
In objéktif pou trapé : In dévlopman korèk …sansa sé in bilan négatif !
26 juin, parMézami, ni sava rante dann in pèryode zélékssion ané pou ané.Nora zélékssion l’ané 2026, nora zélékssion l’ané 2027 é nora ankor l’ané 2028… Bann (…)
Mais perdent en influence
9 avril
Selon les données de la Direction générale du travail publiées le 8 avril, la hiérarchie des organisations syndicales dans le secteur privé n’a pas changée.
L’audience calculée tous les quatre ans en additionnant les suffrages recueillis par les syndicats lors des différentes élections professionnelles montre que la CFDT est la première organisation française, avec 26,58% des votes.
« Dans une période bousculée par les crises économiques et politiques, troublée par des tentations extrémistes et populistes, la CFDT reste un repère, fidèle à ses valeurs de solidarité, d’émancipation et de justice sociale », s’est félicité dans un communiqué la confédération dirigée par Marylise Léon.
La CGT, déchue du titre de premier syndicat de France en 2017, est à la première place dans le scrutin des « très petites entreprises » (TPE) ou employés chez des particuliers en décembre 2024. La centrale syndicale de Montreuil a recueilli 22,21% des suffrages exprimés dans le secteur privé et limite l’écart avec la CFDT.
« On essaye d’inverser la tendance et sur certains aspects, on est mieux compris », même si la mission reste difficile, a expliqué anonymement un responsable de la CGT.
Force ouvrière (FO) arrive en troisième position, récoltant 14,91% d’audience. La CFE-CGC est l’une des deux organisations, avec la CFTC, à voir son résultat progresser, à 12,95%, contre 11,90% en 2021.
« On progresse chez les cadres comme chez les techniciens et agents de maîtrise », se réjouit le président de la CFE-CGC, François Hommeril.
« Les évolutions en termes d’audience sont inscrites dans la durée, ce n’est pas comme en politique où des gens inconnus deux ans plus tôt peuvent se présenter et être élus », a indiqué ce dernier en faisant référence au président Emmanuel Macron.
Pour les syndicats, cette représentativité représente leur audience qui influe directement sur leur capacité d’action.
Seuls les syndicats recueillant plus de 8% des suffrages sont considérés comme représentatifs et peuvent négocier des accords, désigner des conseillers aux prud’hommes ou encore percevoir des subventions de l’État.
Le syndicat réformiste Unsa et Solidaires, bien plus à gauche, qui espéraient pouvoir atteindre cette barre fatidique, ont respectivement récolté 6,45% et 3,75% d’audience et se trouvent une nouvelle fois en dehors de ces critères.
« Les résultats sont globalement positifs avec l’obtention de la représentativité dans de nouvelles branches », a précisé Aurélien Bourdon, cadre de Solidaires, conscient tout de même « du chemin qu’il reste à parcourir ».
La CFDT, la CGT et FO organisent tous trois leur congrès en 2026, où ils feront le bilan de la dernière mandature. La mesure de la représentativité dessine les rapports de force aussi bien en externe qu’à l’intérieur des centrales.
L’année 2023 et les manifestations contre la réforme des retraites avaient laissé entrevoir un nouveau souffle pour les organisations syndicales.
« Le syndicalisme est de retour, Monsieur le Président. On est là, et il va falloir faire avec », a assuré en avril 2023 Laurent Berger, alors à dirigeant de la CFDT.
Selon un rapport de la Direction des études du ministère du Travail (Dares) - publié en janvier - montrait une baisse de 3 points de pourcentage du nombre d’entreprises ayant une instance élue de représentants du personnel et une baisse de 5 points, entre 2017 et 2023, de celles ayant des délégués syndicaux.
« De cycle en cycle, la participation recule. Le nombre d’entreprises sans représentation syndicale augmente », s’est inquiétée la CGT dans un communiqué publié dans la foulée des résultats.
Au total, sur ce cycle, seuls 5 191 216 employés ont voté, soit un peu plus d’un tiers seulement des salariés du secteur privé. Cela représente 4% de moins que lors du précédent cycle de mesure.
Pour expliquer cette perte de terrain des syndicats, l’organisation de Sophie Binet pointe notamment du doigt « les ordonnances Macron » réformant le code du travail, ainsi que « la discrimination syndicale », accusée de rendre plus difficile le travail des élus.
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