
La vérité lé tétu ! i pé pa tourn ali lo do kontinyèlman !
4 juillet, parMézami, mon bann dalon, si in zour in listorien i désside rakonte anou bien konm k’i fo listoir La Rényon, mwin lé sirésèrtin li va parl anou (…)
Aux Antilles, l’État paie 100% de la baisse, à La Réunion, l’État paie 0% et les collectivités passent à la caisse
1er mars 2012, par
Dans un communiqué diffusé en septembre 2010, Victorin Lurel, député de Guadeloupe, révélait l’ampleur des fonds engagés par l’État pour faire baisser le prix des carburants en réponse aux mouvements revendicatifs : 175 millions d’euros.
Les Mahorais ne sont pas les seuls à avoir fait assumer à l’État ses responsabilités. La sortie de crise aux Antilles en 2009 prévoyait que l’État prenne en charge la baisse des prix des carburants.
En septembre 2010, le gouvernement s’apprêtait à verser aux compagnies pétrolières opérant aux Antillles une somme de 81 millions d’euros. Ceci avait complété deux autres versements engagés à partir d’avril 2009 : 44 millions d’euros puis 50 millions. Ce transfert de fonds était une compensation versée par l’État en échange d’une baisse imposée aux compagnies pétrolières. En février et mars 2009, la Guadeloupe, puis la Martinique et la Guyane ont été plus d’un mois en grève générale. Pour rétablir la confiance, l’État a décidé d’imposer des baisses de prix, en particulier dans les carburants. Et pour convaincre les pétroliers de céder, le gouvernement avait décidé de prendre à sa charge une "compensation" s’élevant au total à 175 millions d’euros.
À La Réunion, deux collectivités ont décidé de se substituer à l’État et aux compagnies pétrolières. Ce sont la Région, le Conseil général et par ricochet les communes qui vont passer à la caisse pour faire baisser le prix des produits pétroliers.
Il est clair que c’est l’approche de la visite de Sarkozy et des élections qui favorise ce pillage irresponsable des fonds publics financés et destinés aux Réunionnais. Car aux Antilles, l’État a assumé ses responsabilités en payant, puisque c’est lui qui a la compétence de fixer les prix. À La Réunion, l’État ne paie rien.
M.M.
Mézami, mon bann dalon, si in zour in listorien i désside rakonte anou bien konm k’i fo listoir La Rényon, mwin lé sirésèrtin li va parl anou (…)
Au 1er juin, les chiffres du ministère de la Justice ont établi à 84 447 personnes détenues pour 62 566 places. La surpopulation carcérale (…)
Vingt ans après la loi Handicap et au terme de six mois de mission, les rapporteurs Audrey Bélim, (Socialiste, Écologiste et Républicain – La (…)
L’État poursuit les versements d’indemnisations des aides en faveurs des exploitations agricoles sinistrées par le cyclone Garance et la (…)
Pierre Moscovici, président de la Cour des comptes a assuré que “ceux qui peuvent plus doivent contribuer davantage”, car “nos finances publiques (…)
Les discussions sur l’avenir institutionnel de la Nouvelle-Calédonie, menées sous l’égide du président, sont entrées dans le vif du sujet, le 3 (…)
Les cours du pétrole ont connu une nette hausse à partir de la deuxième quinzaine du mois de juin, portés par l’extrême tension au Moyen-Orient et (…)
La Réunion fait partie des régions françaises les plus touchées par les conséquences sanitaires, sociales et judiciaires de la consommation (…)
Sur proposition de Gérard COTELLON, directeur général de l’ARS La Réunion, Patrice LATRON, préfet de La Réunion, a décidé le retour au niveau 2 du (…)
1993- La disparition de Lucet Langenier. Elle a été brutale, prématurée et a frappé douloureusement non seulement sa famille mais aussi ses (…)
La section PCR du Port apprend avec une profonde tristesse le décès de Nadia PAYET, ancienne déléguée syndicale CGTR. Militante engagée et (…)
C’est dans une ambiance chaleureuse avec un état d’esprit fraternel que les délégués de la Section PCR de Sainte-Suzanne se sont réunis en (…)