
In objéktif pou trapé : In dévlopman korèk …sansa sé in bilan négatif !
26 juin, parMézami, ni sava rante dann in pèryode zélékssion ané pou ané.Nora zélékssion l’ané 2026, nora zélékssion l’ané 2027 é nora ankor l’ané 2028… Bann (…)
Communications
Qualité et prix du haut débit : un scandale à faire cesser
13 janvier 2004
Guy Jarnac, vice-président du Conseil régional délégué aux T.I.C. (Technologies de l’information et de la communication) et à l’Audiovisuel, a fait savoir hier à la presse que la Région Réunion a officiellement engagé une procédure à l’encontre de la société France Télécom par une saisine enregistrée au secrétariat de l’Autorité de Régulation des Télécommunications ’ART’ le lundi 5 janvier dernier.
« Cette décision grave, écrit Guy Jarnac, intervient à l’issue d’une période, de plus de six mois, au cours de laquelle France Télécom n’a pas cru devoir entrer sérieusement dans un processus de négociations - tant avec nous qu’avec d’autres opérateurs réunionnais - pour obtenir une baisse des prix substantielle des liaisons haut débit ainsi qu’une amélioration de leur qualité afin d’établir, à cet égard aussi, le principe d’égalité entre les citoyens et les entreprises de Métropole et ceux et celles de La Réunion ».
Le représentant de la Région ajoute : « Ce faisant, France Télécom a créé les conditions d’une véritable fracture numérique entre La France d’en haut (la Métropole) et la France d’en bas (La Réunion) ! Nous avons jugé que cette situation est intolérable et avons donc engagé cette procédure ».
On lira ci-après le communiqué de presse publié à ce propos par la Collectivité régionale afin d’informer les Réunionnais de cette démarche. Les inter-titres sont de ’Témoignages’.
La Région Réunion entre en procédure contre France Télécom et saisit l’Autorité de Régulation des Télécommunications pour faire baisser le prix des services de télécommunications à La Réunion.
La Réunion, en raison de son insularité et de son éloignement de la Métropole, dépend fortement des liaisons de télécommunications qui ont, comme les liaisons maritimes et aériennes, une importance vitale pour l’économie de l’île.
Or, l’offre de services de télécommunications à La Réunion est encore très insatisfaisante, tant en termes de qualité que de prix.
Au nom des principes d’égalité et de continuité territoriale des services entre les citoyens et les entreprises, le Conseil régional ne peut accepter que persiste un tel décalage entre les offres disponibles en Métropole et celles disponibles à La Réunion.
Frontière avancée de l’Union Européenne dans l’Océan Indien, entourée de pays à bas coûts de main d’oeuvre, sans matières premières, La Réunion ne peut, en effet, pour se développer, qu’exporter ses savoir-faire, notamment dans le domaine de l’économie numérique.
Alors, pourquoi, par exemple, l’Internet haut débit (ADSL) est-il deux fois plus cher à La Réunion qu’en Métropole (Xtence 512 = 80 euros à La Réunion et 45 euros en métropole) pour des débits 10 fois inférieurs ?
Pourtant l’arrivée, en juin 2002, du câble sous-marin SAFE, reliant La Réunion au reste du monde, avait fait naître, ici, de grands espoirs car celui-ce devait contribuer à améliorer l’offre de services avec des prix compétitifs. Malheureusement, force est de constater que la société France Télécom, qui dispose d’un droit exclusif de commercialisation à La Réunion sur ce câble, n’a pas fait évoluer son offre, plus préoccupée qu’elle est par le rétablissement de son compte d’exploitation - à la détérioration duquel La Réunion n’est pourtant pour rien - que par le développement économique, social et culturel de notre île.
Aussi, la Région Réunion a tenté d’engager, depuis de nombreux mois, une négociation avec France Télécom pour obtenir une baisse des prix et une amélioration de la qualité. L’objectif était et demeure de permettre à l’ensemble des projets de La Réunion de se développer dans de meilleures conditions.
Le coût excessif et la piètre qualité des services de télécommunications constituent en effet aujourd’hui un véritable frein à l’adoption de nouveaux usages (travail coopératif, production numérique, commerce électronique, formation à distance...), à l’ouverture sur la zone océan indien et sur le monde ainsi qu’à l’implantation de nouvelles entreprises.
Aujourd’hui, le refus de France Télécom de négocier clairement... en toute transparence et sans ambages... conduit donc la Collectivité Régionale à saisir l’Autorité de Régulation des Télécommunications (ART), en vue d’imposer par la réglementation :
- Une baisse considérable des tarifs, en s’appuyant sur les coûts réels supportés par France Télécom
- Une offre de services transparentes avec la publication sur Internet de l’ensemble des prestations disponibles
Le Conseil régional attend, dans la sérénité, la décision de l’ART, qui devrait intervenir d’ici quatre mois.
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