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Transformer l’essai dans le 2ème canton de Saint-André
25 mars 2004
Hier, lors d’une conférence de presse à saint-André, Éric Fruteau a remercié les 2.257 personnes qui lui ont apporté leur soutien, soit 42,4% des suffrages exprimés. Le candidat de l’Alliance était entouré par sa famille, ses amis conseillers municipaux, l’ancien conseiller général Adrien Minienpoullé, le fils de l’ancien maire Robert Nativel et de nombreux militants. Tous lui apportent plus que jamais leur soutien, y compris le maire et nouveau conseiller général de Sainte-Suzanne Maurice Gironcel.
Comment Éric Fruteau s’explique-t-il un des scores les plus éloquents du premier tour des cantonales ? "Si les personnes qui ont voté pour moi ont fait ce choix, c’est qu’elles reconnaissent en moi la personne adéquate pour défendre l’intérêt de la population au Conseil général, quand cette population est menacée par des mesures antisociales". Il poursuivait : "le 21 mars dernier est une journée historique, 56% des électeurs ont dit non au conseiller général sortant". L’analyse montre en effet que l’UMP perd 500 voix alors que Éric Fruteau en gagne 1.000, soit une progression de 40% par rapport à son ancienne candidature en 1998. Ce qui amène le candidat de l’Alliance à dire que "la dynamique est avec nous". Pour lui, "le conseiller général sortant est désormais minoritaire" alors que certains le donnaient gagnant avec un score annoncé de 60% des voix. Comme le note Éric Fruteau, "les électeurs en ont décidé autrement".
Ce score historique n’est cependant pas dû au hasard : "c’est le fruit d’un travail permanent depuis que j’étais conseiller municipal de l’opposition en 1995, et lors de ma première candidature". Mais c’est aussi, explique-t-il, "un vote sanction à cause du soutien que le conseiller général sortant a apporté aux mesures antisociales du gouvernement, alors qu’il avait la responsabilité, en tant que vice-président du Département, de réagir". Si Serge Camatchy dit avoir compris le message, Éric Fruteau ajoute que "le mal est fait. Pas un seul instant durant sa mandature il n’a remis en cause les multiples attaques du gouvernement". Ainsi c’est "l’immobilisme" de Serge Camatchy qui a été sanctionné.
Depuis les résultats du premier tour, il semblerait que le maire de Saint-André lui-même prend la direction de la campagne des cantonales. Éric Fruteau, via la presse, lui adresse ce message : "Le maire dit avoir besoin de deux conseillers généraux. Les précédents ont montré leur incapacité. S’il a besoin en tant que sénateur maire d’un conseiller général, nous lui proposons ma candidature".
Autre avertissement pour son adversaire direct cette fois-ci : "On ne piège pas un électorat, on ne le méprise pas. Les promesses de dévier la Ravine Sèche, de créer des parcs de jeux, des équipements sportifs et culturels, de mettre en place des zones franches... Toutes ces promesses sont illusoires. Elles n’ont pas été tenues".
Le candidat lançait un dernier appel à ces électeurs "précurseurs de la dynamique qui s’annonce", indiquant qu’il fallait désormais "transformer l’essai en votant pour le seul candidat qui peut barrer la route au candidat de l’UMP". Éric Fruteau a salué le geste républicain de Yohan Sautron, candidat du Parti socialiste, qui appelle à voter pour le candidat de l’Alliance au second tour. "Nous avons un seul adversaire. Comme nous, Yohan Sautron s’est battu pour mettre en échec la politique que représente Serge Camatchy".
Il appelle toute la population à "ne pas tomber dans le piège de l’adversaire qui lors de ses réunions publiques continue ses promesses et compte régler tous les problèmes de Saint-André en une semaine". Face à cette démagogie, Éric Fruteau est porteur d’un programme qui défend l’intérêt de la population de Saint-André mais aussi de toute La Réunion. Il appelle à la victoire "tous ceux qui veulent changer les mœurs politiques sur le canton, sortir de l’immobilisme pour un développement durable et solidaire".
Eiffel
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