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Thérèse : 35 ans de violence conjugale
30 décembre 2005
Thérèse, mariée depuis plus de trente-cinq ans, est victime de violence conjugale tant sur le plan psychologique que physique. Elle a choisi ce prénom pour préserver la sécurité de ses enfants et amis.
En apparence, Thérèse mène une vie paisible. En apparence seulement. Depuis de trop nombreuses années, elle vit sous le même toit et dort auprès de celui qui la traumatise. Cette triste histoire débute dès les premières heures de leur union. Le soir de leur mariage, il la projette sur le sol en présence des invités. Choqués devant un tel geste, les parents tentent de le raisonner. Il leur promet de ne plus recommencer. Une promesse renouvelée à chaque humiliation publique ou intime.
Un jour, Thérèse est sortie toute nue de sa maison et s’est réfugiée auprès d’une voisine. Cette vague de violence ne connaît pas de limite. Un soir, il la frappe, l’oblige à dormir dans le lit conjugal et la contraint à un rapport sexuel. Aujourd’hui, elle considère cet acte comme un viol. Il adopte la même attitude à de multiples reprises. Elle reçoit aussi bien des coups de pieds et de poings au visage, à la tête. Enceinte, il lui en porte au ventre. Elle est hospitalisée et une fois de plus, les promesses pleuvent.
Licencié pour faute grave
Thérèse occupe un emploi dans le secteur de la santé et lui opère comme électricien auprès d’une entreprise privée. Elle gravit un à un les échelons. Pour ses études, elle se réfugiait dans un coin de la cour et s’éclairait à la lampe. Elle a acquis tant bien que mal les bases de son métier. Durant 7 années, il ne l’a pas aidée, ni encouragée dans cette démarche professionnelle. Lui est devenu de plus en plus agressif envers les ouvriers. Il a même injurié un des responsables à plusieurs reprises. À la longue, il est passé de l’ouvrier modèle à celui d’irresponsable. Le responsable l’a licencié pour faute grave.
"Je ne te frapperai plus"
Un rien l’irrite. Et tout est prétexte pour se quereller et passer à tabac Thérèse. Un jour, elle décida de le quitter. Elle entame les démarches auprès du procureur et trouve un logement. Les enfants sont d’accord pour la suivre. Elle rencontra son mari au tribunal. Il lui répéta le même refrain : "j’ai changé et je ne te frapperai plus", se rappelle-t-elle. Elle succomba et avec les marmailles, regagna, le cœur gros, le domicile. Pendant un certain temps, l’homme adopta une autre attitude. Il lui accorda beaucoup d’attention et était aux petits soins.
Il cogne aussi les enfants
Mais lors d’un repas familial bien arrosé, il s’est vexé, a quitté la table et rentré en coup de vent, ivre, au foyer. Au sortir de la voiture, il frappa Thérèse, les enfants et les enfermèrent. "Il a posé la main pour la première fois sur les enfants", se souvient-elle. Par la suite, les enfants n’avaient pas le droit de le contredire sinon il les injuriait ou leur infligeait le même traitement qu’à leur mère. Aujourd’hui, les enfants ont grandi et ont quitté le domicile parental. Les enfants construisent leur vie et ne souhaitent aucunement ressembler à leur père.
Tous ces moments de terreur, ils les gardent en mémoire. Ils en parlent aux proches, aux amis. Ces derniers esquivent les questions et souhaitent rester à l’écart de cette horrible histoire. Les enfants ne comprennent pas cette attitude. Les proches, connaissant le drame vécu par Thérèse, ne lui ont été d’aucun secours. Pourquoi cette loi du silence ? Est-ce un signe de culpabilité, peur ou d’indifférence ?
Jean-Fabrice Nativel
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Messages
1er décembre 2009, 13:01, par Brigitte
Violences conjugales et violences APRES le divorce,
Je demande le divorce prononcé aux torts exclusifs du mari.La liquidation du régime matrimonial n’est jamais exécutée,je subis des violences financières puisque l’usufruit est encaissé par monsieur en toute illégalité.Je multiplie les démarches,en vain.
Monsieur continue ses harcèlements,à la porte de notre domicile,nous insulte avec sa nouvelle compagne,nous menace,nous détruit notre serrure,des appels téléphoniques noctures et malveillants.
Régulièrement alcoolisé,il organise son insolvabilité,se soustrait au bout d’un an au paiement de la pension alimentaire pour mes deux enfants,aucune vérification n’est faite volontairement auprès des pouvoirs publics et de la justice car monsieur travaille et est déclaré.
La suppression des droits de visiste des enfants pour violence et alcoolémie est accordée en Juillet 2006,situation paradoxale,on diligente des services sociaux qui nous harcèlent et ’conseille’ le bon père de famille à reprendre ses enfants mais à surtout ne pas s’investir dans le paiement de la pension alimentaire.
Ces services trouvent à la mère tous les défauts possibles et inimaginables.
6 années de tortures judiciaires,harcèlement pour que mon foyer soit entièrement spolié,nos droits entièrement bafoués et finir à une condamnation de 3 mois de prison ferme pour le ’délit’ non commis de non-présentation d’enfants (par voie médiatisée) et la protection de l’aide aux victimes,dépôt de plainte du ’père’organisant son insolvabilité conseillé par le juge pour enfants.
La violence est autorisée est conseillée par l’ex-conjoint coupable et violent,
Le vol entre ex-époux est autorisé,
Le harcèlement est autorisé entre ex-conjoint dont deux enfants sont victimes,
Les escroqueries organisées par l’ex-conjoint sont autorisées
- par les services sociaux,policiers,judiciaires,aide aux victimes,
Histoire vécue en France de 2004 à 2009 ;
Brigitte.