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Route des Tamarins : Des travaux et des hommes - 3 -
28 juin 2006
Le chantier de la route des Tamarins est commencé depuis 3 ans maintenant. Aux aléas près - il y en a toujours -, il a pris sa “vitesse de croisière” et progresse étonnamment de mois en mois. Cette progression repose sur une organisation et une coordination de haute précision, dans un enchaînement incessant d’opérations collectives et de milliers de gestes de détail, où tout doit être anticipé en permanence. Il faut voir travailler hommes et femmes sur les chantiers, au quotidien, pour réaliser la part de défi qu’ils relèvent chaque jour.
... Un de ces “grands défis” présenté dans notre rubrique “Télé-décryptages” (p. 15) pour saluer le document de Télé Réunion, partie à son tour témoigner de l’avancée de cette réalisation hors du commun, comme ’Témoignages’ le fait depuis avril.
Ce troisième article parle d’une de nos premières visites sur les chantiers des ravines des Avirons et de Ruisseau : un premier contact avec les équipes en avril, une seconde visite en mai pour suivre en photos l’avancée du chantier. Ce qui est raconté ici est le début de la préfabrication des dalles, dont la première série de 64 sera terminée la semaine prochaine. Lundi prochain aussi aura lieu le dernier lancement du deuxième tablier métallique sur la ravine des Avirons, tandis que va démarrer la quatrième pile de la ravine du Ruisseau.
Globalement, en cette fin de juin 2006, les travaux sont engagés à 70%. 170 millions d’euros sont déjà payés - un peu moins de 20% du coût global - et 250 millions d’euros le seront encore cette année.
Le film diffusé sur RFO ce soir et les articles parus dans “Témoignages” à ce jour donnent la mesure du rythme d’avancement du chantier sur 3 mois.
Un jour d’avril, j’ai rendez-vous à 7 heures avec le conducteur des travaux de chez PICO, Antoine Mouge, pour une visite des chantiers des ravines Avirons et Ruisseau.
Dans le “jargon” des maîtres d’œuvre du chantier de la route des Tamarins, ils portent les numéros OA 306 et OA 308. Antoine Mouge m’apprend qu’il s’agit en fait du kilométrage : la route fait un peu moins de 34 kilomètres et, là où nous sommes, ce sont les points kilométriques 30,6 et 30,8, proches de l’échangeur qui, à l’Étang-Salé, fera le raccordement avec la Route nationale actuelle.
Les ouvrages sont signalés depuis la route par des “points de sécurité” (PRS) mis en place fin 2005 pour l’organisation des secours. L’ensemble du tracé est segmenté en 26 points de secours ; notre rendez-vous est au PRS 23.
Un chemin de terre part de la nationale et, très vite, se divise : à gauche, vers le chantier de la culée zéro, à droite, pour rejoindre la ravine et le chantier des piles 1 et 2 ainsi que la direction de chantier, un baraquement de préfabriqués posés dans la végétation qui borde la ravine. L’enceinte est close par un grillage et une double porte grillagée, la cour est bitumée. Un drapeau d’entreprise flotte sur la verdure.
Des hommes attendent près de leurs voitures. Une formation doit avoir lieu avec quelqu’un envoyé par la Chambre de commerce. Nous retrouverons 3 heures plus tard le formateur et ses hommes, sur le chantier de la culée zéro, pour des “travaux pratiques”.
Je passe 10 à 15 minutes en entretien avec Antoine Mouge dans l’une des salles. Il a devant lui une grande feuille de papier, toute en longueur, que je reverrai sur le chantier, à côté des ouvriers.
Il décrit l’opération du jour en pointant un rectangle sur le plan : le hourdi (dalle de béton armé posée sur la poutre métallique), 28 cm d’épaisseur, 12 mètres de large, qui doit porter 2 voies de circulation. C’est un double tablier, avec la même chose à côté. Il y a 2 façons de le construire, explique-t-il. Celle qu’ils ont choisie consiste à préfabriquer les dalles et à les poser ensuite. "Aujourd’hui, on est en phase de préparation de l’aire de préfabrication. C’est là où il faut être très vigilant. La précision est super importante".
Une fois lancée, l’opération est très répétitive. Pour les 160 mètres du double tablier du 306, 2 fois 64 dalles et pour le pont voisin, 110 mètres de long, 2 fois 42 dalles en béton armé. À ce stade, la plate-forme de la culée zéro est le principal théâtre des opérations.
Nous nous y rendons après un tour sur le chantier des piles (P1-P2) tout proche, dans la ravine même. En passant la grille d’entrée du chantier, nous laissons sur notre gauche une habitation, perchée en bordure de ravine. Un occupant sans titre, qui a vu pousser le chantier à quelques mètres de sa case.
