
In objéktif pou trapé : In dévlopman korèk …sansa sé in bilan négatif !
26 juin, parMézami, ni sava rante dann in pèryode zélékssion ané pou ané.Nora zélékssion l’ané 2026, nora zélékssion l’ané 2027 é nora ankor l’ané 2028… Bann (…)
Communiqué de la Mairie de Saint-Denis
18 octobre 2024
« Au cœur même du projet de la mandature dionysienne, la question des mobilités douces, à travers le projet Baobab, a fait l’objet d’un COPIL, mercredi 16 octobre 2024, à la Nordev. Relier le Barachois à Quartier Français semblait être, à première écoute, un rêve inaccessible, il y a quelques années de cela. Pour autant, aujourd’hui, on pourrait dire qu’impossible n’est pas Dionysien. »
« Car depuis deux ans, en collaboration avec la Cinor, la Région et les services de l’État, la Ville de Saint-Denis s’est engagée à améliorer les déplacements de ses habitants, avec le projet Baobab. Pour rappel, ce dernier consiste en un vaste aménagement de 27 km reliant Saint-Denis, Sainte-Marie et Sainte-Suzanne. Son objectif est de fluidifier les déplacements sur le territoire en connectant les différents pôles urbains via un réseau de transport en commun en site propre (TCSP). Ce projet vise à améliorer la qualité de vie des habitants tout en répondant aux enjeux écologiques et économiques. La circulation à La Réunion est depuis longtemps un sujet de préoccupation majeure, avec plus de 150 000 véhicules en mouvement quotidiennement à Saint-Denis, provoquant fatigue, stress et accidents.
Dans ce contexte de circulation tendu sur l’ensemble du territoire réunionnais, où l’on constate depuis de bien nombreuses années un coma circulatoire, l’heure est à la transformation. Et le projet Baobab propose une alternative durable à ces problèmes, en misant sur l’optimisation des infrastructures existantes. Car plutôt que de créer de nouvelles routes, l’idée est de transformer les espaces actuels en voies réservées aux bus, offrant ainsi une solution plus économique et collective. En intégrant ce projet dans les infrastructures existantes, la Ville fait le choix d’une transformation peu coûteuse, mais d’une mise en œuvre accélérée. Comprendre ainsi que les premiers chantiers sortiront rapidement de terre, au même titre que les premiers effets, qui seront visibles pour les usagers.
L’une des avancées majeures discutées lors du COPIL est l’accord trouvé entre la ville, la Cinor, la Région et l’État sur le tracé et le calendrier du projet. Très concrètement, le couloir de bus reliera Sainte-Suzanne à Saint-Denis, facilitant les déplacements pour des milliers d’usagers. Cela signifie que les automobilistes venant de l’Est pourront laisser leur voiture à Sainte-Suzanne, emprunter un bus express jusqu’à Saint-Denis, puis poursuivre leur trajet à vélo grâce aux nombreuses pistes cyclables et stations de locations présentes dans la ville. Un système pensé pour les usagers de la route, qui favorise ainsi un déplacement plus rapide, tout en leur permettant d’échapper aux embouteillages qui rallongent souvent ce trajet à plus de deux heures.
En parallèle, 400 places de parking seront aménagées à la Nordev, disponibles 24 heures sur 24,7 jours sur 7. Ce parking permettra aux habitants de l’Est, par exemple, de stationner leur véhicule en toute sécurité avant de prendre un bus rapide vers le centre-ville.
Et le projet ne s’arrête pas là : la création de trois gares multimodales à Saint-Denis est prévue. L’une sera située à l’entrée Ouest, près de la caserne Lambert, une autre au cœur du Chaudron, et la dernière à Bellepierre, en lien avec le futur téléphérique de la Montagne. Ces infrastructures permettront de faciliter les correspondances entre différents modes de transport, renforçant l’accessibilité de la ville.
Baobab incarne une transformation majeure des mobilités à Saint-Denis, avec des retombées positives sur l’environnement, la santé publique et la qualité de vie des Dionysiens et des habitants du Nord-Est de l’île. D’autant que Saint-Denis entend bien encourager sa population à préférer les modes de déplacement doux en réalisant entre autres, 51 km de pistes cyclables ou en multipliant les stations de vélo sur toute la ville. »
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