
Mal-do-mèr dann sarèt
28 juin, parLo zour la pokor kléré, Zan-Lik, Mariz é sirtou Tikok la fine lévé, mèt azot paré. Madanm Biganbé i tir zot manzé-sofé, i donn azot, zot i manz. (…)
Sécurisation des routes maritimes
15 janvier 2013
L’Union européenne a annoncé hier un nouveau projet qui renforcera la sûreté et la sécurité des routes maritimes entre sept pays africains dans le golfe de Guinée.
Le programme CRIMGO (routes maritimes critiques du golfe de Guinée) aidera les gouvernements d’Afrique centrale et occidentale à rendre les principales routes maritimes plus sûres grâce à la formation des gardes-côtes et à la mise en place d’un réseau permettant l’échange d’informations entre les pays et les agences de la région.
Lorsqu’il a annoncé le projet, M. Andris Piebalgs, commissaire au Développement, a fait la déclaration suivante : « Sans sécurité, le développement ne peut jamais vraiment atteindre les populations qu’il vise. C’est pourquoi notre nouveau projet, qui contribuera à améliorer la sécurité des transports en Afrique occidentale, est si important. En rendant les eaux plus sûres, nous contribuerons à dynamiser les échanges et la croissance, et offrirons à ces populations davantage de possibilités d’assurer leur subsistance, ce dont elles ont si désespérément besoin ».
13% des importations de pétrole de l’UE
Le projet sera mis en œuvre à partir de janvier 2013 dans 7 États côtiers africains : le Bénin, le Cameroun, la Guinée équatoriale, le Gabon, le Nigéria, Sao Tomé-et-Principe et le Togo.
Le golfe de Guinée représente actuellement 13 et 6% des importations de pétrole et de gaz dans l’UE. Toutefois, les actes de piraterie et les vols à main armée, de même que les trafics d’armes et de drogues ou encore la traite d’êtres humains, constituent une menace réelle pour la sécurité de la région. Rien qu’au Nigéria, quelque 98 actes de piraterie, de vols à main armée commis en mer et de pollution maritime ont été enregistrés entre 2008 et 2012.
Coordination des gardes-côtes
La région souffre actuellement d’un manque de coordination entre les gardes-côtes et entre les différentes régions. De plus, il n’existe pas encore de norme commune de formation maritime et le partage d’informations entre les pays concernés est insuffisant.
L’UE contribue à hauteur de 4,5 millions d’euros au projet GRIMGO au titre de son instrument de stabilité.
Parmi les autres partenaires du projet figurent France Expertise International (FR), la Direction de la coopération de sécurité et de défense (FR), la Direção-Geral de Política do Mar (PT), la Fundación Internacional y paralberoamérica de Administración y Políticas Públicas (ES), le Foreign and Commonwealth Office (UK), la Satakunta University of Applied Sciences (FI), l’International Maritime Safety Security Environment Academy (IT) et la Szczecin Maritime University (PL).
Programme pour les routes maritimes critiques Le programme met l’accent sur la sécurité et la sûreté des grandes routes maritimes. Il a pour objectif d’améliorer la sécurité et la sûreté en mer et d’aider ainsi à rendre plus sûres les voies de navigation et de transport marchand. Sur le long terme, le programme vise à améliorer la gouvernance maritime. Ce programme transrégional a vu le jour en 2009 et a concentré ses activités sur l’Asie du Sud-Est, l’Ouest de l’océan Indien et le golfe de Guinée. Depuis son lancement, 16 millions d’euros ont été alloués à ces activités. Instrument de stabilité L’instrument de stabilité est un outil stratégique qui associe sécurité et développement. Il a pour but premier de soutenir les mesures visant à maintenir ou à rétablir les conditions qui doivent permettre aux pays partenaires de l’UE de poursuivre leurs objectifs de développement à long terme. Il complète les instruments et politiques géographiques et thématiques existants de l’UE, les actions relevant de la politique extérieure et de sécurité commune, les organisations régionales et internationales et les programmes bilatéraux réalisés par les États membres de l’UE. L’instrument apporte une valeur ajoutée dans la mesure où il permet d’intervenir là où les instruments de développement géographiques ou autres ne peuvent pas être utilisés ; il peut également être déployé pour faire face aux menaces qui pèsent sur la sécurité, ce que ne permettent pas les instruments de développement traditionnels. |
Lo zour la pokor kléré, Zan-Lik, Mariz é sirtou Tikok la fine lévé, mèt azot paré. Madanm Biganbé i tir zot manzé-sofé, i donn azot, zot i manz. (…)
Le calendrier scolaire élaboré par le Rectorat pour les 3 prochaines années est désormais connu et fait débat. Pour cause, à l’exception de (…)
Sur proposition de Gérard COTELLON, directeur général de l’ARS La Réunion, Patrice LATRON, préfet de La Réunion, a décidé le retour au niveau 2 du (…)
Le Conseil départemental a décerné, le vendredi 27 juin, les prix « Thérèse Baillif » et « Célimène » lors d’une cérémonie organisée dans (…)
Les cours du pétrole ont connu une nette hausse à partir de la deuxième quinzaine du mois de juin, portés par l’extrême tension au Moyen-Orient et (…)
Mé dam zé méssyé, la sossyété,dsi la késtyonn fors néna la fors natirèl, sak wi gingn an néssan épi an grandissan korèktoman. Mwin lé sirésèrtin (…)
Le 16 juin 2025, le Tribunal administratif de Paris a suspendu en référé l’arrêté du 26 février 2025 ordonnant le blocage de 17 sites (…)
Le Président des Etats-Unis, Donald Trump a ordonné le bombardement de trois sites nucléaires en Iran, dans la nuit du 21 juin 2025. Dans une (…)
Les élus de Guadeloupe ont adopté des résolutions « sur la fusion des deux collectivités, sur les compétences et l’autonomie fiscale », le 17 juin (…)
Des manifestants, réunis le 23 juin devant les institutions européennes, ont demandé la suspension de l’accord d’association liant l’UE à Israël. (…)
L’État poursuit son engagement en faveur de la transition énergétique et de la décarbonation de l’électricité à La Réunion. À l’issue d’un appel à (…)
Normalien et énarque, chercheur en philosophie politique, Bruno Guigue est professeur invité à l’Université normale de la Chine du Sud (Canton) et (…)