
Un effort supplémentaire de 5 milliards d’euros nécessaire cette année
27 juinLa dette française atteint 114% du PIB au premier trimestre, soit près de 48.800 euros par Français. De fait, des crédits initialement prévus « ne (…)
Présentation des 47 candidats de l’Alliance - X -
20 mars 2004
Paulette Lacpatia, conseillère en insertion au Port, Eric Delorme, cadre chargé de la maîtrise des énergies renouvelables pour EDF (Priorité socialiste Réunion), et Alain Armand, professeur de français (Mouvement La Réunion Autrement), s’expriment sur les enjeux de l’intégration à l’Europe pour La Réunion, sur la politique menée par la Région dans ce domaine et sur les actions à poursuivre au sein de l’Alliance.
- Qu’est-ce qui, dans la politique de la Région (1998-2004), vous a paru le plus important ?
Paulette Lacpatia : La Région, grâce à des domaines de compétences élargis et de grande importance, s’est présentée comme un maître d’œuvre du développement de La Réunion. Elle a su répondre aux besoins en infrastructures routières, en proposant des aménagements pour les points noirs de la circulation, tels les déviations de Saint-Leu, de La Saline ou encore les grands chantiers de la Route des Tamarins. Ce nouveau tracé permettra dans le même temps un rééquilibrage Nord-Sud, une meilleure desserte des Hauts et un aménagement plus équilibré des Bas. Sa réflexion, en amont, sur la mise en place du tram-train répond à la nécessité de concevoir une nouvelle politique des déplacements. Avec le PRU et la densification des centres, la Région entreprend une nouvelle politique d’urbanisation et la rationalisation du foncier. La protection de l’environnement et la valorisation des espaces naturels sont également au cœur de ces réflexions. La politique régionale n’oublie pas l’agriculture et marque sa volonté, dans le cadre du Schéma agricole régional, de préserver les espaces agricoles, tout en offrant, son soutien technique et financier aux exploitations et aux éleveurs. Je pense aussi aux nombreuses actions menées par cette mandature en faveur de la coopération régionale. Échanger avec le Mozambique, c’est renouer avec le passé, retrouver nos racines car mieux connaître son passé nous permet d’avancer. Enfin et au-delà de ses compétences, la Région a apporté son soutien aux communes avec la construction et la réfection du bâti scolaire. Elle connaît les enjeux de l’éducation, et grâce à ses vastes programmes de formation (avec l’accent mis sur la formation des femmes), la Région offre un accès au savoir, à la culture, au plus grand nombre.
Eric Delorme : De 1998 à aujourd’hui, l’intérêt porté par la Région pour instaurer des relations privilégiées avec les pays de la zone représente une action majeure. Il ne s’agit pas là de simples visites de courtoisie, mais bien d’une volonté marquée de trouver de réelles solutions au problème de l’emploi. Avec l’implantation de nouvelles usines, La Réunion deviendrait une passerelle vers le marché européen. C’est un projet séduisant plaçant notre pays en réelle position stratégique. Le professionnel que je suis a également été séduit par cette volonté forte de la Région de développer les énergies renouvelables. La mise en place du PRME (Programme régional de maîtrise de l’énergie) traduit une volonté de dire mais aussi de faire, et c’est dans l’action que se traduit le développement de notre île. Enfin, l’aide et l’accompagnement apportés par la Région aux étudiants de 3ème cycle rejoint les préoccupations avancées par le PSR qui veut "Donn’ créol responsabilité". La Réunion évoluera si nous sommes capables de remplir les têtes, capables de trouver des solutions aux mal-être des Réunionnais en les aidant à sortir de l’anonymat, en leur offrant des parades aux coups bas dont ils sont trop souvent victimes.
Alain Armand : La Région nous a démontré qu‘elle était capable de mettre en œuvre des chantiers importants, grâce à une vision à long terme de La Réunion. Le projet tram-train, la priorité faite aux énergies renouvelables en sont la démonstration. Dans le même temps, elle a su répondre aux besoins immédiats, en sortant de son champ de compétences premières. Son investissement en faveur du bâti scolaire et, plus particulièrement, de la réhabilitation des écoles primaires, nous a prouvé qu’elle savait élargir sa mission de collectivité régionale pour répondre aux besoins immédiats de la population.