"Dans la grue, on doit être attentif à ceux qui travaillent là-haut..."
Le chantier est dans le lit de la ravine. Au moment de Diwa (3-8 mars 2006), la ravine a débordé, couvrant la plate-forme de plus d’un mètre d’eau. "Nous avions mis le matériel à l’abri", dit Antoine Mouge.
Le jour où je m’y rends, je trouve une grue mobile sur ses appuis - les 5 disques de caoutchouc semblent géants - à côté du chevêtre (“moule à tulipe”) qu’un ouvrier nettoie. Il doit servir très bientôt pour la deuxième pile de la ravine Ruisseau.
Vincent Técher, 21 ans, est le plus jeune employé du chantier. Il raconte son parcours, ses ambitions - "chef de chantier, dans 10 ou 15 ans" - et apprécie d’être où il est. "Pour un premier emploi, je trouve que c’est chouette".
Il s’occupe des éprouvettes de béton, préparées pour les tests. Le béton doit résister à une pression de 35 MPa (méga Pascal).
Ils ne sont que 3 sur ce chantier, 4 avec Vincent qui fait des allées et venues entre le chantier de la culée zéro et celui-ci. Simon Folio, 43 ans, est grutier dans l’entreprise Cheung Ah Seung, dont le matériel est loué par PICO. Au sol, il y a avec lui un coffreur. Un autre ouvrier coffreur est à 30 mètres, en haut de la deuxième pile, à laquelle on accède par un escalier mobile.
"Dans la grue, on doit être attentif à ceux qui travaillent là-haut, à 27 ou 30 mètres", explique Simon Folio. "C’est celui qui est là-haut qui me guide, au geste. Il y a des gestes, comme un code : pour descendre, pour monter, à droite, à gauche... Il faut aussi bien caler la machine et ne pas dépasser la capacité maximale de charge. Le tableau de bord affiche un contrôle d’état de charge (CEC). Si on va au-delà, ça coupe".
Le fond de ravine des Avirons n’est pas le théâtre principal ce jour-là et nous partons assez vite, en faisant un détour par la ravine Ruisseau, histoire de comparer l’état d’avancement des 2 ponts.
Les doubles piles seront moins hautes (15 et 12 mètres) et, lorsque nous y passons, seule la moitié de la première en est à la partie évasée du sommet, appelée aussi “tulipe”.
C’est un chantier étriqué, coincé entre le bord de la ravine Ruisseau, où les engins n’ont pas eu l’autorisation de s’installer, pour protéger une faune et une flore spécifiques, et la RD qui conduit aux Avirons. Le mouvement des camions et des ouvriers doit tenir compte de cette contrainte spatiale. Là où nous sommes, l’impression est celle d’un chantier posé sur un mouchoir de poche.
Avec le conducteur des travaux, nous sommes sur la plate-forme intermédiaire, installée entre les 2 ravines. Une toupie à béton nous rejoint ; le conducteur s’est trompé de plate-forme et est ré-aiguillé vers la ravine des Avirons.
"Il faut 2 mois pour mettre un béton au point"
En contrebas, la route et la moitié de la première double pile en cours de réalisation. Derrière, il y en aura 2 identiques, de 12 mètres de haut, avec une charpente métallique et un hourdi en béton armé. "Il n’y a pas besoin de beaucoup de monde pour faire un ouvrage. Ce sont des équipes de 3 ouvriers. On est 10 actuellement, avec les 5 sur la préfa (l’aire de préfabrication - NDLR). Dans le Bâtiment, c’est des ruches ; ce n’est pas le même métier".
Je l’entendrai souvent, cette démarcation d’avec le Bâtiment. En contrebas, des hommes vont et viennent autour de l’armature en ferraille qui sera posée le lundi suivant dans le moule, pour un bétonnage le mercredi.
Antoine Mouge explique que la bande de terrain qu’ils ont pu récupérer pour sa préparation fait partie des stratégies spécifiques à déployer dans un chantier pénalisé par le manque de place. "L’autre problème, c’est le sable, en face. Il faut trouver des solutions techniques pour assurer le portage des engins : une substitution de matériaux pour assurer un remblais technique", complète-t-il. Une chenille de l’entreprise TPL, sous-traitant pour le terrassement, est accrochée en pleine pente, à l’arrêt.
Le conducteur des travaux a fini sa tournée d’inspection. Nous nous rendons sur l’aire de préfabrication. Le chef de chantier, Jeannick Dijoux, et le responsable Qualité/Environnement, Julien Poutier, viennent au devant de leur collègue. Sur la plate-forme, derrière eux, des ouvriers sont au travail. J’apprendrai bientôt à distinguer 2 grands groupes, selon leur fonction et leur emplacement : les coffreurs et les ferrailleurs.
