
Poinn dévlopman konsékan pou nou péi l’outre-mèr .
18 juillet, parMézami, mi koné pa zot, koman zot i réazi ané apré ané kan in nouvèl ané i ranplass l’ansyène. Mi koné pa si zot lé sansoussi kan in n’ané i fini (…)
L’influence du numérique à l’ordre du jour de la journée internationale sous l’égode de l’UNESCO
3 mai, par
Le 3 mai 2025, la Journée mondiale de la liberté de la presse se place sous le signe d’un bouleversement technologique majeur : l’intelligence artificielle (IA). Sous le thème « Informer dans un monde nouveau – L’impact de l’intelligence artificielle sur la liberté de la presse et les médias », l’UNESCO et de nombreuses organisations mettent en lumière les défis et les opportunités liés à l’essor fulgurant de l’IA dans le journalisme
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Selon l’UNESCO,en quelques années, les outils d’IA générative ont transformé les pratiques rédactionnelles, la production de contenus, la vérification des faits et même l’interaction avec les audiences. Rédiger une dépêche, traduire un article en temps réel ou détecter des fake news sont désormais des tâches partiellement automatisées dans de nombreuses rédactions. L’IA promet gain de temps, efficacité et accessibilité. Mais à quel prix ?
D’un côté, l’IA représente une aide précieuse. Grâce à elle, certains médias, notamment dans les zones où les ressources humaines sont limitées, peuvent maintenir une activité éditoriale. Elle permet aussi de lutter plus efficacement contre la désinformation, en analysant des millions de données en un instant.
Mais l’envers du décor suscite de vives inquiétudes. Les algorithmes, souvent opaques, peuvent biaiser l’information en favorisant certains contenus au détriment d’autres. Certains régimes exploitent l’IA pour surveiller, censurer ou manipuler l’opinion publique, restreignant la liberté de la presse. Le développement de faux contenus générés par IA, indiscernables à l’œil nu, fragilise encore la confiance du public dans les médias.
La liberté de la presse repose sur des principes de transparence, de responsabilité et de vérité. Or, l’IA soulève de nouveaux problèmes : qui est responsable d’une information erronée générée automatiquement ? Comment garantir la protection des sources si les outils numériques tracent chaque clic, chaque message ? Quel cadre juridique pour encadrer les usages de l’IA dans la production journalistique ?
L’UNESCO appelle cette année à l’élaboration de normes éthiques et de régulations internationales pour encadrer ces technologies. L’objectif : faire de l’IA un levier de liberté, et non une menace.
Les rédactions n’ont pas d’autre choix que de s’adapter. Cela passe par la formation des journalistes aux outils d’IA, mais aussi par une vigilance accrue face aux risques de manipulation. De nouvelles compétences sont exigées : maîtrise des données, esprit critique, et capacité à décoder les technologies.
Face à l’automatisation, la valeur du travail humain redevient centrale : l’analyse, le regard,l’enquête, la vérification – autant d’atouts que l’IA ne peut (encore) reproduire.
Une presse libre, humaine et augmentée}
La Journée mondiale de la liberté de la presse 2025 invite à réfléchir à un avenir où l’intelligence artificielle ne remplacerait pas le journaliste, mais l’accompagnerait. Un monde où la technologie renforcerait la liberté d’informer, au lieu de la fragiliser.
Mais cet équilibre ne pourra exister sans un engagement collectif des États, des entreprises technologiques, des médias et des citoyens. Car au cœur de cette révolution, une vérité demeure : sans presse libre, pas de démocratie.
M.M.
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