- Dans le domaine de l’intégration à l’Europe, quelle appréciation portez-vous sur la politique du gouvernement Raffarin et, en quoi la Région peut-elle mener une action capable de relever les défis ?
Paulette Lacpatia : Le gouvernement ne tient pas compte de nos particularités régionales. Il n’assume pas sa mission de continuité territoriale et ne nous accorde pas les outils dont nous avons besoins pour nous intégrer pleinement à l’Europe. Nous devons penser et vivre européens, mais les portes d’accès ne sont ouvertes que dans un sens. L’Europe vient à nous, mais comment pouvons-nous aller à l’Europe ? Le prix des billets demeure un frein majeur à la mobilité et ce sont nos jeunes, avec des chances d’insertion amoindries à cause du fort taux de chômage, qui nous accablent, qui restent "sur le bord du chemin".
C’est en préservant et cultivant une forte ambition économique, qui va même au-delà des compétences régionales, que nous pourrons relever les grands défis de demain. Le développement de La Réunion se passe tout d’abord dans son environnement régional, puis passe par les échanges, partenariats et accords avec les régions périphériques de la zone, comme avec les pays plus lointains (Chine, Mozambique). La Région Réunion mène de front les deux démarches et se positionne comme fer de lance de la coopération régionale.
Eric Delorme : La politique du gouvernement en matière de continuité territoriale, d’accès à la mobilité, est un véritable échec. Les inégalités de traitements que nous subissons en tant que DOM nous le démontrent, nous, les "enfants gâtés" de la République. Le gouvernement n’assume pas non plus ses responsabilités dans les domaines de la santé, avec le déremboursement des médicaments, ou encore de l’éducation. Quant à la question des retraites, les réponses apportées ne sont pas claires. Il se désengage, fait reculer nos acquis, démantèle le service public. Il n’y a qu’un seul mot pour qualifier sa politique : casse sociale. Et ce sont les générations futures, les plus démunis, qui vont mesurer et subir de plein fouet les conséquences. J’éprouve de la peine pour ces ouvriers qui se laissent aveuglés, entraînés et qui ne comprennent pas encore ce qui est en train de se passer. On assiste à la mort des entreprises citoyennes au profit de la rentabilité. Le gouvernement essaie de faire vite pour respecter et faire passer en force son calendrier de réformes ultra-libérales.
La Région, grâce à son pragmatisme et à ses atouts de visionnaire, peut agir et prendre en compte les défis qui s’offrent à nous. Elle démontre une forte volonté d’élaborer un état des lieux précis de la situation, afin de pouvoir apporter les réponses concrètes aux problèmes actuels comme à ceux à venir. Nous pouvons ainsi, avec l’équipe telle qu’elle est constituée, consciente du travail qui nous attend et de ses enjeux, faire avancer concrètement ses actions. La Région est également consciente que la formation des hommes, à tous les niveaux, est indispensable. Le partage des savoirs est primordial. L’éducation, la formation et la prise de responsabilités du citoyen réunionnais, permettront d’éveiller les consciences et de sortir La Réunion de sa passivité. C’est en permettant à chacun d’avoir une vision des défis qui s’offrent à nous, en développant les acteurs (experts, professionnels...) de notre île, que les hommes et femmes auront les facultés de s’adapter. Avec de la volonté, La Réunion gagnera.
Alain Armand : Alors qu’elle devrait faire partie de ses objectifs premiers, l’État se désengage de sa mission de développement des fonds européens et nationaux. La situation actuelle est ainsi rendue très préoccupante : comment La Réunion va-t-elle faire face à ses retards structurels ? Comment va-t-elle pouvoir mener ses projets de développement ? Le profit de l’Europe n’est pas total. L’Europe sociale reste à construire et la politique ultra-libérale menée par le gouvernement porte atteinte à cette démarche fondamentale. On est passé d’une Europe de dix à une Europe de vingt-cinq et, au-delà des considérations budgétaires, cette Europe ultra-libérale va conduire tôt ou tard à la privatisation du service public. Dans cette optique, c’est la généralisation de la précarité qui nous menace. L’Europe économique et politique s’unissent au détriment d’une véritable politique sociale, alors que dans une société humaine, elles seraient à même de partager les richesses. On fait de la politique pour les hommes et non contre eux.