Avant de partir, le responsable Qualité/Environnement explique en quoi consiste son suivi du chantier : pour la mise au point des procédures, la description des matériaux et du personnel utile. "Je veille à ce que ce soit fait selon les règles de l’art", dit Julien Poutier. Il doit en particulier être attentif à la qualité du béton.
"Il faut 2 mois pour mettre un béton au point. Un mois se passe en laboratoire, c’est le travail du bétonnier. Après le choix du béton, on fait un essai de “convenance de béton” en centrale. Certains bétons ont une heure d’utilisation, d’autres, 2 heures. Il faut surveiller les heures de gâchage". Sur la plate-forme, ils ont un béton de 2 heures d’utilisation, que les ouvriers sont en train de talocher.
Julien Poutier doit aussi s’assurer que la formule portée sur les bons de béton est la bonne, et vérifier les constituants : ciment, cailloux, eau, adjuvants.
Cette première étape est suivie et annotée heure par heure, assure-t-il. "Ensuite, on fait un essai de plasticité, avec un cône d’Abrahams. Le béton que nous utilisons ici, un C35/45, doit avoir 140, plus ou moins 30, soit une épaisseur de 110 à 170 mm. Après, c’est le suivi du coffrage. Il faut être attentif à la hauteur de chute : pas plus d’1,50 mètre, sinon le ciment se sépare des cailloux", dit-il.
... "sensibiliser en permanence les ouvriers au danger"
La plate-forme est sur un remblais d’environ 100 mètres de longueur, l’espace utile pour accueillir un portique mobile sur 90 mètres et l’atelier de ferraillage de BWR, où je trouve 4 ouvriers en train de préparer les tiges de métal qui armeront la dalle. Éric Acadine, 40 ans, est sur ce chantier depuis février 2006. Max Valmy a été intérimaire pendant 3 ans sur d’autres chantiers (réservoirs, déviations). Ils sont ici sur un contrat de chantier, en sous-traitance. Un seul, sur les 4, est en CDI.
Dans la largeur, la plate-forme peut recevoir, côté Sud, une petite pelle de terrassement qui termine une sorte de canal d’évacuation des eaux - TPL toujours, dont 2 terrassiers sont présents pour la journée -, les fonds de dalle (12 mètres) et, de l’autre côté du rail Nord du portique, un espace de stockage occupé pour moitié par une grue mobile d’une capacité de 80 tonnes.
Marcel Poulaye, le grutier, finit d’assurer son engin. À 54 ans, il a 26 ans de métier, n’est plus très loin de la retraite et travaille chez Cheung Ah Seung depuis 9 ans. Il a rejoint le chantier des Avirons dans la première quinzaine de mars. "Il faut une autorisation spéciale des patrons pour conduire ce type d’engin", dit-il. Le chef de chantier vient de lui demander de déplacer au plus près possible du bord du remblais qui accueille la plate-forme une pièce témoin de 27 tonnes. C’est une moitié de pile qui a servi à tester la résistance du portique et qui maintenant les encombres.
Pendant la manœuvre, Jeannick Dijoux, chez PICO depuis 1983, récapitule la phase de chantier en cours : "On est en fin d’ouvrage ; Il y a déjà les piles, la charpente métallique ; on est sur la plate-forme de préfa ; là-dessus on va préfabriquer toutes les dalles qu’on va lancer sur les ouvrages".
Puis, il commente le travail de la dizaine d’ouvriers dont Jean-Marcel Boyer, 38 ans, coffreur, est le chef d’équipe.
"On fait le fond de moule sur lequel on va lisser, mettre du vernis pour rendre la paroi plus lisse. Là-dessus on va mettre un ferraillage en cours de fabrication et on va bétonner. Le lendemain, on va soulever les dalles, avec le portique, on va les stocker en phase provisoire... Il y a un peu de lavage à faire, après on va stocker. On va mettre les dalles sur un camion qui va arriver jusqu’en bas (il montre le bord de la ravine). Une grue en position va prendre la dalle, la mettre sur la poutre métallique. Et là on aura un chariot avec un treuil, on va la pousser jusqu’à l’autre bout : première dalle... ainsi de suite jusqu’à la 64ème".
Ensuite, ce sera le lancement de la deuxième charpente métallique, sur la deuxième pile.
