
La vérité lé tétu ! i pé pa tourn ali lo do kontinyèlman !
4 juillet, parMézami, mon bann dalon, si in zour in listorien i désside rakonte anou bien konm k’i fo listoir La Rényon, mwin lé sirésèrtin li va parl anou (…)
Vers la fin de la guerre civile ?
12 janvier 2013
Les protagonistes de la crise centrafricaine ont signé vendredi à Libreville, au Gabon, un accord de sortie de crise qui prévoit un cessez-le-feu, le maintien du président François Bozizé au pouvoir et la formation d’un gouvernement de transition d’union nationale, a annoncé la radio nationale du Congo.
Selon cet accord, des élections législatives seront organisées au terme d’une période de transition de 12 mois, un Premier ministre issu de l’opposition démocratique sera nommé.
Il prévoit également le retrait de toutes les forces militaires étrangères de Centrafrique à l’exception des Forces africaines d’interposition (FOMAC).
Le chef de l’État tchadien, Idriss Deby président en exercice de la Communauté économique des États d’Afrique centrale (CEEAC), organisatrice des pourparlers, a déclaré qu’il avait demandé à la coalition rebelle Séléka de rentrer "dès aujourd’hui pour mettre en place dès demain un gouvernement de transition" avec le président Bozizé.
Selon l’accord, le président Bozizé restera en place jusqu’à la fin de son mandat, en 2016, mais ne pourra pas révoquer le nouveau Premier ministre pendant la période de transition.
Gouvernement d’union nationale
"Le Premier ministre et les autres membres du gouvernement ne peuvent pas être candidats à la prochaine élection présidentielle", précise l’accord.
La coalition rebelle Séléka a obtenu la libération des personnes arrêtées en relation avec la crise et s’est engagée à se retirer des villes occupées et à abandonner la lutte armée.
Le 10 décembre 2012, la coalition Séléka avait pris les armes, reprochant au pouvoir le non-respect de divers accords de paix signés entre le gouvernement et la rébellion, notamment l’accord de paix global de Libreville de 2008 qui prévoyait un programme de démobilisation, désarmement et réinsertion (DDR) des anciens rebelles.
Selon les termes de l’accord, le gouvernement d’union nationale sera chargé, entre autres, de poursuivre le processus DDR.
Succès pour la CEEAC
Cet accord a été rendu possible grâce à l’implication des chefs d’État de la CEEAC qui se sont réunis jeudi et vendredi à Libreville en sommet extraordinaire sur la crise en Centrafrique.
Cinq chefs d’État ont participé à cette rencontre, à savoir le Congolais Denis Sassou Nguesso, le médiateur dans ce conflit, le Gabonais Ali Bongo Ondimba, le Tchadien Idris Déby, l’Equato-Guinéen Théodoro Obiang Nguema, et le Centrafricain François Bozizé.
Les autres pays membres de la CEEAC ont été représentés par des ministres.
La CEEAC regroupe l’Angola, le Burundi, le Cameroun, la Centrafrique, le Congo, la République démocratique du Congo (RDC), le Gabon, Sao Tomé et Principe et le Tchad.
Mézami, mon bann dalon, si in zour in listorien i désside rakonte anou bien konm k’i fo listoir La Rényon, mwin lé sirésèrtin li va parl anou (…)
Au 1er juin, les chiffres du ministère de la Justice ont établi à 84 447 personnes détenues pour 62 566 places. La surpopulation carcérale (…)
Vingt ans après la loi Handicap et au terme de six mois de mission, les rapporteurs Audrey Bélim, (Socialiste, Écologiste et Républicain – La (…)
L’État poursuit les versements d’indemnisations des aides en faveurs des exploitations agricoles sinistrées par le cyclone Garance et la (…)
Pierre Moscovici, président de la Cour des comptes a assuré que “ceux qui peuvent plus doivent contribuer davantage”, car “nos finances publiques (…)
Les discussions sur l’avenir institutionnel de la Nouvelle-Calédonie, menées sous l’égide du président, sont entrées dans le vif du sujet, le 3 (…)
Les cours du pétrole ont connu une nette hausse à partir de la deuxième quinzaine du mois de juin, portés par l’extrême tension au Moyen-Orient et (…)
La Réunion fait partie des régions françaises les plus touchées par les conséquences sanitaires, sociales et judiciaires de la consommation (…)
Sur proposition de Gérard COTELLON, directeur général de l’ARS La Réunion, Patrice LATRON, préfet de La Réunion, a décidé le retour au niveau 2 du (…)
1993- La disparition de Lucet Langenier. Elle a été brutale, prématurée et a frappé douloureusement non seulement sa famille mais aussi ses (…)
La section PCR du Port apprend avec une profonde tristesse le décès de Nadia PAYET, ancienne déléguée syndicale CGTR. Militante engagée et (…)
C’est dans une ambiance chaleureuse avec un état d’esprit fraternel que les délégués de la Section PCR de Sainte-Suzanne se sont réunis en (…)