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La thèse de la « mort naturelle » du président du Syndicat des journalistes des Comores ne tient pas
1er mars 2021, par
Ali Abdou, ancien président du Syndicat national des journalistes des Comores a été retrouvé mort à son domicile le 12 décembre dernier. Pour la justice, l’affaire est déjà classée comme une mort naturelle. « Une thèse que la famille réfute catégoriquement en livrant à National Magazine Comores des indices troublants », indique notre confrère qui précise que la famille du défunt est « privée d’accès au certificat de décès, au rapport médical et au rapport d’enquête, elle réclame qu’une véritable enquête soit menée ». La question du fonctionnement de la justice est posée.
Voici un extrait de l’article de National Magazine Comores sur ce sujet :
« Pas plus que les autres membres de sa famille, Mounir ne croit à la thèse de la mort naturelle. Il y a d’abord la présence du sang sur le matelas et les draps. Il assure qu’ils en étaient imbibés. Pourtant, lors de sa conférence de presse, le 15 décembre, le procureur de la République, Mohamed Abdou, avait déclaré : « Nous n’avons trouvé aucune trace de sang, ni dans la voiture, ni dans la maison. » Le matelas et les draps ont depuis disparu. « Le cousin nous a dit que des hommes en uniforme et la Sécurité civile les avaient brûlés », indique Nassabiya. Dans la famille, la question tourne en boucle : « S’il n’y avait rien à cacher, pourquoi brûler le matelas et les draps ? ».
Un témoin, présent sur les lieux le jour de la découverte du corps d’Ali, confirme. »
Force est de constater une grande différence entre les indices apportés par la famille et les témoins, et la thèse du Procureur. Notre confrère avance une explication mettant en jeu un conflit d’intérêts du Procureur en charge de l’enquête.
Fort logiquement, la famille d’Ali Abdou réclame que l’enquête prenne en compte tous les faits. Rappelons que le bon fonctionnement de la justice est un préalable à l’exercice de la démocratie.
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