Jeannick Dijoux montre l’échelle mobile, dans la ravine, en expliquant la principale contrainte de ce chantier : travailler en hauteur. "Il faut aller installer les passerelles de tête, là-haut ; c’est plus acrobatique. Il faut faire attention au matériel et sensibiliser en permanence les ouvriers au danger. Au départ, les gars ont peur du vide, et à force, ils ne se rendent plus compte qu’ils travaillent à 30 ou 40 mètres de haut. Et cela peut être fatal. Chaque fois, il faut répéter : “mets la ceinture, le harnais”... Sinon c’est la catastrophe".
Des ouvriers pas mieux payés pour un chantier exceptionnel
Tandis qu’il repart vers les coffreurs, Marcel Poulaye, le grutier, a terminé la manœuvre. Il a abaissé le fût de grue et entreprend de redistribuer les câbles de la moufle (c’est l’assemblage des poulies qui renforcent le système d’attache pour le levage) avant de le fixer à l’avant du véhicule que signale un panneau “convoi exceptionnel”. Il effectuera sa manœuvre de demi-tour sur les 10 à 12 mètres de largeur disponible à côté du portique.
Du côté des ferrailleurs, entre 2 assemblages, on discute de la finalité du chantier “route des Tamarins”. "C’est une bonne comme une mauvaise chose", dit l’un d’eux, qui observe la flambée des prix du foncier.
Ils disent ne pas avoir à se plaindre de leurs salaires, mais notent tout de même que l’affichage en dizaines ou centaines de millions d’euros, pour l’ensemble de l’ouvrage, n’est en rien répercuté sur les salaires ouvriers.
J’entendrai souvent ce constat : bien ou moins bien payés - selon l’entreprise, la qualification... - les ouvriers de la route des Tamarins ne sont pas mieux payés pour travailler sur un chantier exceptionnel. À l’exception de ceux dont l’entreprise distribue des primes, la plupart de ceux que nous avons rencontrés sur ces premiers ouvrages trouvent que leurs salaires n’ont rien d’exceptionnel... Et bien sûr, ils se demandent “où passent tous ces millions...”
À 10 heures, les 6 ouvriers de PICO présents à mon arrivée à la direction de chantier ont fini leur formation et le test théorique.
Avec Didier Baumet, formateur en levage-manutention à la CCIR, ils arrivent pour une épreuve pratique. À l’origine, ils sont ferrailleurs, mécaniciens ou manœuvres chez PICO et sont censés avoir certains pré-requis. "On ne choisit pas les gars ; c’est l’entreprise qui nous les envoie. Après, ça passe ou ça casse", lâche le formateur en les guidant vers le portique. En fait, il a réalisé qu’il lui faudrait rajouter une formation pratique, avant l’épreuve et il n’a que cette journée pour le faire. Il se rassure en constatant que "la plupart a déjà pratiqué, sinon le portique, du moins le point roulant. D’autres ont pratiqué la grue à tour ; ce n’est pas la même chose, mais c’est encore plus complexe".
L’exercice commence à la boîte de commande, puis l’équipe doit déplacer un treillis de ferraille. Ils doivent apprendre à équilibrer le chargement puis à le déplacer...
C’est la dernière image que je garde d’eux ce jour-là, tandis que les coffreurs finissent leur deuxième fond de dalle en arrosant une bâche posée dessus.
Route des Tamarins
Attribution du marché de la construction du pont sur la ravine Fontaine
La Région va investir 28 millions d’euros dans la commune de Saint-Leu au profit de tous les Réunionnais avec la construction d’un ouvrage d’art sur la ravine Fontaine.
Les élus de la commission permanente du 20 juin dernier ont décidé d’attribuer le marché de construction de l’ouvrage d’art exceptionnel de “Ravine Fontaine” au groupement d’entreprises Damthier et Bard /GTOI / CIMOLAI.
Le marché a été conclu pour un montant de 28 millions d’euros.
Par ailleurs, la commission permanente a autorisé la signature d’un avenant au marché relatif à la construction des 3 ouvrages d’art non courants à réaliser les ravines de l’Hermitage, de Bras de l’Hermitage et de Cocâtre.
Cet avenant provient de 2 aléas majeurs survenus lors de la construction de ces ouvrages : prévoir un revêtement bitumineux sur le chemin Piveteau et créer une piste d’accès à la rive droite de la Ravine Cocâtre. Le montant de cet avenant est de 14 millions 590.079 euros.
Enfin, les élus de la commission permanente ont validé un avenant au marché relatif aux ouvrages hydrauliques situés sur la commune de Saint-Leu. Il s’agit de compléter les travaux engagés sur les rétablissements des réseaux (EDF notamment) ; de mettre en sécurité des talus et de poursuivre des études d’exécution sur certaines parties des murs. Le montant de l’avenant est de 187.514 euros.
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