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Rapport sur la mobilité durable dans le monde
23 octobre 2017
Le secteur des transports n’est pas sur la bonne voie pour parvenir à une mobilité durable, selon le rapport sur la mobilité mondiale lancé jeudi. Le rapport constitue la première évaluation du secteur des transports réalisée par l’initiative Mobilité durable pour tous (SuM4All), un consortium mondial de plus de 50 organisations de premier plan présentes dans le secteur des transports.
L’initiative Mobilité durable pour tous est un partenariat global agissant collectivement pour transformer les transports et répondre aux attentes de mobilité future de manière durable. SuM4All comprend les banques multilatérales de développement, les organismes donateurs bilatéraux, les départements, agences, programmes et commissions régionales des Nations Unies, les organisations intergouvernementales, les organisations de la société civile mondiale, les organisations du secteur privé et les institutions universitaires.
Le rapport sur la mobilité mondiale couvre tous les modes de transport. Il a suivi les progrès réalisés en matière de mobilité durable dans quatre domaines :
En ce qui concerne l’accès universel, on estime qu’environ 450 millions de personnes en Afrique - soit plus de 70 % de la population rurale totale - n’ont pas été connectées au transport.
En ce qui concerne l’efficacité, le rapport a expliqué la situation qui prévaut à travers l’exemple du transport d’un conteneur d’avocats du Kenya vers les Pays-Bas, qui nécessite 200 interactions et plus de 20 documents, ce, à un coût égal à celui du transport maritime. « Des chaînes d’approvisionnement efficaces peuvent augmenter le revenu des agriculteurs de 10 à 100 %’, indique le rapport.
Concernant la « sécurité », le rapport sur la mobilité mondiale note que près de 1,3 million de personnes meurent, chaque année, sur les routes à travers le monde et que des dizaines de millions de personnes sont grièvement blessées. « Les accidents de la route sont la principale cause de décès chez les jeunes âgés de 15 à 29 ans », a-t-il ajouté.
Pour ce qui a trait au quatrième domaine de la mobilité verte, le rapport indique que les transports émettent 23 % de tous les gaz à effet de serre liés à l’énergie ; ces émissions de CO2 pourraient augmenter de 40 % d’ici 2040.
« Le monde est loin d’atteindre la mobilité durable, a déclaré José Luis Irigoyen, directeur des transports et des TIC à la Banque mondiale. « La demande croissante de circulation de personnes et de biens se fait, de plus en plus, souvent aux dépens des générations futures ». « Il est urgent d’inverser cette tendance. Les coûts pour la société d’une mobilité accrue en termes de congestion, d’accidents, d’inefficacités et de pollution sont tout simplement trop élevés ». « La mobilité durable est essentielle pour la réalisation du Programme de développement durable à l’horizon 2030 et de ses objectifs de développement durable », a déclaré un représentant du Département des affaires économiques et sociales des Nations Unies (UNDESA). « Elle permet l’accès aux services et aux opportunités grâce à des transports durables, faisant ainsi progresser le développement économique et social au bénéfice des générations actuelles et futures ».
« Le rapport sur la mobilité globale est le fruit d’un véritable effort collectif », selon Jari Kauppila, responsable des statistiques et de la modélisation du Forum international des transports (ITF), organe de l’Organisation de coopération et de développement économique (OCDE), ajoutant : « L’ampleur de la connaissance rassemblée sous l’égide de l’initiative Mobilité durable pour tous rend cette évaluation complète du secteur des transports possible et unique ». « Le rapport sur la mobilité mondiale, grâce à ses objectifs en matière d’accessibilité, de sécurité, d’efficacité et de transport écologique, accélérera la transition vers des transports durables tant dans les pays en développement que dans les pays développés », a déclaré Cornie Huizenga, Secrétaire général du Partenariat pour un transport durable et sobre en carbone (SLoCaT).
« En Amérique latine, les taux élevés d’urbanisation exigent des solutions de mobilité qui permettent à tous de bénéficier de systèmes de transport sûrs, abordables, accessibles et durables », a déclaré Luis Carranza Ugarte, président de Banco de America Latina. « Un bon système de transport public a un impact énorme sur les économies urbaines. Il élargit les marchés du travail, offre plus de possibilités et une meilleure accessibilité. L’initiative SUM4ALL sera essentielle pour réaliser cela », a déclaré Alain Flausch, Secrétaire général de l’Association internationale des transports publics (UITP).
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Messages
23 octobre 2017, 15:17, par J.T.
Il paraît un peu abusif de considérer la mobilité durable par le seul côté de ses inconvénients majeurs..., sans penser à traiter d’abord ses causes : LA SURPOPULATION MONDIALE, et la nécessaire régulation rigoureuse des naissances (pourquoi permettre de 5 à 15 enfants / père en pays d’Afrique... désertifié !§ !).
Un monde qui ne se gère pas du côté naturel et vivant (désertification accrue au lieu d’utiliser https://greenjillaroo.wordpress.com), peut-il le réussir du côté artificiel et technologique ?
Une jeunesse qui rêve de "civilisation" et d’immobilisme urbain est en complète utopie insensée !