
In objéktif pou trapé : In dévlopman korèk …sansa sé in bilan négatif !
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Déjà 7 morts depuis le début de l’année
13 février 2024, par
Le week-end dernier, La Réunion a déploré un nouveau décès dans un accident de la circulation. Comme bien souvent après une telle tragédie, il est question de répression et de prévention.
Les causes des accidents sont connues, notamment le fait que l’intégralité des voitures importées à La Réunion sont homologuées pour ne pas respecter les limitations de vitesse pourtant bien plus élevées à La Réunion que chez ses voisins.
Dans un pays de 2500 km², quel est l’intérêt de rouler à plus de 80 km/h dans une camionnette déguisée en voiture de luxe de près de 2 tonnes ? La vitesse et l’augmentation de la masse des véhicules importés sont des facteurs d’aggravation des accidents. Mais les Réunionnais n’ont pas la possibilité d’agir pour y mettre fin et protéger les usagers de la route.
Ce sont 7 personnes qui ont perdu la vie dans un accident de la circulation depuis le début de l’année à La Réunion. Chaque drame est suivi de reportages mettant l’accent sur la répression et sur la prévention. Ces accidents mortels sont liés en grande partie à la vitesse et à l’irresponsabilité de conducteurs sous emprise d’une drogue.
La Réunion est un pays de 2500 km², densément peuplé sur le littoral. La distance entre Saint-Denis et Saint-Pierre est inférieure à 100 km. En dehors des routes nationales du littoral, le réseau routier est bien souvent sinueux. C’est dans ce contexte que toutes les voitures importées à La Réunion sont homologuées pour dépasser la vitesse limite de 110 km/h. Cette vitesse limite est pourtant bien plus élevée que chez nos voisins.
Par ailleurs, le capitalisme a besoin de renouvellement des biens pour prospérer. L’évolution des normes et les incitations fiscales poussent à acquérir des véhicules neufs.
Une tendance observée est l’accroissement des dimensions et du poids de ces véhicules. Les publicités mettent en avant des camionnettes déguisées en voitures de luxe pesant largement plus d’une tonne, capables de rouler au-dessus de 150 km/h.
Lors d’un impact, la violence du choc découle de l’énergie cinétique. Elle est proportionnelle à la masse et au carré de la vitesse. Plus le véhicule est lourd et roule vite, plus violent est l’accident.
Or, avec les aides à la conduite et l’augmentation de la puissance des moteurs, il est de plus en plus facile pour certains de se prendre pour de vrais pilotes. Mais quand survient un imprévu pour le chauffeur de la camionnette déguisée en voiture de luxe, le drame peut arriver.
Avec la conversion du parc automobile à la motorisation électrique, le poids des véhicules augmente beaucoup à cause de la présence d’imposantes batteries pour garantir une autonomie supérieure à 200 km, soit le tour de l’île.
La tendance est donc à la prolifération de véhicules plus lourds et plus puissants offrant toujours plus de protection à ses occupants. Ceci est une des raisons qui explique pourquoi la majorité des victimes d’accidents de la route sont les piétons et les usagers de deux roues.
En attendant la reconstruction du train à La Réunion, voitures et bus sont les seuls moyens de transport pour relier deux villes à La Réunion. Les bus sont équipés d’un limitateur de vitesse. Pourquoi ne pas étendre à tous les véhicules importés à La Réunion une bride de la puissance des moteurs afin de limiter la vitesse à 80 km/h ? C’est amplement suffisant pour relier Saint-Denis à Saint-Pierre en une heure, et cela limitera la puissance des impacts en cas d’accident.
Mais cette possibilité n’existe pas dans le cadre actuel, car La Réunion dépend de décisions prises à Paris concernant l’homologation des véhicules importés dans notre pays.
Pourtant, la réduction de la vitesse et de la masse des véhicules ne pourra qu’avoir des conséquences bénéfiques pour la sécurité de tous les usagers de la route à La Réunion.
M.M.
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