Dans cette mandature, les rendez-vous sont importants et les six ans à venir seront déterminants pour l’avenir de La Réunion. La culture de la canne est en danger. Il va nous falloir reconsidérer la filière au-delà de la Politique agricole commune. L’argent public est rare, et lorsqu’il y en a, il n’est pas forcément investi ni dans le public, ni dans le privé. Alors que nous sommes aux portes de l’Europe, il va nous falloir réfléchir aux types d’investissements qui peuvent être réalisés pour créer des richesses, des plus-values et ainsi créer de l’emploi.
- Dans ce domaine, quelle(s) idée(s) voudriez-vous faire avancer ?
Paulette Lacpatia : Les défis qui s’offrent à nous sont nombreux et bien que beaucoup d’efforts aient été faits dans le domaine de la formation, c’est une priorité qui exige de fournir encore un important travail. Il faut recenser précisément et efficacement les secteurs d’activités qui affichent un déficit de main-d’œuvre qualifiée et hautement qualifiée, et mettre en place les moyens de formations adéquats pour répondre à ces besoins. Il faut être cohérent pour que les plans de formations aboutissent à l’insertion sur le marché du travail. Il en va de même pour la mobilité. Malgré les efforts concentrés ces dernières années, l’accès des jeunes vers l’extérieur n’est pas suffisant. Au niveau de l’AFPA et du CNARM, il est important de ne pas limiter le nombre de départs et de billets d’avion. Puisque l’on dit que les voyages forment la jeunesse, c’est à nous qu’il revient de d’offrir, aux jeunes volontaires, la chance d’achever leur scolarité professionnelle hors du territoire. Pour offrir la garantie d’une mobilité réussie, il faut renforcer l’accueil des jeunes, trouver les moyens de leur assurer un suivi plus rapproché et un soutien dans leur recherche d’entreprises, Les accompagner sur place, pour les aider dans leur installation et leurs déplacements, pourrait être envisageable.
Eric Delorme :
L’ouverture des frontières européennes à La Réunion permettrait à la jeunesse d’élargir l’horizon de ses connaissances. Il faut être capable d’accueillir et de suivre le parcours des jeunes réunionnais qui souhaitent se former en Europe et développer, dans le même temps, les partenariats et jumelages avec des pays de l’Europe pour offrir l’opportunité de stages étudiants. Mais pour faciliter l’intégration de notre jeunesse en l’Europe, la libre circulation du savoir et des connaissances, la vision d’une Réunion cosmopolite, la baisse du coût des billets d’avion représente l’impératif immédiat.Alain Armand : Une mobilité bien comprise et bien négociée, c’est donner les moyens aux Réunionnais de bouger, d’avoir accès aux espaces indocéaniques et européens. Il faut favoriser le déplacement des hommes. La carte mobilité sera gagnante si les formations dispensées permettent d’être compétitives sur le marché du travail et offrent la possibilité d’un retour au pays, s’il est souhaité. Il faut se tourner vers une Europe plus sociale, qui ne met pas uniquement en avant les enjeux économiques en faveur de la mondialisation, mais bien une Europe au service des plus pauvres. Enfin, la reconnaissance de notre identité représente notre apport au concert culturel mondial. Nous sommes des Français, intégrés dans l’Europe, mais avec notre culture réunionnaise. L’Europe des régions, c’est la mise en valeur des langues régionales, et c’est valable pour toutes les régions d’Europe, sans distinction. Elles sont le ciment des bases de l’éducation et leur reconnaissance est un gage de respect de l’individu.
- Comment pouvez-vous apporter votre pierre à la mise en œuvre du développement durable ?
