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Guerre civile en Centrafrique
8 janvier 2013
Trois hauts responsables de la rébellion centrafricaine étaient attendus ce lundi à Libreville, la capitale gabonaise, où devaient s’ouvrir dans la soirée des pourparlers inter-centrafricains.
Un avion spécial transportant Michel Djotodia de l’Union des forces démocratiques pour le rassemblement (UFDR), Christophe Gazam Betty, chef des Affaires politiques et diplomatiques de la Convention des patriotes pour la justice et la paix (CPJP), et Moussa Mohamed Dhaffane du Conseil patriotique pour le salut du kodro (CPSK) devrait quitter dans la journée N’Djamena pour Libreville.
Les pourparlers inter-centrafricains devaient s’ouvrir hier dans la soirée par une session plénière rassemblant l’ensemble des acteurs de la crise centrafricaine et des représentants de l’opposition non armés autour du président congolais Denis Sassou N’Guesso, désigné facilitateur par la Communauté économique des États d’Afrique centrale (CEAC).
Selon un membre de leur délégation, les rebelles centrafricains entendent poser sur la table des négociations le départ du président centrafricain François Bozizé et la mise en place d’une autorité de transition.
Le chef de l’État centrafricain a, pour sa part, réaffirmé sa volonté de rester au pouvoir jusqu’à la fin de son mandat actuel en 2016, tout en promettant la formation d’un gouvernement d’union nationale et l’examen des autres revendications de la Séléka, notamment l’application des accords inter-centrafricains de 2008.
Prenant acte de la stabilisation de la situation militaire, la France a exhorté les parties centrafricaines à contribuer à un règlement politique durable de la crise que traverse leur pays.
« La négociation s’impose plus que jamais. Nous appelons les parties à répondre sans délai à l’invitation de la Communauté économique des États d’Afrique centrale à entamer des pourparlers de paix prévus à Libreville », a insisté, en fin de semaine dernière à Paris, le Ministère français des Affaires étrangères.
L’Organisation internationale de la Francophonie (OIF) a également encouragé la tenue sans délai d’un dialogue politique prenant en compte les éléments de nature à garantir la paix et la construction démocratique durables en République centrafricaine.
Après une offensive éclair, la Séléka a pris possession de plusieurs préfectures du pays, obligeant les Forces armées centrafricaines (FACA) à battre en retraite dans la débandade.
La progression de la rébellion vers Bangui a été freinée à Damarra, à environ 75 km de la capitale centrafricaine, par la Force internationale africaine en RCA (FOMAC), appuyée par un contingent tchadien de près de 400 hommes.
Appel à soutenir la CEEAC Le chef de l’État congolais, Denis Sassou N’Guesso, a invité, lundi, à Brazzaville, la communauté internationale à soutenir les efforts de la Communauté économique des États de l’Afrique centrale (CEEAC) en vue de restaurer la stabilité nécessaire au développement de la Centrafrique. « Nous devons œuvrer inlassablement à la consolidation de la paix en République centrafricaine, en amenant le gouvernement et la rébellion armée au dialogue », a estimé le Président Sassou N’Guesso lors de la présentation des vœux du corps diplomatique. La doyenne du corps diplomatique, la Centrafricaine Charlotte Fayanga, a salué l’implication du chef de l’État congolais dans la résolution des crises en Afrique, notamment en RCA ; ce qui, selon elle, « témoigne de son profond attachement à la cause de la paix en Afrique centrale ». « Étant moi-même fille de Centrafrique, je puis témoigner ici que de nombreuses localités n’ont été épargnées de pillages et de violences que grâce à l’intervention prompte des troupes militaires de la CEEAC », a indiqué Mme Fayanga. Depuis mi-décembre, la rébellion armée de la Séléka a conquis plusieurs villes du Nord et du Centre de la Centrafrique. Son avancée a été stoppée par la force d’interposition de la CEEAC, composée de troupes venues du Cameroun, du Congo, du Gabon et du Tchad. |
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