
Mal-do-mèr dann sarèt
28 juin, parLo zour la pokor kléré, Zan-Lik, Mariz é sirtou Tikok la fine lévé, mèt azot paré. Madanm Biganbé i tir zot manzé-sofé, i donn azot, zot i manz. (…)
Hausse de l’endettement
18 septembre 2013, par
Le taux d’endettement de la France devrait s’élever à 95,1% du PIB du pays, soit 1.950 milliards d’euros. En 2013, le taux d’endettement était de 93,4% du PIB, une augmentation record, bien loin du taux de 94,3% avancé par Paris dans le programme de stabilité transmis à la Commission européenne.
D’après un article du « Figaro », cette dette coutera plus de « 30.000 euros par Français » . Pour Pierre Moscovici, ministre de l’Économie, « l’endettement va atteindre un maximum et ensuite ça décroîtra » en 2015. Selon les prévisions du gouvernement, pour 2015-2017, citées par le quotidien, « avec le retour à un équilibre structurel des finances publiques et une croissance de l’activité de 2% en volume, le ratio de dette diminuerait de 2 points par an en moyenne » .
Déficit public de la France à 4,1% du PIB
Selon « Le Figaro », « cet endettement sera lié au déficit public mais surtout aux plans de soutien financier à la zone euro ». La France a participé à ces mesures, pour un montant de 48 milliards d’euros en 2012 et, selon les estimations : 62,5 milliards fin 2013, puis 68,7 milliards fin 2014. En réponse à cet argument, Pierre Moscovici a expliqué sur France 2, que « pendant le quinquennat précédent, sous Nicolas Sarkozy, nous l’avons dénoncé, le déficit s’est accru de 600 milliards d’euros, on est passé en dix ans de 60% du PIB à plus de 90% ».
Pour l’année 2013, le déficit public a été réévalué par le gouvernement à 4,1% du PIB, alors que la Commission européenne avait fixé à la France un plafond de 3,9%. François Hollande s’est engagé à ramener ce déficit à 3,6% du PIB en 2014 puis à moins de 3% en 2015. Cette ambition se traduit par « une politique résolue de réduction des déficits nominaux, c’est les chiffres absolus, et les déficits structurels, ceux qui sont indépendants de la croissance », a affirmé le ministre de l’économie.
En plus de revoir le déficit du pays, le ministre de l’Economie Pierre Moscovici a annoncé une révision de la prévision de croissance. Maintenue à 0,1% pour 2013, celle-ci a été abaissé à 0,9% pour 2014, « un choix de confiance et de prudence », selon le ministre. Pour cette année, « il n’a pas été réduit autant que prévu en raison de recettes de TVA insuffisantes et de dépenses européennes exceptionnelles » , a argumenté Bercy, justifiant l’objectif de 3%.
Des « efforts demandés »
Face à cette situation, l’Etat prévoit des efforts de 18 milliards d’euros, soit 0,9 point de PIB, légèrement au-dessus de l’exigence européenne (0,8 point de PIB) en 2014. Parmi les points centraux de réduction des dépenses, le gouvernement va économiser 15 milliards d’euros dans la dépense publique. 9 milliards d’économies réalisées sur l’Etat (-2% dans les dépenses de fonctionnement), ses opérateurs (-4%) et les collectivités territoriales, dont les dotations seront réduites de 1,5 milliard d’euros. Et 6 autres milliards seront ponctionnés sur la protection sociale avec un effort dans les dépenses de fonctionnement et d’assurance-maladie, et sur la prochaine réforme des retraites. Parmi les recettes, le gouvernement prévoit une progression de 3 milliards, grâce au rabotage de plusieurs niches et aux gains obtenus de la lutte contre la fraude fiscale.
Premiers touchés : les ménages. Deux niches fiscales vont être supprimées, comme l’abattement bénéficiant aux parents d’enfants scolarisés dans le secondaire ou l’enseignement supérieur, et les cotisations versées pour les mutuelles, qui ne sont imposées ni du côté de l’employeur ni du côté du salarié.
Une taxe environnement est prévue, avec une « composante carbone » inclue dans les taxes touchant les carburants. Enfin, d’autres mesures annoncées, tels que l’abaissement du plafond du quotient familial de 2.000 à 1.500 euros par demi-part, l’augmentation des cotisations retraites pour financer les régimes à l’horizon 2020 et l’augmentation des taux intermédiaire (de 7 à 10%) et normal (de 19,6 à 20%) de TVA pour financer le crédit d’impôt compétitivité emploi (CICE). Enfin, le gouvernement va baisser le barème de l’impôt sur le revenu, qui sera réindexé sur l’inflation, cela va représenter environ un milliard d’euros d’impôt en moins pour les contribuables, et le taux réduit de TVA passera de 5,5 à 5%.
Céline Tabou
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