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4 juillet, parMézami, mon bann dalon, si in zour in listorien i désside rakonte anou bien konm k’i fo listoir La Rényon, mwin lé sirésèrtin li va parl anou (…)
Un avion de Fly Air interdit de vol
29 août 2005
Un avion d’une compagnie charter est bloqué depuis samedi à Paris. Hier, la Direction générale de l’aviation civile lui a formellement interdit de décoller. Une inspection a révélé de graves avaries qui risqueraient de mettre la vie des passagers et de l’équipage si l’avion prenait l’air dans cet état. Une fois de plus, c’est un charter qui est épinglé. De quoi faire réfléchir tous les candidats passagers.
Un Airbus A300 de la compagnie turque Fly Air, immobilisé samedi à l’aéroport de Roissy après un contrôle de la Direction générale de l’aviation civile (DGAC), est resté sur place. Une nouvelle inspection a découvert de nouveaux manquements graves à la sécurité.
Les contrôleurs de la DGAC ont interdit samedi à cet appareil de décoller avec ses quelque 150 passagers à destination d’Antalya, en Turquie, à cause d’un pneu deffectueux. Mais hier, la Direction générale de l’aviation civile (DGAC) a affirmé que l’avion en question de peut pas repartir, et elle a décidé de clouer au sol l’appareil de la compagnie charter Fly Air. Elle a en effet découvert de nouvelles anomalies.
Fuite de carburant
Une dépêche de l’agence Reuters rapporte que les contrôleurs de la DGAC ont vu le pneu neuf envoyé par la compagnie n’était pas homologué pour l’Airbus A300.
"Mon équipe m’a fait savoir qu’un autre pneu n’était pas non plus conforme. Cela faisait donc deux pneus à changer", a dit à Reuters Thierry Reviron, directeur de l’Aviation civile-Nord. "En plus, il est apparu qu’il y avait une fuite de carburant sur le moteur gauche, au-dessus des parties chaudes du réacteur", a-t-il ajouté. "L’avion n’a donc pas été autorisé à redécoller".
Quant aux passagers, ils avaient été hébergés pour la nuit de samedi à dimanche à l’hôtel, près de l’aéroport, le temps que la compagnie fasse venir un pneu neuf. Selon Aéroports de Paris (ADP), il était initialement prévu que l’A300 redécolle hier dans la journée avec ses passagers, une fois le pneu changé. Mais la décision de la DGAC est tombé, obligeant l’organisateur du voyage, Mediades, à trouver une solution.
Beaucoup trop de précédents
Selon une source aéroportuaire, Mediades a proposé aux passagers soit le remboursement de leur voyage, ce qu’une vingtaine d’entre eux auraient accepté, soit de partir ce matin à bord d’un avion d’une autre compagnie turque, Onur Air. Rappelons que Onur Air a été interdite de vol en France, en Suisse et aux Pays-bas pendant deux semaines voici quelques mois. À l’époque, des milliers de touristes s’étaient alors retrouvés bloqués en Turquie.
Selon la même source, 113 passagers ont accepté cette proposition. Mediades cherchait un autre avion pour les autres passagers désireux de partir malgré tout.
C’est la troisième fois en 10 jours qu’un avion de Fly Air est mis en cause.
Mercredi dernier, un avion de cette compagnie était revenu à Orly 20 minutes après le décollage à cause d’un "problème sur une unité de contrôle du système électrique", selon Thierry Reviron.
"C’est une procédure normale. C’est ce qu’il faut faire dans un tel cas", a expliqué à Reuters le responsable de la DGAC. "Sauf qu’au sol est apparue là aussi une petite fuite de carburant". Une fuite à proximité du réacteur.
Entretemps, des passagers avaient fait savoir qu’ils refusaient de repartir avec cet appareil et ils ont été embarqués sur un avion d’une autre compagnie.
Cette série qui entame davantage la confiance des passagers potentiels envers les compagnies charters, car chacun a encore en mémoire les catastrophes d’Athènes et de Maracaïbo.
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