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Angola
30 juillet 2012
En trois ans, un programme soutenu par le PNUD a permis à 400.000 personnes d’avoir un meilleur accès à l’eau potable en Angola. Cela permet de faire progresser la salubrité et de développer des PME spécialisées dans la distribution de l’eau. Voici les précisions apportées par le PNUD :
« Au cours des trois dernières années, quelque 400.000 Angolais vivant dans la capitale, Luanda, et dans la province de Moxico (Ouest) ont bénéficié d’un meilleur accès à l’eau potable et aux sanitaires grâce à l’amélioration des infrastructures et des capacités de gestion du secteur hydraulique.
Ce résultat s’inscrit dans le cadre de l’appui global du Programme des Nations unies pour le développement (PNUD) aux autorités angolaises pour la mise en place d’un système efficace d’adduction d’eau et d’assainissement, par le biais de la législation et de la décentralisation de la fourniture des services publics, mais aussi de la participation et de l’appropriation communautaires.
Afin de préparer les interventions futures dans ce secteur, le PNUD a aidé l’Angola à rédiger un projet de politique nationale d’assainissement. Ce document juridique, premier du genre dans le pays, a été transmis au Parlement pour adoption.
L’enjeu de l’assainissement
Parallèlement, le PNUD apporte son assistance technique aux autorités pour l’élaboration d’une stratégie nationale de gestion des déchets solides, un problème qui fait partie des grandes urgences de la capitale, mais aussi pour une étude sur les tarifs de l’eau dans le pays, dont les résultats guideront l’élaboration de la toute première réglementation du secteur.
Dans le but d’améliorer les capacités des autorités locales à gérer la fourniture de services, plus de 100 responsables du secteur de l’eau et de l’assainissement ont été formés aux questions liées à la gestion de l’eau, telles que la planification et la collecte de données, et travaillent déjà avec les municipalités et les communautés à améliorer la gestion du secteur de l’eau.
Grâce à l’appui du PNUD, la municipalité luandaise de Kilamba Kiaxi, qui compte plus de 200.000 habitants, est désormais la première du pays à mettre en place et à gérer sa propre base de données sur l’eau et l’assainissement, un outil indispensable pour planifier et contrôler les services hydrauliques. Les agents municipaux ont bénéficié d’une formation à l’utilisation des outils et méthodes de planification sectorielle, qui leur a permis d’élaborer leur tout premier Plan-cadre en matière d’eau et d’assainissement.
Une nouvelle filière
Afin de s’assurer que les politiques évoluent avec la fourniture de services, le PNUD, en collaboration avec d’autres agences de l’ONU, travaille avec les autorités angolaises et d’autres partenaires à mettre en place de Petites et moyennes entreprises de distribution d’eau détenues et gérées par les collectivités locales, qui assurent également l’entretien des infrastructures de traitement des eaux pour la continuité des opérations.
Auparavant, les populations puisaient de l’eau dans des rivières polluées, s’exposant ainsi à des maladies d’origine hydrique comme le choléra, ou achetaient à prix d’or une eau de mauvaise qualité auprès de fournisseurs privés ».
Dans le cadre du programme, une vaste campagne de plaidoyer sur l’hygiène et l’assainissement au niveau local, dirigée par le Fonds des Nations unies pour l’enfance (UNICEF), a permis de mieux sensibiliser la population à l’importance de la salubrité des points d’eau, qui contribue à atténuer les risques de maladies d’origine hydrique.
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