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13 juin 2017
Didier Robert supporte de plus en plus mal la critique. La Région Réunion qu’il préside vient en effet de livrer en pâture, par un communiqué public et diffamant, le nom d’un journaliste [1]. Accusé de « désinformer » la population, celui-ci ne faisait rien d’autre que son travail : informer les citoyens en demandant des explications sur les dépassements de coût du chantier de la Nouvelle Route du Littoral. Ce n’est hélas qu’un exemple parmi d’autres.
Aujourd’hui, les agissements de la Région Réunion dépassent les limites habituelles des pressions qu’exercent les annonceurs et les hommes de pouvoir sur les médias. Ecrire sur le dossier de la NRL, autrement qu’à travers le prisme de la communication régionale, a valu à plusieurs journalistes d’être menacés de procès en diffamation ou de recevoir des intimidations téléphoniques. Avant même de répondre aux questions du journaliste, le cabinet de la Région contacte ses patrons pour s’émouvoir d’enquêtes prétendument à charge. Et ces agissements ne se limitent pas aux sujets sur le chantier de la NRL. « Touche pas à ma Région Réunion » pourrait devenir le nouveau slogan de la collectivité.
Dans la même logique, la Région a mis en place une stratégie médiatique qui insulte les règles déontologiques de la profession. Le SNJ est bien placé pour savoir que la Région soutient financièrement plusieurs médias, et comment. Cet argent public est officiellement utilisé pour un noble objectif : soutenir la liberté de la presse, indispensable dans une démocratie. En réalité, la fragilisation financière de la presse est une aubaine pour la Région, qui se paie ainsi des « voix de son maître »… avec notre argent à tous !
Le Syndicat national des journalistes, premier syndicat de la profession, dénonce toutes ces pressions, ainsi que l’énergie et la dépense d’argent public qu’emploie Didier Robert pour entraver la liberté de la presse. De plus, le SNJ déplore que certains médias prêtent le flanc à ses pressions et brident, au sein de leur rédaction, les journalistes désireux de faire leur travail. D’une manière plus générale, le SNJ est favorable à la remise à plat de toutes les aides à la presse, afin qu’elles répondent enfin à leur objectif initial : garantir le pluralisme et la qualité de l’information.
Le SNJ conteste également une autre pratique de la Région : sélectionner les médias qu’elle invite à ses conférences de presse, ce qui est une véritable atteinte au pluralisme de la presse et à la liberté d’expression.
Non, Monsieur le président de Région, la presse n’est pas une marionnette !
SNJ
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