
Mal-do-mèr dann sarèt
28 juin, parLo zour la pokor kléré, Zan-Lik, Mariz é sirtou Tikok la fine lévé, mèt azot paré. Madanm Biganbé i tir zot manzé-sofé, i donn azot, zot i manz. (…)
Sciences et technologies de l’information et de la communication
9 décembre 2009
Afin d’accélérer le développement des véhicules électriques et leur mise sur le marché, 13 compagnies dont Nissan et FedEx ont formé une coalition. Nommée Electrification Coalition, elle a notamment débouché sur la rédaction d’un rapport de 130 pages sur les risques liés à la dépendance du pétrole, l’avantage des véhicules électriques, et les moyens d’abaisser les barrières qui ont, jusqu’à maintenant, empêché un déploiement à grande échelle de ces véhicules. Les intertitres sont de ’Témoignages’.
Le rapport met en avant des chiffres clés : 60% du pétrole utilisé aux Etats-Unis est importé, alors que 90% des moyens de transport du pays sont alimentés par cette ressource. Ainsi, selon le rapport, un renforcement du parc de véhicules électriques pourrait aider le pays à combattre les vulnérabilités en matière d’économie, d’environnement et de sécurité, causées par cette dépendance énergétique. Selon les prévisions de la Coalition, si d’ici 2040, 75% de la distance parcourue par des véhicules légers était couverte par des véhicules électriques, les Etats-Unis ne seraient plus contraints d’importer du pétrole. Ceci est d’autant plus important qu’en 2008, le déficit net lié à l’importation d’huile et de pétrole était de 388 milliards de dollars.
2,5 milliards de véhicules en 2050
Un autre chiffre avancé est le nombre prévu de véhicules sur Terre en 2050. Il serait de 2,5 milliards, avec pour cette année seulement une augmentation de 600 millions de véhicules : une croissance en grande partie expliquée par le développement économique soutenu de la Chine, de l’Inde et du Brésil. Dans de telles conditions, toujours selon le rapport, le véhicule électrique devient la seule alternative viable.
Cependant, la production de masse qui permettrait de réduire significativement les coûts et, par conséquent, entraîner un développement rapide des véhicules électriques, se heurte à un problème insoluble sans une aide extérieure. En effet, ni les constructeurs automobiles, ni les fournisseurs d’infrastructures, ni les clients potentiels ne sont prêts à franchir le pas et à investir dans un produit pour lequel ils ne sont pas certains d’avoir accès à tous les outils financiers et logistiques nécessaires. « Les constructeurs automobiles ne veulent pas produire de voitures en masse nécessitant des infrastructures qui n’existent pas, et les entreprises fournissant l’infrastructure, comme nous, ne veulent pas construire d’infrastructures pour des voitures qui n’existent pas », affirme David Crane, président du groupe NRG Energy, Inc. A contrario, la législation pour contrôler les rejets de carbone, la prise de conscience publique pour l’environnement, ainsi que les prix élevés pour l’essence ont conduit à une vraie demande en véhicules électriques, selon l’analyse du président du groupe Nissan Motor Co, dont le modèle "all-electric Leaf" est prévu pour démarrer aux Etats-Unis en 2010.
Des flottes de véhicules électriques
La solution proposée par la Coalition est, dans un premier temps, de déployer une flotte de 100.000 à 200.000 véhicules électriques dans 6 à 8 villes américaines ayant la capacité d’investir dans les infrastructures nécessaires. Si cet investissement limité conduit à un intérêt accru pour les voitures électriques, la coalition espère alors étendre son programme dans 20 à 25 villes. Bien que la Coalition n’ait pas encore révélé les zones urbaines choisies pour le test du programme, l’U.S. Department of Energy a déjà promis un investissement de 99.8 millions de dollars à un projet mené par Electric Transportation Engineering Corporation (eTec), une filiale de ECOtality, pour l’installation de plus de 12.750 stations de recharge à travers 5 régions (Tennessee, Oregon, San Diego, Seattle et Phoenix-Tucson). Le projet inclut également le déploiement de plus de 1.000 Nissan Leaf dans chaque région. Grâce à ces tests, la Coalition espère obtenir un grand nombre d’éléments sur la manière d’étendre l’infrastructure et sur les coûts induits par un tel réseau. Ainsi, David Crane fait remarquer qu’il n’y a peut-être pas un besoin réel pour autant de stations de recharge, étant donné que 90% des Américains parcourent moins de 65 km chaque jour. Les tests nous le diront !
(Sources : http://www.electrificationcoalition.org/)
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