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4 juillet, parMézami, mon bann dalon, si in zour in listorien i désside rakonte anou bien konm k’i fo listoir La Rényon, mwin lé sirésèrtin li va parl anou (…)
Le président de la République aux États généraux
27 juin 2009
Quelques heures avant la cérémonie à l’aéroport, Nicolas Sarkozy a participé à une réunion publique des États généraux en Martinique à laquelle étaient conviés 800 personnes. Il a annoncé des décisions au mois d’octobre, et a proposé de transformer les États généraux en comité de suivi des décisions qui se réunira au moins tous les ans.
« 22,4% de chômage, c’est la description du système actuel. Les chiffres indiqués condamnent le statu quo ». C’est « le résultat d’une organisation politique, sociale et économique », « le confort de l’immobilisme est un confort illusoire. Le confort du statu quo c’est la pérennisation d’un système partisan, injuste et non transparent ». Lors de la réunion des États généraux, le président de la République n’a cessé de dire que le système actuel est au bout de ses limites. La crise actuelle s’explique notamment par « le choix désastreux de la consommation et de l’assistanat », un assistanat qui ne permet pas de vivre, mais de « survivre ».
Il a également souligné qu’il n’est pas normal pour un Martiniquais travaillant en France dans la fonction publique d’attendre 35 ans pour retourner au pays occuper un poste où les compétences requises sont quatre fois moins importantes que les siennes. Le chef de l’État a insisté pour que les Martiniquais soient en plus grand nombre dans les hauts cadres en Martinique.
Nicolas Sarkozy a proposé que les États généraux se transforment après leur mission en Comité de suivi des mesures qui seront arrêtées lors du Conseil interministériel d’octobre prochain. Il a conclu en indiquant que « les bonnes volonté ont compris que dans l’opposition, on va dans la catastrophe ».
Hommage aux jeunes volontaires de la France libre
Nicolas Sarkozy a entamé sa visite par un hommage aux "dissidents", des Martiniquais qui choisirent de rejoindre la France libre durant la Seconde guerre mondiale. Une « page injustement oubliée de notre Histoire nationale », a dit le président. « Aujourd’hui nous réparons une injustice ».
« À l’heure où certains ont pu douter, dans un contexte de crise, de la force du lien qui nous unit, j’ai voulu rappeler aujourd’hui ce que pouvait avoir de concret le fait de vivre un destin commun. Notre Histoire est partagée, nos sangs sont mêlés et c’est un ciment que nul ne peut briser », a-t-il déclaré.
Le 24 juin 1943, c’est devant le Monument aux Morts de Fort de France qu’a débuté une insurrection qui allait aboutir sur la libération de la Martinique. C’est ensuite par milliers de volontaires que des jeunes ont fait une traversée risquée pour combattre en Europe le nazisme dans les rangs de la France libre.
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