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ROUTE DES TAMARINS JOUR J
Conférence de presse du Collectif pour le développement de la micro-région Sud
23 juin 2009, par
A la veille de l’ouverture de la route des Tamarins, le Collectif pour le développement de la micro-région Sud souligne l’importance de profiter de l’ouverture de cette route afin de rattraper le retard structurel de la région Sud. « Le Sud ne doit pas être absorbé par l’Ouest ou le Nord ».
« Joindre la Région Ouest et Nord pour les sudistes ne sera plus entravé par la traversée des points noirs de la circulation de cet axe », indique d’entrée Krishna Damour sur la livraison du « chantier pharaonique » de la route des Tamarins. Le Sud devient désormais plus accessible, ainsi que la région Ouest également. « Il est donc impératif pour le Sud que l’ensemble des acteurs politiques, économiques, sociaux et culturels puissent œuvrer afin de rendre le Sud davantage attractif », souligne le porte-parole du Collectif. En effet, ce dernier redoute l’absorption du Sud par l’Ouest et le Nord. « Le souhait d’installer l’administration des pêcheurs dans le Nord sous prétexte de l’ouverture de la route des Tamarins en est l’exemple même ».
Le Sud dispose certes d’une attractivité naturelle, mais celle-ci ne saurait suffire. Elle doit donc s’appuyer sur « l’effet de levier de la route des Tamarins pour accélérer le rattrapage structurel de cette micro-région ».
De grands chantiers à mener
« Un plan cohérent et global de développement s’impose à cette micro-région dans l’objectif de le rendre attractif et dynamique. Il nous faut alors définir une stratégie économique attractive et conquérante. Nous devons nous diriger vers des stratégies structurelle et économique fondées sur la complémentarité régionale et sur les atouts du Sud », insiste Krishna Damour.
Selon le Collectif, le Sud dispose déjà d’infrastructures à développer davantage, notamment le campus universitaire du Tampon et l’Institut universitaire Technique à Terre-Sainte. « Il y aussi le Lycée agricole de Saint-Joseph, il serait judicieux de voir plus loin avec des formations supplémentaires de type universitaire. Le potentiel agricole se trouve dans le Sud », précise David Lebon du Collectif.
La Halle des Manifestations du Sud est un projet qui reste, pour l’heure, au fond des tiroirs ; or, une telle infrastructure est nécessaire pour les acteurs économiques et culturels.
Un des atouts du Sud est son aéroport, qu’il faudrait développer ; il pourrait se spécialiser vers des vols à moyens courriers au sein de la zone du Bassin indocéanique.
Désormais, « il y a une conscience propulsée par la route des Tamarins de la nécessité de développer le Sud dans l’intérêt du développement général de La Réunion. Mais cette réflexion ne doit pas se contenter de rester dans les tiroirs ou dans les bureaux d’étude, il faut plutôt une politique volontariste de l’Etat pour rendre le Sud attractif », conclut Krishna Damour.
SP
« La route des Tamarins doit se poursuivre jusqu’aux Lianes »
« La route des Tamarins selon le tracé actuel n’est pas une fin. Elle doit être poursuivie dans le cadre des grands travaux qui permettront de structurer La Réunion et de créer des emplois.
L’ouvrage de la route des Tamarins doit se poursuivre par son prolongement jusqu’aux Lianes de Saint-Joseph, empruntant ainsi la voie du boulevard Hubert Delisle, cette route se situant à mi-hauteur qui commence à Saint-Paul et se terminant aux Lianes de Saint-Joseph.
La réfection de cette voie entraînerait un désenclavement des bourgs des Hauts tout en faisant apparaître des micros zones économiques liées au service de proximité et au tourisme des Hauts.
Tout cela pour dire que l’irrigation routière, et de manière générale la politique de transport, influe sur le dynamisme d’une région et des micro-régions, une politique de transport doit à la fois répondre et conduire l’aménagement d’un territoire.
Cette stratégie de transport doit s’inscrire en phase avec la stratégie globale de développement de La Réunion et plus particulièrement à celui du Sud ».
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