Paulette Lacpatia : En tant que citoyenne d’une part, en apportant mon soutien par la réflexion et l’action, dans mes gestes du quotidien, pour l’application de l’Agenda 21. Et d’autre part, dans mon cadre professionnel, en faisant partager au public les enjeux du développement durable, en instaurant un dialogue de citoyen à citoyen pour que chacun puisse mesurer les enjeux et les défis de La Réunion de demain.
Eric Delorme : En tant que professionnel chargé de la maîtrise des énergies renouvelables, je souhaiterais m’inscrire dans les objectifs avancés par l’Agenda 21, à savoir : maintenir et poursuivre le confort thermique dans les collèges, lycées, comme au niveau de l’habitat individuel. Les signataires de l’Agenda 21 se sont engagés à faire la promotion des chauffe-eau solaires collectifs. C’est une démarche essentielle pour parvenir à l’autonomie énergétique qui se verra renforcée si, parallèlement, on se tourne vers la production photovoltaïque, et que l’on poursuive le programme éolien instigué à Sainte-Suzanne. Les actions sur l’environnement doivent être menées dans le même temps, avec le traitement des déchets, l’endiguement des ravines et cours d’eau, sans quoi l’on ne peut envisager de développement durable. On ne peut plus se permettre de gaspiller cette énergie qui, bien utilisée, au travers d’actions appropriées et réfléchies, reste l’outil de demain, l’espoir du futur.
Alain Armand : Au-delà d’une liste d’élus, il faut offrir les conditions réelles de dialogue et d’échange, au sens le plus large possible. Le MRA a un programme, des idées relatives au développement durable et à l’Agenda 21. La population doit également apporter ses idées et ses suggestions, s’impliquer individuellement au cœur d’une réflexion collective. C’est à nous qu’il revient de les y aider, en créant les conditions d’une autre forme de dialogue social où les Réunionnaises et les Réunionnais passeront du statut de consommateur passif à celui d’acteur.
Propos recueillis par Estéfany
Instantané : Eric Delorme
À 49 ans, marié et père de trois enfants, ce cadre chez EDF chargé de la maîtrise des énergies renouvelables est également membre fondateur de PSR, "la toute première organisation politique à dire que l’union la plus large est indispensable pour rassembler les voix et s’opposer à la politique du gouvernement". Dans le cadre de sa profession, il a eu l’opportunité de suivre des formations de management et de communication, offres que malheureusement les entreprises de demain auront plus de mal à faire à leurs employés au détriment de leurs développements personnels, comme de celui l’entreprise. Ces nouvelles compétences ont accentué son goût des défis, son esprit d’initiative et ses capacités de projection.
En 1990, il crée la section PS à Sainte-Suzanne et occupe le poste de trésorier de 1997 à 2001. Il aime les visions, l’organisation, la création, et c’est en ce sens que le travail amorcé par la Région l’a séduit. Il se distingue par ses qualités d’écoute, la ferveur de ses convictions, et ne craint pas d’avoir à mouiller sa chemise pour les défendre. Homme volontaire, il est prêt à surmonter ses peurs pour avancer et souhaiterait transmettre cette "niaque", pour le bien-être de chacun comme pour celui de la cité toute entière.
Instantané : Alain Armand
Né le 15 avril 1954 à Saint-Denis, d’un papa employé communal et d’une maman mère au foyer, ce "marmay la kour", comme il se définit, est aujourd’hui marié et père de deux grandes filles. Après un parcours d’athlète méritant, des études de Lettres, de nombreuses recherches créolistiques, et des publications d’importances - comme notre dictionnaire Kréol-Français Rénioné - ce poète, amoureux de sa langue maternelle, défenseur de l’identité créole et militant culturel de tous les combats, est aujourd’hui professeur de français. Son combat politique dure depuis près de vingt ans. Aux cotés de Paul Hoarau, puis de Gilbert Annette, Alain Armand était premier adjoint à la Mairie de Saint-Denis de 1994 à 2001, il crée à cette date son parti, le Mouvement La Réunion Autrement (MRA), pour faire barrage à la droite. Adepte des arts martiaux, il pratique encore le Tai-Chi-Chuan quand sa disponibilité le lui permet, une façon de "maintenir sa santé, de travailler ses énergies et la confiance en soi". Un journal ne suffirait pas à retracer le parcours, riche en investissements, de cet homme du peuple, qui ne conçoit la politique qu’avec lui et pour lui. C’est un homme d’actions, dans son sens le plus noble, qui sait mesurer les défis et s’engage à les relever pour l’avenir de son pays. Une énergie qu’il puise au cœur de ses racines, celle-là même qui lui donne la force de continuer son combat.
