
Un effort supplémentaire de 5 milliards d’euros nécessaire cette année
27 juinLa dette française atteint 114% du PIB au premier trimestre, soit près de 48.800 euros par Français. De fait, des crédits initialement prévus « ne (…)
Dans un lieu de vie à part entière
28 janvier 2005
De septembre à décembre 2004, des incidents significatifs ont été relevés au sein de la communauté éducative. La violence scolaire et l’insécurité qu’elle suscite appellent les autorités de l’État à réagir et à renforcer les partenariats préfecture - rectorat - justice, pour plus d’efficacité.
(Page 7)
Environ un quart des incidents relevés en milieu scolaire ont donné lieu à des plaintes. Le recteur de l’Académie de La Réunion a souhaité clairement distinguer la violence scolaire, que l’on confond souvent avec l’incivilité, de la délinquance, qui se caractérise par des actes pénalement répressibles. "La violence scolaire est plus large que la délinquance stricto sensu", explique Christian Merlin.
Elle peut se situer dans les établissements ou aux abords, peut être constituée d’actes pénaux évidents, faire l’objet de signalements aux autorités publiques (police, justice, services sociaux) ou avoir simplement un retentissement particulier dans la communauté scolaire.
"La violence scolaire à La Réunion est à la fois limitée et concentrée", poursuit le recteur. Limitée, car les donnés récentes signalent une diminution des incidents signalés qui constituent 2,9% de la violence scolaire nationale. Concentrée, car une quinzaine d’établissements sur les 112 établissements scolaires de notre département, enregistrent des incidents répétés, une fréquence plus élevée de la violence, donc un sentiment d’insécurité accru chez la communauté scolaire qui demande des solutions.
Pour lutter contre cette violence scolaire, il convient de mettre en place "une dynamique collective autour de démarches préventives et curatives", explique le recteur. Pour s’attaquer aux racines de la violence, des réponses éducatives doivent en premier lieu être apportées pour tenter de modifier les comportements, de faire évoluer les consciences.
Les personnels de la vie scolaire jouent ici un rôle majeur au sein des établissements. Les Comités d’éducation à la santé et à la citoyenneté (CESC), regroupant les personnels, les élèves, leurs parents, des partenaires extérieurs, sont là pour apporter des réponses adaptées au contexte particulier de chaque établissement. Les personnels des zones d’éducation prioritaires sont également là pour mener des actions spécifiques auprès des jeunes. Une partie de ces dispositifs constitue une première réponse éducative.
Mais la prévention appelle aussi à un partenariat avec les services déconcentrés de l’État, avec les collectivités locales, pour renforcer les Comités locaux de sécurité et de lutte contre la délinquance, dans le but de sécuriser les établissements et les transports scolaires. Plus récemment, se sont mis en place des correspondants “sécurité école” de la police ou de la gendarmerie au sein des établissements, "fil rouge pour garantir une meilleure réactivité, information et réduire le sentiment d’insécurité", explique Christian Merlin.
S’inscrivant dans l’action nationale, la Préfecture et le Rectorat (dont les ministères ont signé un protocole en octobre 2004) ont décidé de renforcer la sécurité aux abords des établissements avec la présence des forces de l’ordre, car se développe aussi une économie parallèle de stupéfiants ou larcins. Cette démarche va faire l’objet d’un plan d’action qui sera à constituer au sein de chaque établissement. En 2005 sera aussi entamée une étude sociologique, pour définir les actions coordonnées à mener.
Si la violence en milieu scolaire reste limitée, Christian Merlin souligne que la montée de l’incivilité est préoccupante et nuisible à la cohésion du système éducatif. Il faut rester vigilant.
Estéfany
La dette française atteint 114% du PIB au premier trimestre, soit près de 48.800 euros par Français. De fait, des crédits initialement prévus « ne (…)
Mézami, mon bann dalon, mi panss zot i rapèl la mortalité, laba dann Moris, lo gran kiltirèl épi politik Dev Virashwamy ; li lé mor na pwin lontan (…)
Des associations de défense de l’environnement et des citoyens sinistrés ont annoncé avoir déposé un recours pour obliger le gouvernement à (…)
En 2021, 595kg de déchets par personne sont collectés à La Réunion, soit davantage que dans l’Hexagone (548 kg/pers.). La Réunion se situe au 29e (…)
Dan noute kiltir popilèr néna bonpé kozman pou dir sa la éspass dann tan lontan… Mi koné pa pou koué, mé mwin néna dan l’idé k’ni viv in pé an (…)
Le Parti socialiste reproche au Premier ministre, François Bayrou d’avoir refusé de déposer un projet de loi sur les retraites permettant au (…)
Le Syndicat des énergies renouvelables a appelé les députés à rejeter la proposition de loi sur la programmation énergétique.
Au séminaire du 17 mai 2025, consacré au centenaire de la naissance de Paul Vergès, le PCR avait organisé 3 débats : ne soyons pas esclave de (…)
Face à l’urgence climatique et sociale, seize associations citoyennes et environnementales de La Réunion unissent leurs voix pour interpeller les (…)
Tou-lé-zan, dann moi zanvié-févrié, Tikok i sa rod gèp ek son bann kamarad. Zot i tras dann piton, la savann, la ravine… partou, é, souvandéfoi, i (…)
Le Président des Etats-Unis, Donald Trump a ordonné le bombardement de trois sites nucléaires en Iran, dans la nuit du 21 juin 2025. Dans une (…)
Les élus de Guadeloupe ont adopté des résolutions « sur la fusion des deux collectivités, sur les compétences et l’autonomie fiscale », le 17 juin (…)
Messages
12 février 2008, 11:27, par parro
il faut faire kelke chose
11 mars 2010, 19:53, par La correctrice
Il faudrait que tu apprennes à t’exprimer correctement parro...
"kelke" s’écrit "quelque"
C’est toujours bon à savoir !