils dans les villes de Konna et de Diabali est source d’inquiétude. Le CICR et la Croix-Rouge malienne, qui à ce jour n’ont pas accès à ces deux localités, vont tenter d’évaluer la situation humanitaire dans des villages proches des zones de combat.
« Notre priorité est de venir en aide aux personnes déplacées et aux blessés », affirme Jean-Nicolas Marti, chef de la délégation régionale du CICR pour le Mali et le Niger. « Nous suivrons également de près les aspects liés à la protection de la population civile et au respect des blessés et des personnes capturées », ajoute-t-il.
Le CICR travaille au centre et au nord du Mali en étroite collaboration avec la Croix-Rouge malienne et ses volontaires. Il compte une centaine de collaborateurs à Mopti, Gao, Kidal et Tombouctou.
Dans les pays limitrophes, le CICR et les Sociétés nationales de la Croix-Rouge et du Croissant-Rouge suivent de près la situation des réfugiés, en particulier en Mauritanie, en Algérie et au Burkina Faso.
Depuis le 10 janvier 2013, le CICR a également :
• remis du matériel médical et chirurgical à l’hôpital de Sévaré ;
• soutenu l’hôpital de Gao, par la présence sur place d’un chirurgien et d’un anesthésiste et par la fourniture de médicaments et de matériel médical pour traiter jusqu’à 300 blessés ainsi que de matériel électrique ;
• fourni 40.000 litres de carburant à la centrale électrique de Gao afin d’assurer l’approvisionnement en eau et couvrir ainsi les besoins pour deux semaines ;
• positionné des stocks de vivres à Mopti pour nourrir jusqu’à 10.000 familles.
Encadré
L’organisation MSF empêchée de travailler
Depuis lundi, MSF (Médecins sans frontière) négocie avec les différentes parties au conflit — notamment les autorités civiles et militaires maliennes, l’armée et le gouvernement français — afin d’obtenir l’autorisation d’envoyer des équipes médicales à Konna. Cependant, à ce jour, toutes les routes d’accès à cette ville du centre du pays demeurent fermées par l’armée malienne.
« Malgré nos demandes répétées, l’accès à la région de Konna nous est toujours refusé », déplore Malik Allaouna, directeur des opérations de MSF. « Il est essentiel de permettre l’acheminement d’une aide médicale et humanitaire neutre et impartiale dans les zones touchées par le conflit. Nous demandons à toutes les parties au conflit non seulement de respecter les populations civiles mais aussi l’action des organisations humanitaires. »
MSF tente actuellement d’envoyer une équipe médicale dans la région de Konna afin d’évaluer les besoins et d’acheminer des secours médicaux et humanitaires.
« Depuis plusieurs mois, MSF travaille tant dans les zones gouvernementales que dans celles contrôlées par les différents groupes armés dans le nord du Mali », explique Malik Allaouna. « Mais depuis le début de l’offensive des forces maliennes et françaises, nous ne pouvons plus traverser les lignes de front malgré notre neutralité. Des régions entières sont aujourd’hui coupées de l’aide extérieure. »
Mézami, mon bann dalon, si in zour in listorien i désside rakonte anou bien konm k’i fo listoir La Rényon, mwin lé sirésèrtin li va parl anou (…)
Au 1er juin, les chiffres du ministère de la Justice ont établi à 84 447 personnes détenues pour 62 566 places. La surpopulation carcérale (…)
Vingt ans après la loi Handicap et au terme de six mois de mission, les rapporteurs Audrey Bélim, (Socialiste, Écologiste et Républicain – La (…)
L’État poursuit les versements d’indemnisations des aides en faveurs des exploitations agricoles sinistrées par le cyclone Garance et la (…)
Pierre Moscovici, président de la Cour des comptes a assuré que “ceux qui peuvent plus doivent contribuer davantage”, car “nos finances publiques (…)
Les discussions sur l’avenir institutionnel de la Nouvelle-Calédonie, menées sous l’égide du président, sont entrées dans le vif du sujet, le 3 (…)
Les cours du pétrole ont connu une nette hausse à partir de la deuxième quinzaine du mois de juin, portés par l’extrême tension au Moyen-Orient et (…)
La Réunion fait partie des régions françaises les plus touchées par les conséquences sanitaires, sociales et judiciaires de la consommation (…)
Sur proposition de Gérard COTELLON, directeur général de l’ARS La Réunion, Patrice LATRON, préfet de La Réunion, a décidé le retour au niveau 2 du (…)
1993- La disparition de Lucet Langenier. Elle a été brutale, prématurée et a frappé douloureusement non seulement sa famille mais aussi ses (…)
La section PCR du Port apprend avec une profonde tristesse le décès de Nadia PAYET, ancienne déléguée syndicale CGTR. Militante engagée et (…)
C’est dans une ambiance chaleureuse avec un état d’esprit fraternel que les délégués de la Section PCR de Sainte-Suzanne se sont réunis en (…)