Instantané : Paulette Lacpatia
Femme de contact et de dialogue, Paulette Lacpatia, née Adois, travaille depuis près de 18 ans en faveur du public en difficulté. Elle est conseillère en insertion à la PLIE (Plan local pour l’insertion et l’emploi) du Port depuis 1997."Je suis ce qu’on appelle un zanfan la kour, une jeunesse rebelle.
Habitante de La Rivière des Galets, je ne conçois pas la vie sans une famille autour de moi. Issue d’une famille nombreuse (5 sœurs et 3 frères), je suis maman d’une fille, Emmanuelle, et d’un garçon, Thierry.
Fille d’un père docker et d’une maman couturière bien aimée qui vient de nous quitter, mes parents m’ont appris le sens du respect, des valeurs familiales, de la solidarité, du partage, de l’écoute vis-à-vis de tout un chacun et surtout de tout ceux qui sont les plus démunis.
J’ai toujours été, dès ma plus tendre enfance (vers 9-10 ans), de tous les combats, de toutes les luttes notamment au sein du FJAR, de l’UFR et surtout du PCR, pour le développement économique de mon île pour le respect de nos droits... pour la dignité des Réunionnais.
Je suis issue d’une famille aimant la musique, notre passe-temps favori. C’est de nous retrouver en week-end autour d’un bon cari et jouant de la musique avec nos amis.
Présidente d’une association qui s’essaye dans la culture bio, c’est ainsi que nous essayons d’inculquer des valeurs nutritives saines autour de nous.
Entourée d’une nombreuse jeunesse, c’est forcément mon combat de tous les jours de les aider à s’orienter, tout en les poussant à faire des études afin de prendre leur place dans la société réunionnaise. Cette jeunesse rebelle mais capable pour le développement de leur île, pour un avenir meilleur".
La dette française atteint 114% du PIB au premier trimestre, soit près de 48.800 euros par Français. De fait, des crédits initialement prévus « ne (…)
Mézami, mon bann dalon, mi panss zot i rapèl la mortalité, laba dann Moris, lo gran kiltirèl épi politik Dev Virashwamy ; li lé mor na pwin lontan (…)
Des associations de défense de l’environnement et des citoyens sinistrés ont annoncé avoir déposé un recours pour obliger le gouvernement à (…)
En 2021, 595kg de déchets par personne sont collectés à La Réunion, soit davantage que dans l’Hexagone (548 kg/pers.). La Réunion se situe au 29e (…)
Dan noute kiltir popilèr néna bonpé kozman pou dir sa la éspass dann tan lontan… Mi koné pa pou koué, mé mwin néna dan l’idé k’ni viv in pé an (…)
Le Parti socialiste reproche au Premier ministre, François Bayrou d’avoir refusé de déposer un projet de loi sur les retraites permettant au (…)
Le Syndicat des énergies renouvelables a appelé les députés à rejeter la proposition de loi sur la programmation énergétique.
Au séminaire du 17 mai 2025, consacré au centenaire de la naissance de Paul Vergès, le PCR avait organisé 3 débats : ne soyons pas esclave de (…)
Face à l’urgence climatique et sociale, seize associations citoyennes et environnementales de La Réunion unissent leurs voix pour interpeller les (…)
Tou-lé-zan, dann moi zanvié-févrié, Tikok i sa rod gèp ek son bann kamarad. Zot i tras dann piton, la savann, la ravine… partou, é, souvandéfoi, i (…)
Le Président des Etats-Unis, Donald Trump a ordonné le bombardement de trois sites nucléaires en Iran, dans la nuit du 21 juin 2025. Dans une (…)
Les élus de Guadeloupe ont adopté des résolutions « sur la fusion des deux collectivités, sur les compétences et l’autonomie fiscale », le 17 juin (…)