La presse écrite réunionnaise perd une partie de son histoire. Des familles entières se retrouvent laissées pour compte, et des professionnels voient leur vocation, si précieuse à notre démocratie, brusquement interrompue.
Je tiens à rappeler ma position, largement partagée, que la démocratie de notre pays repose sur le pluralisme des médias. Sans cette diversité d’information, il devient difficile pour les citoyens de se forger une opinion éclairée. Il est donc essentiel de préserver un environnement médiatique pluraliste pour garantir la vitalité de notre démocratie.
J’exprime mon soutien sincère à ceux qui perdent leur emploi dans ce contexte économique difficile. Ces professionnels ont, pendant des années, informé et éduqué le public, défendu la liberté d’expression et maintenu un lien vital avec le monde.