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Liberté de la presse
14 mai 2014
Suite à la diffusion de plusieurs articles mettant en cause la gestion de l’argent public au sein du ministère de l’énergie, deux journalistes ont comparu samedi devant un tribunal avant d’être jeté en prison. La Somalie est un des pays où les journalistes sont les plus exposés à la répression. Le Comité pour la protection des journalistes demande la libération immédiate de Yusuf Abdi Gabobe et Ahmed Ali.
Un tribunal régional de la République semi-autonome du Somaliland a placé deux journalistes en prison après les avoir désigné coupable de diffusion de fausse nouvelle et de propagande contre l’État, selon l’association des journalistes du Somaliland. Yusuf Abdi Gabobe, président du Haatuf Media Network, and Ahmed Ali, rédacteur en chef, sont emprisonnés depuis une première audience.
Le juge a rejeté la caution des journalistes, dit le Comité de protection des journalistes (CPJ). Le tribunal n’a pas donné à la défense le temps nécessaire pour présenter ses arguments. L’audience reprendra plus tard dans le mois.
Des articles de presse et les journalistes disent que les charges contre les journalistes découlent d’une plainte déposée par Hussein Adi Duale, ministre de l’énergie du Somaliland. Cette plainte fait suite à une série d’articles publiée dans le quotidien Haatuf, et l’hebdomadaire Somaliland Times. Ces articles font état d’allégations de corruption et de mauvaise gestion de l’argent public par le ministère. Le ministre a démenti les allégations samedi devant le tribunal.
Le 7 avril, la police a perquisitionné dans les bureaux du groupe Haatuf et suspendu jusqu’à nouvel ordre la publication de Haatuf et du Somaliland Times. Les autorités judiciaires n’ont pas permis de faire appel de cette décision. Cette suspension est sans doute liée aux articles parlant du ministère de l’énergie, indiquent le CPJ citant des sources sur place.
Le 16 avril, les sites web des deux journaux ont été bloqués par les sociétés d’accès à Internet suite à une décision de justice.
Pour justifier ces actes, le ministère de l’Information estime que les deux journaux n’ont pas fourni de preuves soutenant leurs informations. Pour sa part, le CPJ n’a pu joindre aucun membre du groupe Haatuf pour confirmer ou infirmer la version du gouvernement.
Selon Tom Rhodes, représentant en Afrique orientale du CPJ, « les autorités du Somaliland ont déjà perquisitionné les rédactions de Haatuf et bloqué leurs sites web. Mais apparemment, ils franchissent une étape supplémentaire pour réduire au silence l’équipe de Haatuf et avertir les autres journalistes qu’ils ne doivent pas franchir la moindre ligne rouge. « Nous exigeons des autorités la libération immédiate de Yusuf Abdi Gabobe et de Ahmed Ali, et qu’elles arrêtent de prendre pour cible la presse indépendante ».
Le 3 mai dernier, Journée mondiale de la liberté de la presse, l’organisation Human Rights Center a déposé une pétition auprès du président du Somaliland pour mettre fin à la suspension de Haatuf et du Somaliland Times. Aucune réponse n’a pour le moment été donnée.
Les autorités du Somaliland ont lancé une offensive contre la presse au cours de ces derniers mois. En février, elles ont coupé les émissions de Universel TV après qu’une émission humoristique se soit moquée du président du Somaliland. Le 13 décembre, la police a perquisitionné et fermé définitivement le quotidien Hubaai suite à une décision de justice accusant le journal de promouvoir l’insécurité nationale. Une décision sans appel.
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