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Un conflit interne à un temple porté au tribunal
26 août 2011
C’est une situation sans précédent, un différend pour la désignation de la Direction d’un temple risque d’être tranché par un tribunal. Julien Ramin lance un appel au calme et rappelle qu’il existait auparavant un Conseil de sages pour trancher ce genre de question.
Dans l’actualité de ces derniers jours, plusieurs affaires concernent des conflits au sein de plusieurs temples gérés par des associations. C’est notamment le cas dans le Sud, où un différend doit être tranché le 9 septembre prochain par un tribunal.
Cette situation fait réagir Julien Ramin : « les putschistes ne sont pas dignes de gérer un temple. Quand on est choisi par les fidèles, oui. Quand on accède à la Direction par un coup de force, on n’est pas digne », affirme-t-il.
Le temple doit être en effet un lieu de sérénité, où l’on vient pour prier et repartir apaisé, mais ce n’est pas toujours le cas. Julien Ramin rappelle qu’aujourd’hui, les temples gérés par les associations ont des dépenses, il faut payer les officiants et l’entretien du temple notamment. Ce financement est assuré par les membres de l’association et les fidèles.
Cela explique pourquoi « c’est un très gros sacrifice de gérer un temple », précise Julien Ramin. Mais cette charge n’est pas là pour se transformer en un moyen d’être mieux reconnu.
Julien Ramin rappelle qu’auparavant, il pouvait y avoir des différends à l’intérieur d’un temple. Mais à aucun moment, ces conflits ne se terminaient devant un tribunal. Il existait un Comité de sages qui veillait à ce que ces problèmes n’interfèrent pas avec la vie en dehors du temple. Mais ce Comité n’existe plus, déplore Julien Ramin.
De nos jours, il existe des groupements de temples, « ils font du très bon travail », précise-t-il, « mais je leur demanderais un plus, celui d’agir pour éviter que les problèmes liés à un temple soient portés devant les tribunaux ».
Il est évident que la publicité donnée à certains faits, avec l’intervention de la force publique et le recours à l’institution judiciaire, risque de rejaillir sur tous les temples.
Julien Ramin appelle donc à « gérer dans le calme, la sérénité et la transparence » afin d’éviter que des juristes qui ne connaissent pas la culture et la religion en question ne soient obligés de s’impliquer dans la résolution d’un conflit interne à un temple.
« Calme, sérénité et transparence » doivent prévaloir, conclut Julien Ramin.
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